L'erreur est humaine...mais l'erreur ( du psy) a t'elle sa place dans une psycanalise?
-----
L'erreur est humaine...mais l'erreur ( du psy) a t'elle sa place dans une psycanalise?
quelle genre d'erreur ?
Bonsoir,
Je dirais le genre d'erreur qui ne pardonne pas
exemple : le psy croit que le patient est atteint d'un trouble alors que non c'est pas trés argumenté mais c'est une erreur ^^
De la même façon que l'erreur de l'ingénieur nucléaire? que le médecin? que le juge? que le policier? que le politicien? Toute erreur est problématique quand elle implique autrui...
Je ne vois pas trop où tu veux en venir?
Bonjour,
Déjà il faut faire attention aux termes utilisés: la psychanalise est faite par un psychanaliste. A ne pas confondre avec un psychiatre, qui est médecin, ou un psychologue qui a un diplôme de psychologie.
K
Nomina si nescis, perit et cognito rerum.
hum il est vrai!
enfin personnellement je pense que l'erreur reste humaine que l'on soit psychiatre, psychologue ou psychanaliste!!
J'ai suivi une psycanalise avec un psyciatre...il m'a enormément aidé pendant 6 ans...Alors que nous étions à la fin du "travail", il a dérapé, c'est à dire qu'il m'a fait des avances claires et physiques.
Je n'en lui veux pas...mais cet événement à ravivé de vielles douleurs et je me sens trahi..
Porte plainte. Si ce n'est pour toi, fait le pour la prochaine victime.
Soyons réaliste...une névrosé qui porte plainte contre un psyciatre (le plus important de ma région) ( le grand chef comme tout le monde l'appel ) c'est peine perdu. Il faut des preuves.
Parcontre ayant des amis dans le monde de la médecine je ne me prive pas de rapporter les faits. Ils me connaissent bien et savent que je n'ai aucun interet à descendre un de leur colègue. Parcontre j'aimerai finir mon travail, mais ma confiance et au niveau 0.
c'est vrai!!
mais un psychanaliste ne reste qu'un psychanaliste enfin ce que je veux dire c'est qu'il n'a suivi aucune étude pour ca!!
n'importe qui en France qui a suivi une psychanalise peut exercer le métier de psychanaliste... est ce bien normal? je ne sais pas mais je veux bien lancer le débat!
Porte plainte: Il est doublement coupable !!!J'ai suivi une psycanalise avec un psyciatre...il m'a enormément aidé pendant 6 ans...Alors que nous étions à la fin du "travail", il a dérapé, c'est à dire qu'il m'a fait des avances claires et physiques.
Je n'en lui veux pas...mais cet événement à ravivé de vielles douleurs et je me sens trahi..
En tant que médecin (psychiatre), il a violé le serment d'Hippocrate.
En tant que psychanalyste (avec un second y...), il a violé le "serment" de Freud.
Les médecins, les psychanalystes, les psychologues peuvent tout à fait avoir des relations amoureuses, mais hors du contexte d'une relation patient/médecin...
Ca s'appelle de l'abus de pouvoir !
Cyrille
Bonsoir,
Soit, portons plainte.
Mais en droit, comme en science, la preuve est à la charge de celui qui le dit...
Apporter une preuve dans ce cas, bonne chance...
De mon point de vue, le mieux est de mettre son mouchoir là dessus, retenir la leçon et ce qu'elle a pu t'apporter, en tirer les conséquences et changer de médecin en connaissance de cause.
Comme mentionné par Cyrille, les avances d'un thérapeute envers ses patients représentent un abus contraire à l'éthique la plus élémentaire. Bien sur il arrive que des relations amoureuses se nouent, mais dès que la question se pose il faut mettre fin à la relation thérapeutique.
C'est un peu facile.Bonsoir,
Soit, portons plainte.
Mais en droit, comme en science, la preuve est à la charge de celui qui le dit...
Apporter une preuve dans ce cas, bonne chance...
De mon point de vue, le mieux est de mettre son mouchoir là dessus, retenir la leçon et ce qu'elle a pu t'apporter, en tirer les conséquences et changer de médecin en connaissance de cause.
Beaucoup de personnes coupables de harcèlements, de viol, ou autres agressions compte bien sur le fait que la victime va penser que c'est peine perdue de porter plainte.
Rappelez-vous qu'une victime de viol "dispose" de dix années pour porter plainte (après 10 ans, des "preuves" du viol, il ne doit plus en rester beaucoup, hormis le traumatisme causé à la victime). Il est donc possible de porter plainte en l'absence de preuve.
N'oubliez pas que vous n'êtes pas seul(e)s lorsque vous portez plainte et que la police (ou une autre institution, selon auprès de qui vous vous plaignez) est là pour faire une enquête qui viendra corroborer ou non vos accusations.
ne soit pas si dur avec toi et essayes de te soigner pas toi meme
En fait, le viol est considéré comme un crime par le code pénal, donc le délai de prescription est de 30 ans et non 10 ans.
En revanche, l'agression sexuelle est un délit, donc là oui nous sommes bien dans le délai de prescription de 10 ans. Seulement ldans ec cas précis il n'y a pas eu d'agression sexuelle au yeux du code pénal français. Seules des avances ont été faites (d'après les infos dont nous disposons), et seul le code de déontologie médical réprime cette conduite (dans ce cas la plainte doit être portée auprès du conseil régional de l'ordre des médecins). Une plainte déposée à la police ou directement auprès d'un Procureur n'aboutira à rien car le code pénal ne puni pas les avances, même émanant d'un professionnel de la santé ! A moins que ces avances ont été commises sous la contrainte, avec force ou surprise et accompagnées de contact physique, dans ce cas nous sommes bien en présence d'une agression sexuelle.
80% des agressions sexuelles n'ont aucune preuve materielle (il n'y a pas de viol, donc pas de sperme à analyser). Dans ce cas précis il y a ouverture d'une enquète et expertise psychologique de la victime (évaluation du préjudice morale) ainsi qu'une expertise de "crédibilté" systématique ordonnée par le Procureur. Cette expertise est d'autant plus justifiée et attendue par le Procureur depuis le fameux procès d'Outreau...
Nous parlons ici d'avances " claires et physiques "
Ce qui n'indique pas une "drague" mais bien des attouchements directs.
Bien sur qu'il faut porter plainte. C'est un abus de pouvoir caracterise qu'il s'est effectuer pendant la psychanalyse.
Certes, l'absence de preuve sera toujours la... Mais qui dit qu'il n'y a pas eu de cas similaires avec ce psychanalyste. En sachant que le taux de recidive chez les aggresseurs sexuels est un des plus hauts.
Sur ce...
L'aide d'associations peut se reveler un elt utile dans ce genre de cas...
Attention, il ne s'agit ici que d'interprétation d'un sous entendu...une avance claire et physique peut-être prendre par la main et demander un rencart...ou passer une main sur l'épaule...à mon sens cela ne constitue pas une agression sexuelle.
Le code pénal ne réprime que ce qui y est défini ! La définition exacte est:
"Constitue une agression sexuelle toute atteinte sexuelle commise avec violence, contrainte, menace ou surprise " (article 222-22). c'est à dire que le contact doit être caractérisé sur les parties génitales primaires voir secondaires (poitrine).
Il faut donc que le contact soit physique et sexuel.
Dans le cas précis nous ne savons rien de ce qui s'est passé (je vous rappelle qu'un simple sous entendu a été émis), et je trouve que vous parlez bien vite de viol ou d'agression sexuelle sans rien savoir de ce qui s'est produit. Certes des avances de la part d'un soignant sont une faute médicale avérée punissable par voie Ordinale (code de déontolgie) mais pas par voie pénale (ce n'est pas moi qui le dit mais la législation française, que vous ne semblez pas trop maîtriser).
C'est possible car l'erreur est humaine.
Le mental est insaisissable matériellement de même que les émotions.
Il y a des psychiatres qui rendent exprès fous et complexes des gens normaux pour les avoir comme patients, comme clients.
Pour moi ce genre de psychiatres sont de la pire espèce!
Et voilà, encore un flot de croyances et de préjugés digne des ages obscures...arrêtez donc avec vos idées de persécution ! Il s'agit d'un forum scientifique où les croyances n'ont pas leur place. J'accepterais ton idée si tu me fournis des arguments valides et claires à propos de prétendus psy qui rendent fou. J'écoute donc avec beaucoup d'attention tes arguments !
En gardants en chambres d'isolations des psychiatrés pour les amener à se replier et se refermer sur eux-mêmes psychologiquement. En se servant de tranquilisants pour les abrutir et les abétir exprès au maximum, donc 1 nouvelle forme d'esclavagisme sot fort fou mental.Et voilà, encore un flot de croyances et de préjugés digne des ages obscures...arrêtez donc avec vos idées de persécution ! Il s'agit d'un forum scientifique où les croyances n'ont pas leur place. J'accepterais ton idée si tu me fournis des arguments valides et claires à propos de prétendus psy qui rendent fou. J'écoute donc avec beaucoup d'attention tes arguments !
D'asservissement fort fou mentale vis à vis du psychiatre.
De psychomanipulations folles mentales exprès pour les retenir en milieu psychiatrique et les détourner d'une vie normale.
Sans parler du reste, certains psychiatres sont de véritables monstres qui sont protégés officiellement pour continuer leurs sots barbarismes forts fous mentaux.
En fait cela s'appelle des chambres d'isolement, prévues pour des patients (et non des "psychatrés")...apprend d'abord à parler, ensuite nous pourrons continuer la conversation...
Petit rappel tout de même: les tranquilisants dont tu parles sont en fait des antipsychotiques, médicaments destinés à diminuer la symptomatologie délirante...ceci couplé à une mesure de sécurité particulière (la chambre d'isolement) est le cas particulier des bouffées délirantes avec mise en danger d'autrui (ex: décapitation des 2 infirmières de Pau par ce type de patient délirant). L'internement arbitraire n'existe plus en France depuis 1830 (mesure législatives protégant le patient hospitalisé en milieu psychiatrique). D'autres mesures de protection ont pris le relais depuis 1990: le psychiatre ne peut pas faire ce qu'il veut (contrairement au fantasme de certains qui se croient persécutés par les psychiatres ) ...ex: pour hospitaliser quelqu'un sans son consentement parcequ'il se met en danger, il y a nécessité d'une demande de tiers (un proche ou un membre de la famille), ainsi que d'un certificat médical d'un médecin généraliste extérieur à l'hopital d'acceuil et d'un certificat médical d'un psychiatre de l'hopital d'acceuil. A tout moment la personne qui a signé la demande de tiers peut se rétracter et demander la sortie du patient, ainsi que tout autre membre de sa famille d'ailleurs.
Vient ensuite un contrôle strict des patients hospitalisés sans leur consentement par un organisme indépendant à qui les psychiatres doivent rendre des comptes. Enfin, tout patient hospitalisé en psychiatrie peut demander un libre accès à son dossier médical afin d'y chercher la moindre anomalie...
Voilà !!! J'ai exposé ici des arguments valides et non simplement de vagues idées reçues...
Je suis désolé pour toi.En fait cela s'appelle des chambres d'isolement, prévues pour des patients (et non des "psychatrés")...apprend d'abord à parler, ensuite nous pourrons continuer la conversation...
Petit rappel tout de même: les tranquilisants dont tu parles sont en fait des antipsychotiques, médicaments destinés à diminuer la symptomatologie délirante...ceci couplé à une mesure de sécurité particulière (la chambre d'isolement) est le cas particulier des bouffées délirantes avec mise en danger d'autrui (ex: décapitation des 2 infirmières de Pau par ce type de patient délirant). L'internement arbitraire n'existe plus en France depuis 1830 (mesure législatives protégant le patient hospitalisé en milieu psychiatrique). D'autres mesures de protection ont pris le relais depuis 1990: le psychiatre ne peut pas faire ce qu'il veut (contrairement au fantasme de certains qui se croient persécutés par les psychiatres ) ...ex: pour hospitaliser quelqu'un sans son consentement parcequ'il se met en danger, il y a nécessité d'une demande de tiers (un proche ou un membre de la famille), ainsi que d'un certificat médical d'un médecin généraliste extérieur à l'hopital d'acceuil et d'un certificat médical d'un psychiatre de l'hopital d'acceuil. A tout moment la personne qui a signé la demande de tiers peut se rétracter et demander la sortie du patient, ainsi que tout autre membre de sa famille d'ailleurs.
Vient ensuite un contrôle strict des patients hospitalisés sans leur consentement par un organisme indépendant à qui les psychiatres doivent rendre des comptes. Enfin, tout patient hospitalisé en psychiatrie peut demander un libre accès à son dossier médical afin d'y chercher la moindre anomalie...
Voilà !!! J'ai exposé ici des arguments valides et non simplement de vagues idées reçues...
Mais c'est pas tous les psychiatres qui les respectent malheureusement!
Il y a parfois des abus et des écarts!
Ok, dans ce cas si tu estimes avoir été victime d'une hospitalisation arbitraire, tu peux accéder à ton dossier médical sur simple demande. Si cette hospitalisation n'était pas en règle légalement (pas de demande de tiers, pas de certificat médical initial émanant de 2 médecins différents ne se connaissant pas, pas de nouveau certificat médical à 24 heures d'un troisième médecin indépendant), alors là oui tu peux crier à l'injustice et saisir la commission des patients hospitalisés...
Vu que c'est parti vers du n'importe quoi et qu'il a fallu faire du ménage, on ferme.