Bonjour à tous,
Première question d'une longue série (c'est la rentrée !)
J'ai déjà rencontré l'expression " (quantum) temporal interferences" (toujours dans des textes d'anglo-saxons) dans le contexte d'une description des "battements quantiques" (quantum beats). Il semblerait que l'expression tienne sa légitimité du contraste nourri avec un autre genre d'interférences, spatiales celles-là : celles qui donnent lieu auxdites franges d'interférences (par exemple, dans Quantum Light for Imaging, Sensing and Spectroscopy, p.6, accessible sur Googlebooks).
Seulement je peine à comprendre ce que représente au juste une telle interférence temporelle, a fortiori dans le contexte de la physique quantique. Comment concilier le principe de superposition et le fait que les ondes partielles du paquet d'onde (ou les amplitudes de probabilité de l'état global) interrargissent les uns avec les autres à différents instants (entraînant de ce fait des interférences constructives/destructives) ? Si du moins c'est ainsi qu'il faut interpréter le concept d'interférence temporelle -- je n'exclus pas de me planter sur toute la ligne.
Somme toute, par inteférence temporelle, faut-il entendre une genre d'interférence se produisant entre des ondes linéairement combinées entre elles (et donc, mais pour le dire avec les mains, présentes "simuttanément" dans le même paquet), mais pouvant avoir des phases, des fréquences (ou d'autres caractéristiques ; mais puiqu'il est question de battements, commençons par les fréquences) différentes à chaque point dans le temps ?
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