Bonjour à tous,
je me pose une question "métaphysique" en ce matin bruineux. Si on désire minimiser la quantité d'eau reçue lors d'une marche sous la pluie, vaut-il mieux courir, ou au contraire existe-t-il une attitude optimum?
Un premier raisonnement basé sur la réflexion simple consistant à dire que la quantité d'eau reçue est proportionnelle à la distance parcourue, donc un nombre de goutte par mètre. Q = I * d et la conclusion serait qu'elle est identique que quelque soit la vitesse du marcheur, ce qui n'est pas satisfaisant, car si la vitesse de déplacement est nulle, alors la quantité d'eau reçue est infinie.
Un deuxième raisonnement consisterait à dire que l'intensité de la pluie est un nombre de gouttes par mètre et par seconde. Dans cette hypothèse, la quantité d'eau reçue Q = I * d * t et comme t = d / v, soit Q = I * d * d / v.
Q est bien inversement proportionnelle à la vitesse, par contre on arrive au constat déroutant suivant: à vitesse donnée, la quantité d'eau est proportionnelle au carré de la distance, ce qui n'est pas très intuitif.
Mes raisonnements sont faux quelque part, mais qui a la solution?
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