Bonjour,
Quelle doit être la résistance d'un élément de protection (grillage) au flux thermique et à l'impact d'aérosols qui aurait pris feu.
Merci de votre aide
Larry40
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Bonjour,
Quelle doit être la résistance d'un élément de protection (grillage) au flux thermique et à l'impact d'aérosols qui aurait pris feu.
Merci de votre aide
Larry40
Bonjour
Vous avez déjà posté le 25/09/2008, à 17h34 sur ce sujet.
Cela ne sert à rien de poster en doublon d'autant que dans votre deuxième post, on ne peut pas répondre sans absolument aucune information sur les tenants et aboutissants.
Si je prend un mini aérosol qui prend feu dans une poubelle de ménage ce n'est pas la même chose que mille aérosol qui vont provoquer des réactions en chaînes et donc une pression sur le grillage sera élevé du fait des explosions et du souflle qui l'accompagne.
Donc un grillage même non chauffé à blanc résitera moins à une explosion que le même grillage chauffé à blanc résistant à un feu de bois pendant plusieurs heures.
Donc votre question posée telle quelle n'a aucune chance d'intéresser mes camarades du forum qui sont pourtant bien conciliants.
Cordialement
PS : Si un(e) gentil(le) MODO pouvait regrouper les deux fils se serait mieux. Merci
Bonjour,
A l'époque où je travaillais sur banc d'essais de machines tournantes, pour les pièces en rotation je faisais faire des protections en tube et grillage en métal déployé. Le grillage était soudé à l'intérieur d'un cadre fait avec un "treillis" de tubes en acier. Ce principe avait pour avantage d'être relativement léger et d'empêcher un écrou de 20 ou 25 mm d'être satellisé hors de la protection. De plus le fait que le grillage soit à l'intérieur faisait que ce n'était pas la soudure qui absorbait l'énergie mais le grillage qui venait se plaquer contre les tubes.
Mais c'était de l'empirisme.
Attention, à environ 700°C l'acier "corsé" ordinaire n'a plus aucune résistance par rapport à celle qu'il a à 20°C. A 700°C il faut prendre de l'acier dit "réfractaire" ou spécial haute température..
Bonjour,
Ces éléments sont intéressants et composeront une première partie de mon dossier.
Merci d'avoir bien voulu préter attention à ma demande.
Je constate que sur ce forum, certains sont effectivement très conciliants.
Merci encore
Larry40
Bonsoir
Pouvez vous nous donner la surface de stockage dans les 3 dimensions Longueur largeur Hauteur.
Si ce n'est pas trop immense on peut trouver des solutions plus fiables au moins plus solide que le grillage.
Egalement donnez une moyenne de la taille et du nombre d'aérosol par M3 ainsi que le gaz propulseur (butane ou autre).
Pouvez-vous fractionner en plusieurs volumes ou êtes vous tributaire des murs résistants 2 heures au feu.
De quelle matière sont constitués ces murs.
Question déjà posée : Pourquoi la Drire ne vous donne pas une indication sur le grillage à utiliser ou une norme. Cela éviterait de réinventer la roue ou de faire trop solide par rapport à ce qui est demandé du point de vue norme.
Cordialement
Bonsoir,Bonsoir
Pouvez vous nous donner la surface de stockage dans les 3 dimensions Longueur largeur Hauteur.
Si ce n'est pas trop immense on peut trouver des solutions plus fiables au moins plus solide que le grillage.
Egalement donnez une moyenne de la taille et du nombre d'aérosol par M3 ainsi que le gaz propulseur (butane ou autre).
Pouvez-vous fractionner en plusieurs volumes ou êtes vous tributaire des murs résistants 2 heures au feu.
De quelle matière sont constitués ces murs.
Question déjà posée : Pourquoi la Drire ne vous donne pas une indication sur le grillage à utiliser ou une norme. Cela éviterait de réinventer la roue ou de faire trop solide par rapport à ce qui est demandé du point de vue norme.
Cordialement
Merci d'avoir bien voulu me répondre.
Voici les données :
- longueur : 12m
- largeur : 12m
- hautuer : 10m
- nombre d'aérosols / m3 : 1200
- taille d'un aérosol : 400ml
- gaz essentiellement butane
D'autre part, il ne nous est pas possible fractionner et cette zone grillagée est dans une cellule de 6000m² en mur de béton coupefeu 2h.
Pour la petite histoire, la DRIRE ne donne pas d'indication si ce n'est le rappel de l'obligation de l'entreprise à prouver que ces mesures préventives sont suffisantes!!
En tous cas, merci pour ce soutien.
Cordialement
Larry40
Bonjour,
Vu l'ampleur du dépôt, j'ai une question. Avez-vous contacté le service départemental d'incendie? Car il faut savoir le comportement des aérosols en cas de feu.
Les pompiers ont aussi au moins une revue qui étudie et explicite les feux particuliers. Il y a peut-être déjà quelque chose sur le sujet.
Il faut aussi savoir comment et par où combattre le feu.
Jadis, une des solutions retenues pour les locaux explosibles était de faire des toits relativement légers qui servent de soupape en cas d'explosion. Il faut aussi savoir par où on attaque le feu ou si on le laisse bruler et là effectivement un grillage est suffisant pour arrêter les projectiles. Le métal déployé c'est du costaud car à une époque c'était très employé pour faire des passerelles de circulation.
En aparté je vous livre une expérience personnelle vécue par moi-même sur un incendie.
Dans un atelier auprès d'une petite machine je vois au fond d'une vieille poubelle acier un feu. Rien de bien méchant. Le long du mur je vois une rangé d'extincteurs : eau, poudre, gaz carbonique. Ne connaissant pas trop la nature du feu, j'ai pris le gaz carbonique. Mal m'en a pris car lorsque j'ai attaqué le feu, la chasse de l'extincteur a fait que tout ce qui brûlait est passé par dessus les bords de la poubelle et que j'avais à présent des brûlots sur environ 1m2. Heureusement la zone était peu encombrée et ai réussi à éteindre le feu en changeant d'extincteur et en, en prenant un à poudre. La poudre a réussi mais c'était un petit feu de magnésium.