Bonjour,
je suis à la recherche d'un métal ayant un ΔR/ΔT le plus élevé, autrement dit une grande variation de sa résistance pour une petite variation de température.
Pour cela j'ai le choix entre l'or, le titane, le platine, le chrome ou le nickel.
Est-ce que quelqu'un aurait une idée ou besoin d'infos complémentaires ?
Merci
Bonjour
Je ne suis pas certain d'avoir compris.
Vous ne voulez pas parler du Nitinol ?
Cordialement
Faim dans le monde. Ne laissez de contributeur "sur leur faim", informez nous
Pourquoi faire ? un thermomètre ? dans quelle plage de température ?Envoyé par JerValJer
le Nitinol , c'est de la mémoire de forme .
Dernière modification par DAUDET78 ; 08/04/2013 à 14h00.
J'aime pas le Grec
On peux également considérer les alliages. C'est pour la réalisation d'un nanocalorimètre. Je cherche un métal ou alliage sensible sur de très faibles variations de températures.
Si tu veux de la sensibilité ... regarde les CTN .
J'aime pas le Grec
C'est à l'échelle du nanomètre, je ne suis pas sûr qu'il existe de CTN aussi petites.
bonjour, veuillez mettre votre cahier des charge COMPLET SVP , sinon on aura encore des inconnues au bout de 2 pages
Etant donné que je commence à peine ce projet, j'en connais pas beaucoup plus. Je suis en pleine recherche bibliographique. Comme j'ai dit c'est pour un nanocalorimètre, un système détectant des quantités de chaleur à l'échelle du nanomètre. Et je dois trouver un métal capable d'avoir une dérive thermique maximale tout en étant stable. Je dois pouvoir au moins détecter des variations de 0.1°C pour une puissance de 1nW.
une mesure par rayonnement me semble plus adéquate.
CAR ta çonde résistive devant être parcourue par un courant , ça va fausse la mesure
par effet Joule.
Généralement, les sondes de précision sont réalisées avec un filament de platine.
Exemple: sonde PT100.
Coef: 0,4 % / degré.
Jean
En effet, beaucoup de métaux non-alliés ont un coefficient comparable, environ l'inverse de la température absolue, mais le platine a l'avantage d'être stable, bien connu dans les détails pour cette fonction, et très peu affecté par l'environnement chimique. Il peut également être déposé en couche minces sur divers substrats, si un fil est trop grossier.
Je pense que c'est un matériau de choix pour des mesures traditionnelles, mais si on veut aller aux limites, il faut peut-être penser à des méthodes alternatives, plus innovantes, utilisant d'autres mécanismes.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Je me base sur un procédé de fabrication déjà existant et il faut que le matériau reste sous forme de couche comme sur cette image :
http://www.nist.gov/mml/mmsd/nanocal...asurements.cfm
Le platine est effectivement ce qui reviens le plus dans ce que j'ai pu trouver sur le sujet. Mais je me demande si il n'y aurait pas d'autres métaux envisageables.
Je viens de faire le point avec mon maitre de stage. On part sur le platine, c'est celui qui est le plus intéressant pour le projet.
Merci de vos éclairages !
