La haine de la psychiatrie, déni schizo ou reelmt asymptomatique
Je reviens du centre médico psychologique, où j'ai des entretiens infirmiers à répétition depuis ma sortie d'asile fin octobre 2010.
Un petit récapitulatif de mon personnage :
-Paramnésie personelle à l'adolescence(moments de déjà-vus), au lycée, pris pour symptomes psychiatriques, diag. début schizophrénie et mise sous neuroleptiques dès les troubles médiumniques.
-Continuité de la scolarité en milieu ordinaire jusque 19 ans sous traitements(fin des études secondaires, bachelier scientifique banal amentionné).
-Universitaire 1er cycle marginal, pas d'accroche sociale, scolaire, pas au niveau, abandon des études à bac+0 en 2005.
-Internement court, mise à la cotorep, depuis, pas de réinsertion depuis.
-En 2008, diag. cancer des ganglions, maladie de Hodgkin, guérie en quelques mois(je fais des controles sanguins réguliers et pour l'instant ça baigne).
-Ici, en octobre, internement à ma demande en HL, dans un complexe hospitalier important de la région(durée 15 jours).
-->Sous solian 600 à 800 mg depuis 10 ans, jamais travaillé, jamais baisé, haine lymphoblastique envers les psychiatres, moins vers la société, mais réelle.
Grande souffrance dans mon vécu, aucuns amis, aucune sociabilité hormis ma famille qui se fait de plus en plus discrète.
Je passerai les fetes de noel avec mes parents, c'est ainsi depuis ma mise à la Cotorep, c'est à dire plus de 5 ans.
Dois-je aller voir un exorciste?
A+ les anti-fous.
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