bonsoir,
Ma question ne concerne pas exactement le Gulfstream, mais après lecture de votre dossier à son sujet (très clair et intéressant, merci ), je me demandais si l'apparition au cours des dernières 10 années d'ordinateurs bien plus puissants que leurs prédécesseurs avait eu un impact notable sur les simulations climatologiques et la compréhension de la physique de l'atmosphère ?
J'aurais en effet tendance à penser que la réponse est évidemment positive (je sais que tel a été le cas pour certains problèmes en astrophysique ou physique des solides - en particulier lié à des simulations Monte-Carlo dans ce dernier cas), mais me suis également dit que la climatologie était peut-être si complexe que les progrès matériaux n'avaient pas été suffisants pour ce faire...
Une question parallèle/subsidiaire qui me vient en vous posant la première : les méthodes MC ont-elles le moindre intérêt en "climatologie numérique" ?
merci d'avance.
-----