Par principe, dans le raisonnement par l'absurde (Si..., alors...) on ne sait pas si l'hypothèse de départ est vraie ou fausse. Donc on la suppose vraie (quand bien même elle serait fausse) et on voit où ça mène.
- Soit on aboutit à un résultat "normal" (par exemple D = 2), ok tout va bien, l'hypothèse initiale se trouve confirmée.
- Soit on aboutit à une auto-contradiction (par exemple 0 = 1), ok, tout va bien, l'hypothèse initiale se trouve infirmée.
- Soit on aboutit à un résultat aberrant (par exemple S = -1), et là problème : doit-on conclure que l'hypothèse initiale est fausse alors qu'il n'y a pas d'auto-contradiction ?
-----