Re- bonjour:
Quelques questions avec des ébauches de réponses qui demandent confirmation.
Alors voilà, supposons une zone de vide quantique.
Dans ce vide se crée une paire de particule/ antiparticule ( on simplifiera par: P/A ).
Plusieurs questions se posent: Pour réspecter les lois de conservation les deux particules doivent avoir des charges opposées, ce qui ne pose aucun problème. Mais le système:vide quantique, P/A doit avoir une énergie nulle.
On a alors deux alternatives pour replir cette condition:
- le vide prend une energie négative tant que la paire ne s'est pas annihilée et le la paire à une énergie positive strictement opposée.
- la particule prend une énergie positive, l'antiparticule une énergie négative
Bon jusque-là pas de problèmes.
Cependant je me pose quelques questions :
Si l'on prend la première alternative: le vide a pendant un temps défini par le temsp de vie de la paire, une énergie négative. La courbure de l'espace temps en ce lieu est négative est entraine donc une gravité répulsive. Celà me parait pour le moins étrange mais pas impossible en soi.
Par contre comment la désintégration pourrait entrainer le "comblement" de cette "dette" en énergie?
Cela pose problème dans le cas où l'on sépare les deux particules de la paire puisque ça signifie que le vide garde une énergie négative en ce point.
Autre problème, comment expliquer le fait que les deux particules, lorsqu'elles se rencontrent, s'annihilent puisqu'elles ont toutes deux une énergie positive.
Je pense que cette hypothese n'est pas valable.
Dans le deuxième cas ont a deux particules d'énergie opposées, l'une positive, l'autre négative.Le vide conserve une energie nulle, la paire de P/A aussi. Jusque là tout fonctionne.
Problème: est-il possible qu'une particule réelle ait une énergie négative? Au pire on peu toujours contourner le sujet en disant qu'elle est virtuelle, ce qui n'avance pas beaucoup les choses.
De plus si l'on suppose une particule d'énergie négative ( énergie/masse si l'on préfère) alors il y a deux choses : dans un premier cas : son action gravitationnelle est répulsive, dans un second cas : d'après l'équation : E= m.c2 /( racine carrée (1-( v2/c2)))
Où v est la vitesse de la particule.
Alors la particule d'énergie négative a une vitesse strictement supérieure à celle de la lumière.
Mais bon on peu supposé comme je l'écrivais quelques lignes plus aut que cette particule à une énergie négative virtuelle.
Maintenant un autre problème se pose: imaginons que l'on puisse séparer par un fort champs magnétique, où gravitationnel la P/A. Alors les deux particules ne se désintègrent pas et continuent leur chemin.
Dans ce cas je veux comprendre comment celà les autorise à ne plus obéir à l'inégalité d'heisenberg qui leur donne un temps de vie fini.
De plus si après avoir séparé les deux particules de la paire on précipite l'antiparicule sur une particule celà va engendrer la formation de deux photons dont l'énergie sera égale à la moitié de la somme de celle des deux particule ( électron/ positron). Mais on alors un problème de taille : on se retrouve au final avec plus d'énergie qu'au début.
Il y a un oubli, une erreur dans mon raisonnement. Montrez la moi.
J'imagine que le simple fait d'utiliser un champs de force, pour séparer les deux particules, va entrainer un changement de leurs énergies respectives et donc permettra de maintenir la conservation d'énergie.
Où bien les deux photons créés par la desintégration de la P/A vont "disparaître". Mais alors comment? Peut être que ces deux photons seront déphasés et s'annuleront parfaitement étant sur le même point à leur émission.
Mais dans le dernier cas énoncé je ne fais que détourner le problème: supposez que l'on ne sépare pas la paire d'origine. Alors elle s'annule mais dans ce cas précis pourquoi ne crée t'elle pas de photons? Où alors que deviennent ils?
Posez moi des questions si vous voulez des precisions mais je vous demande vraiment des réponses...
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