Bonjours, je cherche la démonstration de ce postulat. Es-ce que quelqu'un sait où je peux trouver la démonstartion de 2+2=4 ? Je l'avais mais je l'ai perdu
Merci d'avance.
-----
Bonjours, je cherche la démonstration de ce postulat. Es-ce que quelqu'un sait où je peux trouver la démonstartion de 2+2=4 ? Je l'avais mais je l'ai perdu
Merci d'avance.
Voilà une question bien vague, sans savoir comment a été construit , définie l'addition, etc...
NB : si c'est un postulat, on ne le démontrera pas
Bin N est définie par les entiers naturels. Y a aucun moyen de démontrer cette simple addition ? Qu'entends tu par définir l'addition ?
J'ai entendu quelque part que cette égalité était démontrée, mais je ne suis pas sûr.
Oui oui elle l'est un ami me l'avait même fait passé, mais je l'a trouve plus .
Elle est longue non ?
Un peu ouais elle prennait plusieurs pages
Bonjour,
Si tu pars de l'arithmétique de Peano (ici, 4 est défini par s(s(s(s(0)))) (où s est l'application successeur). Tu as donc 2+2=s(s(0))+s(s(0))=s(s(0)+s(s (0)))=s(s(0+s(s(0))))=s(s(s(s( 0))))=4.
If your method does not solve the problem, change the problem.
Quelle est la définition de 2 ?
Quelle est la définition de 4 ?
je ne suis pas sur mais
1+1=2 ou alors je ne connais plus les bases de l'addition
ensuite l'addition est sensée être commutative et associative.
Oula je connais pas tout ça moi ^^
J'avoue, quelle est la définition de 4.... 2+2 ? ben nan ! 1+1+1+1 ? dans ce cas, c'est vite fait aux vues des propriétés de l'addition..... C'est une bonne question.
Pour ce genre de question, il faut savoir de quoi l'on part et définir ce que l'on utilise, soit en l'occurrence l'addition, 4 et 2.Oula je connais pas tout ça moi ^^
If your method does not solve the problem, change the problem.
Je me demande surtout comment tu pouvais comprendre une démo de 4 pages à ce sujet sans comprendre le message de 20h03 de Phys2.
Tu n'as aucun souvenir de la manière dont ils procédaient ?
Ah non j'ai dit que je l'avais mais j'ai jamais dit que je l'a comprenais. En fait j'y comprenais rien du tout même ^^ . Mais j'étais en seconde à ce moment à là et je voulais la revoir maitenant que je maitrise les intégrales, les exponentielles... Et non je n'ai pas vraiment de souvenir là dessus, juste que ça démontrait que 2+2=4 .
Je crois qu'il ne faut pas être trop ambitieux, et il vaudrait mieux commencer par la démonstration que 1 + 1 = 2.
Voici la démonstration de Russell et Whitehead dans les Principia Mathematica :
http://quod.lib.umich.edu/cgi/t/text...f;seq=00000400
Bien sur il n'y a la que les 20 dernières pages de la démonstration, mais il vaut mieux lires les 350 pages précédentes pour bien comprendre .
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Mais c'est des maths ça ? Wha je comprends aucun symbole (enfin presque) ^^
Il y a hélas tout un tas de symboles étranges qui me rendent impossible toute compréhension
Moi je crois reconnaitre des congruences un peu partout mais sinon... Les types qui ont fait ça devait être vraiment bons...
Bon, je vais essayer dans deux cadres différents (ordinaux et arithmétique de Peano):
Ordinaux:
2 correspond à l'ensemble : { {{}}, {} } (c'est l'ensemble dont les deux éléments sont {}: ensemble vide appelé zéro; et {{}}={0} sachant que 1:={0}. C'est donc l'ensemble {0,1}).
On effectue l'union disjointe de 2 et de 2, on définit A=({a}x2)U({b}x2) où {a} et {b} sont deux ensembles différents.
On munis A de l'ordre lexicographique (je ne sais jamais si j'écris le mot comme il faut) qui consiste à partir d'un ordre sur {a,b} comme a<b (par exemple) à définir dans 2+2 l'ordre (sachant que ses éléments sont des couples): (e,f)<(g,h) ssi ((e<f) ou (e=f et f appartient à g)).
Il reste ensuite à démontrer que la structure crée est isomorphe à un ordinal, ce qui est le cas d'après les axiomes de la théorie puisque l'ordre crée est un bon ordre sur A (peut être ais-je fais des confusions entre strict et non strict mais c'est essentiellement le même résultat).
Le plus petit ordinal sur lequel cet isomorphisme est effectif est défini comme 2+2. Ici, c'est l'ordinal: {{}, {{}}, {{}, {{}}}, {{},{{}},{{},{{}}}} qui vaut 4 dans la théorie des ordinaux (Rappel: la fonction successeur y est définie par S(n)=nU{n} et 0 par {}.
On a donc 2+2=4.
Peano:
Munis des axiomes de cette théorie, on a:
2+2= S(S(0))+S(S(0))
=S(S(S(0))+S(0))
=S(S(S(S(0))+0))
=S(S(S(S(0))))
=4
Attention, derrière la simplicité se cache une axiomatique précise! Je ne détaillerais pas ici.
En espérant ne pas avoir dis trop de bêtise ^^.
Si ma mémoire ne me trompe pas, il y a dans la Science et l'hypithèse de Poincarré un passage sur ce point. C'est assez facile d'accès. Comme ce livre à été réédité dans une collection récente on le trouve facilement dans les bibliothèques.