La question du malade au centre...

[invitef9a161a9]

Voici c'est ou ce n'est pas une opinion je ne sais pas.

Mais quand je disais "Etre au centre du monde ? Les médecins aussi peuvent avoir des soucis..." c'était pour souligner que parfois le "patient" est dans une sorte de processus ou il devient celui à qui on s'intéresse, le petit centre chaud et douillet mais s'il peut souffrit par ailleurs (bénéfice secondaire ?) de son monde. Peut être l'autre en face il se tape une grosse déprime et faut qu'il entende. D'un point de vue thérapeutique, faut-il ou non sortir de cette logique ?

J'espère avoir longuement pour les modos développé et court comme j'aime le faire pour laisser le champs libre aux développements...

B.S.
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[invitee417a6df]

Je dirais que ça dépend du patient. Certains ont besoin de cadres, d'interdits, d'autres non. Pour d'autre, sous-tirer une information de son psy, genre "il est allé à l'enterrement de son vieux la semaine passée" est narcissisant, etc.

Je crois que la dynamique psy-patient dépend autant du psy que du patient, du cadre que du cadré (pour ne pas dire du tableau). C'est une histoire à construire à deux, les solutions toutes faites du genre "ah oui alors, il faut sortir de cette dynamique du pouvoir, ou de cette dynamique du secret", je me méfie.

Je vais manger un yahourt.

[invitef9a161a9]

Je dirais que ça dépend du patient. Certains ont besoin de cadres, d'interdits, d'autres non. Pour d'autre, sous-tirer une information de son psy, genre "il est allé à l'enterrement de son vieux la semaine passée" est narcissisant, etc.

Je crois que la dynamique psy-patient dépend autant du psy que du patient, du cadre que du cadré (pour ne pas dire du tableau). C'est une histoire à construire à deux, les solutions toutes faites du genre "ah oui alors, il faut sortir de cette dynamique du pouvoir, ou de cette dynamique du secret", je me méfie.

Je vais manger un yahourt.

Je vois toute la difficulté d'un débat en psy sortit du petit cadre "entre amis" ou "entre collègues" ...
Je n'ai pas de réponses toutes faites...
Bon mais avant de dire oui et non mais oui mais non est-ce que pour certain(e)s on ne pourrait pas l'envisager sérieusement jusqu'au "vivre avec" ?

Café...

B.S.

[invitef9a161a9]

Je vois toute la difficulté d'un débat en psy sortit du petit cadre "entre amis" ou "entre collègues" ...
Je n'ai pas de réponses toutes faites...
Bon mais avant de dire oui et non mais oui mais non est-ce que pour certain(e)s on ne pourrait pas l'envisager sérieusement jusqu'au "vivre avec" ?

Café...

B.S.

J'irais jusqu'à dire mais peut-être qu'on va me censurer il y en a quand ils se présentent aux urgences je leur dirais pas "oui si vous venez ici c'est que vous êtes malade" mais "Ecoutez, j'ai mal dormi, j'ai mal à la tête alors s'il vous plait prenez la porte mais ne l'emportez pas !"... Oups j'y vais fort !

B.S.

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitef9a161a9]

J'irais jusqu'à dire mais peut-être qu'on va me censurer il y en a quand ils se présentent aux urgences je leur dirais pas "oui si vous venez ici c'est que vous êtes malade" mais "Ecoutez, j'ai mal dormi, j'ai mal à la tête alors s'il vous plait prenez la porte mais ne l'emportez pas !"... Oups j'y vais fort !

B.S.

Je précise : dans une relation où on vit avec l'autre me voit il se confronte à moi, je me confronte à lui. Dans une relation médicale classique aussi vraie que soit la douleur je ne vais pas pouvoir dire à l'autre "Bon, là tu gave, bouge ton cul bordel". Alors qu'au quotidien ça peut se produire, et est-ce plus mal ?

B.S.

[invitec9f0f895]

Bonjour

Nous ne sommes pas au café du commerce ici! si vos messages n'ont pas une base scientifique, alors ils n'ont rien a faire sur le forum. Cette discussion n'a ni queue ni tete, je la verrouille... oups moi aussi j'y vais fort!

YOyo