Obsolescence programmée - Page 4

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Obsolescence programmée



  1. #91
    Jean-GUERIN

    Re : Obsolescence programmée


    ------

    Bonsoir à toutes et à tous,

    Hum !

    L’« obsolescence programmée » telle que définie dans le sondage est « dans les gènes » de tout produit industriel. Quand on étudie un produit, on le fait – depuis des décennies - en fonction d’une durée de vie prévisionnelle. Par exemple 300 000 heures pour une turbine à vapeur de centrale électrique (30 ans de fonctionnement continu), ou 5 heures (3 h d’essai et 2 h de course) pour un moteur de Formule 1 … Une automobile « standard » était étudiée pou 2 500 heures (soir 100 000 km) dans les années 70, beaucoup plus aujourd’hui.

    Ces durées de vie sont en fait nécessaires. Pas exemple, une machine à laver le linge actuelle va consommer, disons 50 l d’eau et 1 kWh d’électricité pour une lessive à 40°. Son ancêtre de 1980 consommait 100 l d’eau et 2 kWh pour la même lessive … et le linge était moins bien lavé.

    Donc, la machine à laver « ancienne » est techniquement obsolète lors de sa mise au rebut par ses consommations devenues excessives et son efficacité de lavage moins bonne.

    Cela est vrai pour tout produit industriel « semi-durable » - dont la consommation est donc hors « effet de mode » dans la durée, mais pas au niveau de l’acte d’achat, pendant lequel cet effet de mode joue à plein. Ou encore pour les produits industriels lourds « durables » (turbine, alternateur, chaudière, …), pour lesquels l’effet de mode est toutefois nettement plus faible.

    En outre, le recyclage des matières premières est de plus en plus performant. Comme dans le même temps, la production d’un produit demande de moins en moins d’énergie et de matières premières, la « consommation totale » sur le cycle « fabrication-utilisation-recyclage » commence à baisser, tout au moins si on considère l’« empreinte écologique » d’un ménage utilisateur.

    Ceci étant, il est techniquement possible de « programmer » des pièces essentielles pour qu’elles cèdent au bout d’un certain temps. Mais je vois mal l’intérêt par exemple pour des imprimantes informatiques, produit pour lequel le fabricant ne vend pas une imprimante, mais des cartouches d’encre ! De même, Kodak ou Polaroïd n’ont jamais vendu des appareils photo, mais des pellicules … ce qui les a perdus avec l’arrivée du numérique.
    Il est de mauvaise politique de programmer la rupture prématurée d’UNE pièce, même essentielle : cela veut dire que l’on a fait de la « surqualité » - donc gaspillé de l’argent - pour TOUTES les autres pièces du produit ! Autant faire un produit qui « tombe en ruine » globalement à une certaine limite – c’est ce que l’on fait depuis des décennies dans l’industrie.

    Pour une « gamme » donnée, les durées de vie des produits en question ont tendance à s’allonger avec le temps - au plan qualité de fabrication - et à réduire avec le temps - au plan obsolescence technique. Cependant, certains fabricants pratiquent la « mise à jour » de leurs produits, pour « suivre » la technologie (par exemple certaines machines à laver le linge). Ce « rétrofit » est monnaie courante par exemple dans le domaine des armements. Le débat est en outre faussé par l’introduction sur le marché de nouveaux arrivants, avec des produits à prix « cassés », mais technologiquement moins aboutis (produits blancs, …).

    Evidemment, cela ne joue pas du tout de la même façon pour des produits « durables » - par exemple les œuvres d’art (bronzes, tableaux, porcelaines, meubles, …). Ils peuvent durer des siècles en gardant leurs fonctionnalités – dans le cas d’un œuvre d’art, la fonctionnalité est « être regardé » … Mais leurs prix de fabrication sont très élevés, de niveau « artisanal ». Je pense par exemple aux productions du verrier Gallé, au XIXe siècle, dont les taux de rebut (casse pendant la cuisson) dépassaient largement 50 % si mes souvenirs sont bons. Ces produits étaient tout, sauf des produits de consommation de masse : ils étaient donc réservés à une toute petite minorité de la population. Par contre, des vases originaux Gallé « seront encore regardés » pendant quelques siècles : aucune conséquence sur la consommation de matières premières ou l’émission d’EGS !

    Enfin, ce fil me semble largement connexe avec les échanges sur la créativité technologique http://forums.futura-sciences.com/de...ml#post3887243 . Ce fil précise beaucoup des notions évoquées ci-dessus, sous un autre angle.

    Compte tenu de ce qui précède, le sondage en l’état est indécidable :
    • La panne programmée précocement d’une pièce essentielle est stupide, ce qui ne veut pas dire que personne ne pratique …
    • L’obsolescence technologique d’un produit est « naturelle » et il est nécessaire que son usure amène à le remplacer par un produit plus performant à tous niveaux …
    Amitiés,

    Jean

    -----
    Γνῶθι σεαυτόν

  2. #92
    stefjm

    Re : Obsolescence programmée

    Citation Envoyé par Senide Voir le message
    J'en connais un autre: pas cher tu me coutes, cher tu me couteras.
    Je pense que cela est malheureusement de moins en moins vrai. Au nom de la compétitivité et du profit, on monte des éléments de plus en plus fragiles même sur les marques. Et quand quelqu'un à un problème avec un produit couteux, il change de politique : la prochaine foi il achète du bon marché.
    Gobalement, je ne regrette pas d'avoir toujours investi dans la qualité.
    Je viens de réparer ma télé de 1993 plutôt facilement : Démontage facile, carte facile à extraire, reprise des soudures qui avaient cédé sur le connecteur, remontage.

    L'inconvénient est que j'ai toujours une télé à tube de 90cm, à entrées analogiques qui marche parfaitement! Je suis un très mauvais consommateur mais je supporte très bien la situation.

    Un autre exemple, j'ai réparé mon aspirateur de "grande" marque avec les pièces de celui dont mes parents ne voulaient plus. (on est un peu fou dans la famille, on achète le matos en fonction des réparations futures!)

    Il faut voir aussi le scandale des pièces détachées pour le particulier! En commandant en "pro", un balais vendu 25 € TTC n'en vaut plus que 2 HT.
    Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».

  3. #93
    jiherve

    Re : Obsolescence programmée

    Bonjour,
    De même, Kodak ou Polaroïd n’ont jamais vendu des appareils photo, mais des pellicules … ce qui les a perdus avec l’arrivée du numérique.
    Totalement faux Kodak et Polaroïd vendaient des appareils photo depuis l'origine, ils ont un peu raté le virage c'est tout.
    kodack photo de famille :http://www.google.fr/search?q=kodak+...w=1273&bih=749
    pour la cremeri de Mr Land:http://www.google.fr/search?q=polaro...w=1273&bih=749
    JR
    JR
    l'électronique c'est pas du vaudou!

  4. #94
    Jean-GUERIN

    Re : Obsolescence programmée

    Re-,

    Citation Envoyé par jiherve Voir le message
    Bonjour,

    Totalement faux Kodak et Polaroïd vendaient des appareils photo depuis l'origine, ils ont un peu raté le virage c'est tout.
    kodack photo de famille :http://www.google.fr/search?q=kodak+...w=1273&bih=749
    pour la cremeri de Mr Land:http://www.google.fr/search?q=polaro...w=1273&bih=749
    JR
    JR
    Désolé de mon expression incomplète. Je voulais dire que le "produit" de Kodak ou Polaroïd - sur lequel était basé le développement de l'entreprise - était la pellicule, et très accessoirement l'appareil-photo lui-même. Contrairement à des Nikon ou Canon, qui sont des fabricants d'appareils photos.
    De même, le business des fabricants d'imprimantes informatiques, c'est la vente de l'encre (voire de l'entretien), et non des machines.

    Donc dans mon esprit, pour Kodak et Polaroïd, la notion de "rater le virage", malgré des efforts de leur part, ne s'applique pas vraiment. Le produit de base que vendait leur entreprise n'existe tout simplement plus.

    Ceci rejoint d'ailleurs un autre point du fil, concernant les pièces détachées (PR). Il est clair que les marges des fabricants sont énormes sur ces pièces. En effet, la clientèle est "captive", et la dépense unitaire est en fait faible pour le client, d'où cette démarche commerciale qui consiste à vendre les PR "un ordre de grandeur au-dessus" (donc x 10) des prix en série ...

    Amitiés,


    Jean
    Γνῶθι σεαυτόν

  5. #95
    invite42ec2ede

    Re : Obsolescence programmée

    Salut,

    Ci-dessous une partie d'un rapport que que j'ai écrit avec 2 collègues sur l'obsolescence programmée:


    En 1924, le cartel Phoebus est créé. Jusqu’en 1939 environ, les grands noms qui le composent, tels que GE, Philips ou encore Osram vont se partager le marché mondial des lampes et ampoules. L’objectif était de régulariser le marché en contrôlant la production et la demande des ampoules pour en assurer les ventes. Par exemple, General Electric se rend compte que les ventes de lampes pourraient augmenter de 60% si l’efficacité de celles-ci était revue à la hausse et leur durée de vie à la baisse. C’est ainsi que ces lampes sont passées d’un système à trois batteries à seulement une batterie à la fin des années 1930.
    Le phénomène a été le même pour les ampoules 200 Watts dont la norme de 1000 heures fut baissée à 750 heures ou encore de 300 à 200 heures pour un autre modèle.

    Bien entendu, la raison était d’augmenter la fréquence de remplacement des ampoules ou des lampes et rien de tout cela n’est rendu publique mis à part peut-être la justification de cette durée de vie et le fait que ces lampes étaient plus performantes.

    En 1932, Bernard London, courtier immobilier et homme d’affaire, reconnaît qu’en cette époque de grande dépression les moyens de production, largement automatisés, permettaient de satisfaire une demande amplement plus grande que celle existante. Le problème était donc de faire suivre cette capacité de production par la demande, à une période où la qualité de vie n’était pas très bonne pour une bonne part de la population. Car effectivement, à cause d’une baisse notable de la consommation, les usines sont obligées de tourner à bas régime et le taux de chômage se fait ressentir en conséquence. London propose donc au gouvernement américain d’imposer une durée de vie légale des produits afin d’amener le consommateur à revenir à son mode de consommation d’avant dépression (qui consistait à ne pas conserver un même bien trop longtemps). Toutefois, le gouvernement n’a pas accepté ce plan de relance.

    Au début des années 50, Paul Mazur, reconnu comme une figure du consumérisme, explique que la cause majeure des récessions vient du fait que les capacités de production ne sont pas alignées avec la consommation et que les stocks s’accumulent donc dans les usines. En effet, après la 2ème Guerre Mondiale, la quantité de biens produite par heure augmentait de 3% par an. En 1959 par exemple, le magazine de marketing et publicité Printer’s Ink rapporte que 8 millions de voitures peuvent être produites en une année par l’industrie automobile, mais qu’il n’est pas sûr que la moitié de cette production trouve acquéreur.
    Nous voyons donc que le problème est que les gens n’achetaient à cette époque pas suffisamment vite pour faire tourner les usines à leur maximum.

    D’après Vince Packard, dont le livre The Waste Makers écrit en 1960 est une référence en matière de critique de l’obsolescence programmée, « si vous êtes un producteur et que la plupart des ménages possède déjà votre produit, alors il reste trois possibilités ; vous vendez un remplaçant ; vous vendez plus d’un exemplaire par famille ; ou vous pensez un nouveau produit amélioré – ou un qui semble en tout cas amélioré – qui va ensuite enchanter la famille qui détient votre « ancien » produit. (Une quatrième possibilité est d’aller sur un autre segment) ».
    A cette époque, plusieurs magazines vantent les qualités de l’obsolescence programmée comme permettant le progrès, selon The Management Review de l’American
    Management Association, ou encore comme notre contribution obligatoire à une société saine et croissante, selon le Retailing Daily.
    Toujours dans The Waste Makers, nous apprenons que fin 1958, début 1959, l’édito du Design News, un journal de management industriel et design de produit, titre « Dates de péremption pour les produits, un concept désirable ? ». Le papier en question conclue que le marché arriverait trop vite à saturation bien avant que les ventes répétées puissent absorber la production si un même bien était gardé une dizaine d’années au lieu de trois (en prenant l’exemple des radios portables).

    Il explique aussi que si cette radio durait 3 ans au lieu de 10, alors trois achats au lieu d’un seul seraient réalisés sur cette période de dix années et ce sont ces ventes qui permettent de créer des produits plus performants, plus modernes et au meilleur prix, sans toutefois dire comment. Des critiques positives n’ont pas manqué de rappeler que ce terme malheureux d’obsolescence planifiée était utilisé dans toutes les industries pour des motifs d’efficience ou d’économie. Ainsi, dans l’industrie aéronautique, les différentes pièces ou composants d’un avion sont produits pour avoir plus ou moins la même durée de vie, histoire de rentre l’ensemble homogène.

  6. #96
    invite42ec2ede

    Re : Obsolescence programmée

    Citation Envoyé par Jean-GUERIN Voir le message
    Donc dans mon esprit, pour Kodak et Polaroïd, la notion de "rater le virage", malgré des efforts de leur part, ne s'applique pas vraiment. Le produit de base que vendait leur entreprise n'existe tout simplement plus.
    Au contraire, Kodak a fermé les yeux sur l'arrivée du numérique. Il faut savoir que la culture de cette entreprise était fortement basée sur la loyauté et que les managers étaient au sein de Kodak depuis de nombreuses années. Alors dès que le numérique est arrivé, cela a été très dur de changer de politique. D'une part à cause de l'inertie d'une trop forte culture du succès passé de Kodak, mais aussi parce que tout comme pour les rasoirs, les consommables (lames ou pellicule dans le cas Kodak) engrangeaient des profits continus à l'entreprise. Aller sur le marché du numérique signifiait l'abandon des pellicules (je vous laisse déduire la suite).

  7. #97
    Jean-GUERIN

    Re : Obsolescence programmée

    Bonosir Trainskill, Bonsoir à toutes et à tous,

    Citation Envoyé par Trainskill Voir le message
    Au contraire, Kodak a fermé les yeux sur l'arrivée du numérique. Il faut savoir que la culture de cette entreprise était fortement basée sur la loyauté et que les managers étaient au sein de Kodak depuis de nombreuses années. Alors dès que le numérique est arrivé, cela a été très dur de changer de politique. D'une part à cause de l'inertie d'une trop forte culture du succès passé de Kodak, mais aussi parce que tout comme pour les rasoirs, les consommables (lames ou pellicule dans le cas Kodak) engrangeaient des profits continus à l'entreprise. Aller sur le marché du numérique signifiait l'abandon des pellicules (je vous laisse déduire la suite).
    Exact - Je disais "malgré des efforts de leur part" parce que si mes souvenirs sont bons, Kodak a quand même fini par sortir quelques APN ces dernières années ... sans doute la mort dans l'âme.

    Amitiés,

    Jean

    PS : C'est vrai que leurs films étaient inimitables ... Snif ! Bon, je suis passé à l'APN, hein !
    Γνῶθι σεαυτόν

  8. #98
    invite42ec2ede

    Re : Obsolescence programmée

    Salut,

    Au temps pour moi, en effet sur la fin ils voulaient sauver leur peau... un peu trop tard (faillite).

  9. #99
    Thomaslechatbleu

    Re : Obsolescence programmée

    Bonjour!

    Deux petites choses concernant KODAK:

    - C'est un ingénieur de chez Kodak, Steven Sasson, qui a conçu & réalisé le premier appareil photo digital.

    - La seule division rentable de l'entreprise en 2011 était la division film...
    http://www.bjp-online.com/british-jo...ofitable-kodak

    Je vous laisse méditer.

    Cordialement,

    Thomas.

  10. #100
    Listo

    Re : Obsolescence programmée

    Au sujet de la fameuse ampoule centenaire de Livermore qui est amenée comme une prétendue preuve d'un complot sur les ampoules, cette explication proposée sur ce blog La véritable histoire de l’ampoule de Livermore
    C'est très simple : cette ampoule utilise un filament en carbone dont la résistance a augmenté avec le temps. Conçue pour une puissance de 60W, elle ne consomme plus que 4W aujourd'hui. Sur toutes les photos de l'ampoule on voit distinctement que son filament est rouge, "froid". D'après les formules mentionnées ci-dessus, cette ampoule ne produit plus qu'environ 0.3% de sa luminosité originelle pour 7% de sa puissance électrique originelle. Son rendement a donc chuté d'un facteur 24 : la caserne de pompiers de Livermore paie donc sa lumière 24 fois plus cher que la normale. Et ça risque de durer, parce que cette baisse de rendement correspond à une multiplication de la durée de vie par 700 millions ! Si on admet que l'ampoule de Livermore était conçue pour durer 1000h, elle produira des infrarouges encore 80 millions d'années !
    Le billet explique aussi que le cartel de Phoebus a été condamné pour entente illégale sur les prix mais pas sur la durée de vie car les fameuses 1000h correspondent à un compromis technique entre durée de vie et rendement (et donc consommation) des ampoules, pour une émission dans le visible. Et les progrès des filaments depuis ont été consacrés à l'augmentation du rendement et pas de la durée de vie.
    Il y a des corrections/ modifications en commentaire et des interventions que je trouve intéressantes comme celle-ci;
    Les ampoules destinées aux feux de trafic sont faites pour une durée de vie de 10’000 heures; un peu plus d’un an. On remarque, que pour des ampoules de qualité, ce n’est pas le nombre d’enclenchement qui compte (exemple: le clignotant) mais bel et bien la durée de service. Les fabricants (en plus d’un prix de l’ordre de 4.-) arrivent à cette durée en sous-voltant le filament, qui offre un spectre tiré dans le rouge, ce qui corrobore clairement avec la teneur de l’article du Dr Goulu. Et pour le trafic, la couleur « principale » est le rouge. Pas le respect de la chrominance, ni la facture d’électricité. Pour cette dernière, on monte des LEDs.
    Pour les aspects purement économiques, qui n'ont pas à être discutés ici bien que ceux avancés dans le film soient éminem
    ment discutables , ce billet renvoie en lien à un blog d'économiste que j'avais déjà cité. J'en recommande à nouveau la lecture car elle permet de comprendre pourquoi les économistes sont souvent (celui-ci est loin d'être le seul)à peu près aussi agacés par cette obsolescence programmée que les physiciens par le mouvement perpétuel. Au passage il pointe aussi des erreurs ou présentations tronquées du reportage.

    Le mythe de l'obsolescence programmée

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