Bonjour,
Ma question se pose sur le thème du "danger de l'électricité".
Quel est le courant le plus dangereux pour l'homme? et pourquoi?
Moi je dis le courant alternatif car le courant max est multiplié par racine carré de 2
Merci par avance
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Bonjour,
Ma question se pose sur le thème du "danger de l'électricité".
Quel est le courant le plus dangereux pour l'homme? et pourquoi?
Moi je dis le courant alternatif car le courant max est multiplié par racine carré de 2
Merci par avance
bonjour,
le courant alternatif aux frequences ou on l'utilise à des dangers particuliers, je crois qu'il interagit avec certains influx nerveux cardiaques, il à de plus tendance à tétaniser (rester coller)
fred
Les deux sont dangereux au dessus de 24v (tension non létale). Maintenant, fait des essais ... si on ne te vois plus, c'est que tu as dépassé la limite.
bonjour,
je crois que tu auras pas mal de renseignements ici
http://www.med.univ-rennes1.fr/etud/...risations.html
fred
Merci, le courant alternatif semble plus dangereux.
Merci pour ton aide FredLa fréquence doit être prise en considération. Le courant domestique est sinusoïdal de fréquence 50 Hz. La fréquence maximale de survenue de troubles du rythme cardiaque se situe entre 40 et 150 Hz. Le courant alternatif est plus dangereux que le continu. Il induit une dépolarisation de la membrane cellulaire responsable d'une libération d'acétyl-choline synaptique. Il en résulte une tétanie musculaire prédominant sur les fléchisseurs et responsable du "Cannot let go" des Anglo-saxons (maintien de la préhension du conducteur par la victime).![]()
il n'y a pas que le danger en cas de contact accidentel
il y a aussi le danger de court circuit et le fonctionnement des disjonteurs ou des fusible
avec des charge inductive en courant continu les arc electrique sont tres difficile a eteindre : les fusible ou les disjonteur pour du 220v ac sont incapable de couper le meme courant en 220v continu
pour faire la meme chose en dc qu'en 50hz tous les interupteur contacteur disjonteur et fusible doivent etre bien plus gros et plus cher
l'impossibilité de faire des transfo en dc est moins gave aujourd'hui car de toute facon les transfo 50hz sont souvent remplacé par des alim a decoupage
je pense que le transport d'energie se fera peut etre un jour en continu , mais avec conversion en alternatif avant utilisation : pas pour la securité des electrocuté mais la fiabilité des interupteurs
Bonjour,
T'as des exemples?avec des charge inductive en courant continu
Peut-etre parce qu'ils ne sont pas fait pour, non?les fusible ou les disjonteur pour du 220v ac sont incapable de couper le meme courant en 220v continu
Possible, mais quel intérêt? et surtout quel rapport avec le danger en électricité (alternative et continue)?je pense que le transport d'energie se fera peut etre un jour en continu
On parle bien d'une comparaison entre le danger en alternatif et en continu? Ou est-ce que l'on s'égare un peu?
example : avec un moteur a courant continu 220v branché par une prise : si ont debranche en marche ca fait un arc electrique tres long beaucoup plus dangereux qu'en alternatif
il y a eu de la distribution d'electricité en courant continu , ca a été abandonné pour des raison de securité : l'electrocution n'est pas le seul danger : les arc electrique qui mettent le feu ne sont pas mieux
Un exemple typique, ce relais (pris au hasard)
Pouvoir de coupure :
- En AC 250V 5A
- En DC 30V 5A
Bonsoir
je pense que le transport d'energie se fera peut etre un jour en continuIl en existe toujours; par exemple l'échange d'énergie électrique entre la France et l'Angleterre, réalisé ainsi pour des raisons de prix de revient, malgré la conversion AC==> DC puis DC==> AC, mais l'avantage de ne pas avoir à synchroniser les deux énormes réseaux de distribution.il y a eu de la distribution d'electricité en courant continu , ca a été abandonné pour des raison de securité
Pour revenir à la question d'origineDonc un courant "max" de 10A est en réalité 14.14 A.... Curieux non ?Moi je dis le courant alternatif car le courant max est multiplié par racine carré de 2
A+
Dernière modification par invite76532345 ; 22/06/2009 à 08h02. Motif: Faute de syntaxe
et surtout des raisons pratiques : l'interdiction de tout transformateur , et donc l'obligation de produire et transporter la basse tension (110V à l'époque) avec les pertes qui en découlent.
L'interdiction des transfo était aussi fort pénalisante pour les radios (alors à lampes), premiers téléviseurs , bref tout consommateur d'énergie ayant des besoins variés en tensions de fonctionnement.
J'ai trouvé ce document intéressant : http://www.stielec.ac-aix-marseille....bilitation.htm
bonsoir,
un courant alternatif en 50 hz s'annule 100 fois par seconde, si un arc se crée (dans un fusible ou un contacteur) il ne dure pas plus de 10 msCitation:
les fusible ou les disjonteur pour du 220v ac sont incapable de couper le meme courant en 220v continu
Peut-etre parce qu'ils ne sont pas fait pour, non?
et les conditions pour maintenir un arc electrique sont trés differentes de celles nessecaires pour le créer
donc si l'arc est coupé car le courant s'anulle, il est peu probable qu'il reaparaisse alors que pendant ce temps la les contacts se seront eloignés
fred
Je ne parlais pas de courant max désolé, je me suis trompé, mais de courant nominal.Donc un courant "max" de 10A est en réalité 14.14 A.... Curieux non ?
Merci à tous pour votre participation, j'ai encore appris plein de choses aujourd'hui.
A bientôt
Bonjour
Cette valeur de I: Inom x 2(1/2) est une valeur "de pointe", pas constante.
C'est donc bien un maximum instantané.
1/4 de période plus loin dans le temps, le courant est "zéro". Ce qui est un minimum instantané.
Puis le courant s'inverse pour passer à une valeur maxi inverse (signe -).
L'intégration dens le temps donne la valeur moyenne.
C'est assez bien expliqué ici:http://books.google.fr/books?id=L9Dj...esult&resnum=1
Quant à l'effet de la pointe sur le corps humain, cela dépasse mes compétences. C'est l'affaire d'un médecin.
A+
Ah, la bonne blague du courant et de la tension "efficace"....
Tout ça parce que du fait de la forme de la tension ET du courant sinus, lorsqu'on fait sin2 (U*I pour avoir la puissance, LA grandeur intéressant l'électrotech) on obtient en moyenne 1/2 de la puissance comparée à du continu (à condition d'être en phase bien sûr, ce qui n'est absolument pas sûr... mais c'est une autre histoire bien plus sérieuse).
Et comme ce 1/2, ça frustrait certaines personnes, elles ont inventé une notion totalement non mesurable de tension et courant "efficace". Et pour ne pas faire de jaloux, pour ce débarasser de ce 1/2, on a balancé du 1/racine(2) sur la tension et le courant (tout 2 de forme sinus et en phase, faut-il le rappeler).
Du coup, on garde cette formule P=U*I (sans ajouter de coefficient de forme des signaux). Mais seulement pour le cas particulier de siganux sinus en phase.
Allez donc me donner le courant "efficace" d'un courant alimentant sous tension sinus un transfo suivi d'un pond de diodes, d'un condo et d'une charge (exemple: bloc alim simple, lampe fluo-compactes, etc)...
non polo tu te trompe un peu : le courant ou la tension efficace est tout a fait mesurable
le courant efficace est le courant continu qui fait chauffer une resistance de la meme facon que le courant alternatif a mesurer
il y a eu des voltmetre et amperemetre thermique donnant des mesure efficace quel que soit la forme du signal
la plupart des voltmetres ne mesurent pas la valeur efficace mais la valeur redressé moyenne corrigé d'un rapport 1.1111 pour que ca corresonde a la valeur efficace avec un signal sinusoidal
les appareil plus cher mesurent bien la vrai valeur efficace vraie mais ca ne sert pas a grand chose , car P = U x I n'est de toutes facon pas valable pour des signaux de forme tordue : le resultat avec mesure efficace vraie est en general encore plus faux qu'en valeur redressé moyenne des appareil ordinaire
autre remarque le courant efficace est le courant efficace pour chauffer : pour charger une batterie ou electrolyser c'est le courant moyen qui compte : ne jamais tenir compte des galvanometre de chargeur de batterie gradué betement en courant efficace : avec un courant en impulsion le courant efficace est trompeusement superieur au courant moyen reelement efficace pour charger
Mais alors vraiment très peu...
L'"efficacité" du courant dépend de la tension et vice versa.
Conclusion, c'est totalement inefficace de parler de courant ou tension "efficace", l'un dépendant de l'autre et réciproquement.
La tension n'a rien d'"efficace" si le courant n'a pas la même tête (exemple typique des redresseurs + condo)...
Bref c'est une notion fumeuse qu'on se traine comme un boulet, et qui engendre des erreurs dues entre autres aux appareils de mesures qui essayent de s'y accrocher.
On peut mesurer un tension ou un courant (crête), on peut mesurer une puissance (si on dispose des 2 mesures U et I instantanées), mais toute interpolation par règle fumeuse et approximative pour déduire une puissance des valeurs crête ou redressée moyenne des tensions et courants engendre des erreurs souvent de mesure, parfois et c'est plus grave de raisonnement.
on s'ecarte du sujet de depart , mais la discussion est interressante : comment mesurer une tension alternative ?
mesurer reelement la tension de crete est tres mauvais : il suffit qu'il y ait quelques parasite a haute frequence , ou un peu de distortion pour que la valeur crete augmente de facon non significative
la mesure de la tension redressée moyenne est la methode de mesure la plus fiable et la plus precise
l'habitude de faire afficher la valeur efficace a un appareil qui mesure en realité la moyenne a quelque chose de bancal , mais je ne vois pas comment faire autrement
La valeur crête est très importante si on ne veut pas écrêter...
Par exemple pour calculer la vrai puissance.
Mais ce n'est plus avec un appareil 2 fils, mais 3 fils qu'on peut vraiment mesurer une puissance.
Salut à tous,
La tension efficace correspond à la tension continue qui transporterait la même énergie. La tension moyenne correspond à la tension continue qui transporterait la même charge électrique..
C'est pour ça qu'en alternatif on fait intervenir le cos(phi) qui tient compte du déphasage. Et si tu veux être vraiment rigoureux en alternatif, il faut faire les calculs en nombres complex...Par Polo974:
Du coup, on garde cette formule P=U*I (sans ajouter de coefficient de forme des signaux). Mais seulement pour le cas particulier de siganux sinus en phase.
Pour ce qui est du cas ou le signal n'est plus sinusoïdal, il faut faire la transformée de fourrier, et calculer la puissance pour chaque harmoniques. La somme de toutes ces puissances donne la puissance totale.
Je vois pas ou est le problème. Il suffit d'échantillonner le signal et d'en faire la moyenne quadratique. On obtient bien la valeur efficace et même si il y a de la distorsion.Par Chatelot16:
la mesure de la tension redressée moyenne est la methode de mesure la plus fiable et la plus precise
l'habitude de faire afficher la valeur efficace a un appareil qui mesure en realité la moyenne a quelque chose de bancal , mais je ne vois pas comment faire autrement
Ni la tension ni le courant tout seul dans leur coin ne "transporte d'énergie".
C'est le produit instantané U(t) * I(t) qui donne la puissance instantanée, il faut ensuite faire une moyenne sur un temps assez long et/ou correspondant à la période du signal pour avoir la puissance moyenne.
Mais la tension "efficace" ou le courant "efficace "ne sont que des vues de l'esprit qui atteigne actuellement très vite des limites qui les rendent plus encombrant qu'utile.
Eh bien voilà le cos phi est la première forme de limite, mais on reste avec des grandeurs U et I purement sinus.C'est pour ça qu'en alternatif on fait intervenir le cos(phi) qui tient compte du déphasage. Et si tu veux être vraiment rigoureux en alternatif, il faut faire les calculs en nombres complex...
....
Ok, il y en a qui tordent le coup au cos phi pour lui faire prendre en compte des choses qui ne le regarde pas, genre présence d'harmonique...
En passant, pas besoin de complexe ou de transformée de fourier pour calculer une puissance.
juste une moyenne de produitsU(t) * I(t) ....
