Bonjour,
J'ai des doutes sur le mode opératoire de la datation sur de longues périodes.
Par exemple on utilise la datation au potassium/argon. La période radioactive du potassium est de 1,25 milliard d'années.
Je suppose qu'on a analysé quel était le taux de désintégration du potassium sur quelques années, puis on a extrapolé sur 1,25 milliards d'années.
Mais est ce qu'on est certain que cette désintégration est linéaire?
Est ce que par exemple après 10 000 ans, la désintégration pourrait s'accélérer, ou se ralentir.
Merci pour vos explications.
-----