Bonjour
Tel que le titre de ce sujet le suggère, j' aurais quelques spéculations a vous soumettre a propos de ce que je m' avancerais a appeler ici les "écosystèmes exoplanétaires" de planètes gravitant dans une zone d' habitabilité autour d'étoiles de faible masse (de type K ou surtout, de type M) étoiles qui, du a la proximité de leur zones d' habitabilité, entraîneraient immanquablement la rotation synchrone (ainsi que la disparition de toutes formes de variations saisonnières circumannuelles) des planètes gravitant dans cette zone dite d' habitabilité
De planètes donc possédant potentiellement les conditions requises pour la vie s'y soit peut-être developpée, peut-être en un écosystème global a l' instar de la terre et usant globalement des mêmes éléments chimiques constitutifs mais ne possédant AUCUNES variations cycliques, journalière, mensuelle ou annuelle auquelles l' intégralité de nos formes de vie supérieures sont apparemment profilées dans leur physiologie
J' ai pour intuition, vous me pardonnerez mon audace, de supposer que dans l' évolution de la chimie prébiotique ce dessine sur une très longue période... (avant l' apparition proprement dite de la vie et de la création d' une écologie a proprement parler ou les formes de vie deviendraient interdépendantes)
...une adaptation progressive,(un profilage donc), au contraintes typiques de l' astre (gravité typique de la planète, composition chimique planétaire, durée de révolution, de rotation, spectre de l' étoile-hôte qui irradie la planète sur lequelle elle se développe, etc..., etc...
A ce que j' en sais, toutes les formes de vie supérieures que nous connaissons sont régit par ces cycles de sommeil/veilles, et/ou d' autres variation cycliques mensuelles ou annuelles or il n'existera peut-être jamais deux planètes dans l' univers connu que l' on puisse un jour (!!!) qualifier d' "identique" a regard de ces contraintes au point que l' on ne puisse affirmer de quelle planète une ou une autre forme de vie soit originaire par l' analyse de ses rythmes physiologique ou de sa biochimie moléculaire...
il me parait aussi évident que rétrospectivement il y aura beaucoup a apprendre a ce qui serait typique de notre nature (a savoir "nous" impliquant alors bien sur un peu plus que la seule humanité comme représentant la vie sur terre)
Et si cela doit être le cas, il est fort probable que de part la relative rareté des naines jaunes de type G (et plus massive) a comparer a la profusion de naines rouges dans l' univers de telles écosystèmes globaux, et donc de formes de vie supérieures dont la physiologie ne serait régit par aucunes variations cycliques, s'avéreraient être la règle
Voila, je suis conscient et vous me pardonnerez j'espère, tout cela relève essentiellement de la pure science fiction (voire selon de la conviction mystique !)
Toutefois je reste persuadés que certaines idées auraient mérité développement car me paraissant plausible au regard de nos connaissances générales actuelles et vos éclaissisement seront bien sur, les bienvenus !
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