Bonjour,
Je cherche l’erreur…
J'ai imaginé un système qui permettrait d'extraire plus d'énergie des aimants permanents que ce qu'il en faut pour les remettre dans leur position d'origine.
Bien sûr cela est impossible (sauf dans ma théorie où aucune énergie est créée et l'aimant devrait perdre progressivement sont aimantation.
Par conséquent ce ne serait pas un mouvement perpétuel), c'est pourquoi je n'ai pas vocation à démontrer que ça marche, mais plutôt à savoir d'où vient l'erreur.
Le système est très simple, il se base sur la différence de taille des aimants. Un aimant qui aura une taille considérable (de la taille d'une maison par exemple)
aurait un champ magnétique d'une intensité significative jusqu'à quelques mètres. Si maintenant (le flux du grand aimant doit être assez faible, du moins
pas assez puissant pour démagnétiser le petit aimant) on a un aimant cylindrique bien plus petit que l'autre, par exemple avec un diamètre de quelques
centimètres. Il pourrait parcourir plusieurs mètres sans que le flux du gros aimant change énormément d'intensité. Ainsi, peut-on tirer plus d'énergie
pendant l'attraction entre les aimants qu'il l'en faut pour changer le petit aimant de polarisation en effectuant une rotation de ce dernier (soit de quelques
centimètres sur lui-même). On ne dépense pas d'énergie dans la phase de répulsion des aimants puisque ces derniers sont bien orientés. Je pense que
même si cela marchait, il n'y aurait pas d'énergie créée étant donné que l'aimant devrait perdre son aimantation.
Voici la courbe d'intensité duchamp magnétique (simulation sur FEMM 4.2),en rouge l'énergie potentielle récupérable et en jaune, ce qui est nécessairede dépenser
pour inverser la polarité de l'aimant (en considérant que la forcemaximum d'attraction qui lie les deux aimants à cette distance soit celle quiles lient pendant la rotation de l'aimant
(même si la courbe de l'intensité quilie les deux aimants ressemble plutôt à une sinusoïde quand on effectue larotation de l'aimant)).
superfluide2.jpgpièce jointe ''superfluide2''
En rouge, nous avons la partie l’énergie potentiellement récupérable par l’aimant. En jaune, le minimum d’énergie à dépenser pour changer la polarisation de l’aimant.
superfluide3.jpgpièce jointe ''superfluide3''
On rajoute un autre petit aimant,
Je vais m’essayer à quelques calculs pour tenter d’illustrer ma pensée, il y aura sûrement des erreurs. J’ai pris un exemple, on change la polarisation à 3 mètres du grand aimant :
La primitive de 1/d² est -1/d. Ainsi, si l’intensité du grand aimant est à sa surface est de 1N, son intensité décroît avec la distance. On va prendre la surface entre 3 mètres
et 100 mètres afin d’avoir la surface qui nous donnera l’énergie potentielle récupérable (en rouge).
F(d)=-1/100-(-1/3)=1/3-1/100=0.323N/m
Le petit aimant à un diamètre de 10 cm, la distance nécessaire pour changer de pôle est de *5=15.7cm=0.157m
On prend comme référence la force maximale d’attraction à cette distance 1/3*0.157=0.052N/m (même si normalement, cela devrait donner une sorte de sinusoïde).
Pour ce qui est de son retour à sa position initiale, aucune énergie extérieure n’est nécessaire car les deux pôles sont opposés.
On a donc récupéré 0.323 J contre 0.052 J dépensé, bien sûr, même si ça marchait, aucune énergie serait créé étant donné que l’aimant devrait se démagnétiser.
Je ne prends pas en compte les pertes par frottements. On peut aussi imaginer que superman est magnétique et la terre un aimant. Lorsque superman arrive prêt du sol,
il fait une rotation sur lui-même de 180° et repars jusque dans l’espace. Peut-il gagner plus d’énergie pendant son trajet que celle nécessaire à sa rotation sur lui-même !
En faisant cette expérience de pensée (même si elle est fausse), et en lisant un article (ci-dessous), je me suis demandé si les particules étaient la résultante de la rencontre entre différents courants.
Ces courants sont constitués d’un superfluide. Ainsi, toutes matières et tous mouvements seraient dû aux différences de pression (exactement comme une différence de potentiel
engendre le déplacement des électrons).
''‘’Les tourbillons océaniques sont des structures mal connues, qui peuvent dépasser les 100 km de diamètre. Ils sont suspectés d'affecter le climat mondial. Des scientifiques ont développé
un modèle mathématique pour les décrire, qui, surprise, rappelle le fonctionnement des trous noirs...et ont découvert qu'ils transportaient la même masse d'eau, sans la moindre fuite,
pendant plus d'un an.'' En savoir plus: http://www.maxisciences.com/tourbill..._art30874.html
Copyright © Gentside Découverte’’
matière serait un fluide retourné sur lui-même, la matière refermée sur elle-même forment des dépressions et des anticyclones qui
font qu’elles s’attirent ou se repoussent en fonction de leur ‘’polarisation’’. Les pressions cherchent à s’équilibrer et tout déséquilibre engendre un mouvement.
Le sens rotation des courants correspondent aux ‘’différentes polarisations’’ :
superfluide5.jpgUne particule peut exister sans se désintégrer tant que son équilibre est maintenu
Les hautes pressions sont attirées par les basses pressions. Lorsque deux anticyclones ou deux dépressions se rencontrent, ils se repoussent tandis que une dépression
et un anticyclone s’attirent (ils cherchent à équilibrer leur pression). Ils s’auto alimente et pour être stable, il faut qu’ils soient s’équilibre (l’équivalent des charges positives et négatives).
Etant donné que un pôle est répulsif et un autre attractif, les objets finissent par s’attirer. Pour extraire un objet de la gravité, on doit créer un déséquilibre de pression plus important dans
l’objet en question que celui créé par un objet massif. Tout mouvement engendre une perte ou un gain de pression pour s’équilibrer. Les courants choisissent le chemin où la résistance
est la plus faible. Les objets sont créés à partir de la rencontre de courant de ce superfluide (cela forme des trous noirs (http://www.futura-sciences.com/magaz...nfos/dossiers/
d/physique-corps-noir-trous-noirs-743/page/13/)) ou bien, c’est des courants repliés sur eux même:
superfluide6.jpgsuperfluide7.jpg
-http://www.goes-r.gov/users/comet/tropical/textbook_2nd_edition/navmenu.php_tab_9_page_2.4.1.h tm
Probabilité de présence d’électron d’un atome d’hydrogène
-https://cours.espci.fr/site.php?id=200&fileid=746
-http://www.futura-sciences.com/magaz...ls-573/page/4/
La pression diminue lorsqu’on s’approche du cœur de la particule, ce qui a pour conséquence d’attiré les objets vers son centre. Les ondes serait des courants ‘’libres’’,
qui ne sont pas refermées sur elles-mêmes. Ainsi, elles se diluent dans tous les sens. Leur vitesse dépend de la pression de l’endroit où elles se trouvent
(plus on s’approche de la terre, plus la pression diminue et le temps ralentit. La pression diminue vers le centre comme pour un tourbillon).
Rien ne peut dépasser la vitesse d’un courant ‘’libre’’ puisqu’il cherche totalement à s’équilibrer. La vitesse de l’onde dépend totalement du milieu dans lequel elle évolue.
Plus la pression est basse, plus l’onde sera rapide et rien ne peut être plus rapide qu’une onde! (à l’inverse, dans la matière, il ne devrait avoir aucun mouvement
comme par exemple un trou noir où il ne devrait pas avoir de pression ou très peu à l’intérieur de celui-ci). La différence de pression entre les ondes et leur environnement va créer
(plus la différence est grande, plus la particule formée sera énergétique) une particule dont son sens de rotation va dépendre du sens de déplacement de l’onde,
comme le déplacement des galaxies (''Et, d'ailleurs, vous avez raison, nous avons utilisé deux images miroir d'une même galaxie pour démontrer plus clairement la différence.
Notez comme les bras des deux types de galaxies en spirale indiquent la trajectoire opposée à leur mouvement, comme si ils étaient trainées derrières elles.''
http://www.boinc-af.org/actualites-a...-galaxies.html).
La différence entre les ondes électromagnétiques et gravitationnelles est une différence de longueur d’onde (les petites longueurs d’ondes interagissent moins avec les grandes longueurs d’ondes).
La différence entre matériaux magnétique et non magnétique dépend de leur structure.
Exemple :
-On retrouve des spirales un peu partout, dans la structure de nombreuse plantes, le bois, sommes-nous fait de ‘’courant’’ qui se croisent et de particules dont leur courant forment une boucle ?
-Les orbites sont souvent elliptiques: http://fr.wikipedia.org/wiki/Anticyclone
Lorsque la vitesse augmente, les ‘’tourbillons’’ rétrécissent.
La météo est très difficile à prévoir, en cause sa complexité et nombre de facteur à prendre en compte tout comme la mécanique quantique fait usage de probabilités.
Le fait que l’univers soit un superfluide pourrait expliquer éventuellement plus facilement l’expansion de l’univers.
Pour conclure, dans ma théorie, tout est dû à des différences de pression qui engendre des anticyclones et des dépressions (par analogie à la météorologie) qui sont à l'origine des interactions.
Ces différences sont à l'origine des distances, du temps (il ne peut pas avoir plus de temps que dans une onde et moins de temps qu'à l'intérieur d'une particule),
de l'énergie, de la force, de la matière... la matière est un état stable de courants repliés sur eux-mêmes et l'énergie des ondes cherchant à se stabiliser.
Depuis que je m'intéresse à la physique, j'ai l'impression que tous les phénomènes vont dans le sens d'un superfluide (étant étudiant dans le domaine de l'eau, je vois des fluides partoutJ),
c'est pourquoi je veux des avis sérieux sur le fait que ça pourrait être une théorie envisageable ou seulement impossible pour différentes raisons.
Merci de donner votre avis et d’éclairer un physicien amateur, très amateur mais extrêmement intéressé !
Désolé pour la longueur du texte
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