Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
celui la me serrai faisable
(bien sur en utilisant des equivalence)
par contre comment tu dimensionne les 3 self ? ...
Bonjour Tropique,
Merci beaucoup pour ce projet,
J'ai beaucoup apprécié l’idée présentée dans ce tuto et j'ai commencé à construire un émetteur; Je ne connais quasiment rien au magnétisme, alors je fais une copie presque conforme du dernier circuit présenté, ma boucle principale (double D) à un diamètre d'environ 35cm.
Un premier test de fonctionnement à 12V avec 4*47nF pour le condensateur de résonance et des demi spires de ~255n chacune (valeur calculée à partir d'une mesure des condos et de la fréquence de travail de l'oscillateur) s'est soldé par la mort de 2 des condos de 47nF, je compte réessayer avec 8*22nF en espérant qu'ils sachent supporter les 2A qui leur seront appliqués à chacun...
J'ai usé et abusé des simulation sur LTspice pour essayer de comprendre un peu, parce que le but premier, en bricolant, c'est d'apprendre en s'amusant (c'est mon point de vue et je le partage ).
J'ai quand même quelques questions:
- Tu utilises des IRFZ44N sur la simu que tu as présentée et tu leur fais subir une tension DS qui monte jusqu'à 60V, alors que le datasheet semble indiquer qu'il n'est pas possible de dépasser les 55V. C'est vraiment ce que tu as construis ou tu utilises une autre référence en vrai?
- Si c'est effectivement possible, comment ça se fait? Jusqu’où peut monter la tension d'alim sans tuer les MOSFETs?
- Comment faire, sans inductancemètre (précision maxi du mien ~10uH) et sans oscilloscope pour calibrer la spire de rétroaction?
- Une spire de rétroaction trop grande (je fais passer la mienne à l’intérieur du tube de cuivre ce qui la rend aussi grande que le double D et lui confère un couplage très grand) aura quoi comme effets indésirables?
- J'ai remplacé les diodes de protection 1N914 par des 1N4148 que j'avais dans mes tiroirs, LTspice ne montre aucune différence de comportement et les versions des datasheets que j'ai pu trouver sont flous sur les temps de réaction de ces diodes. Est-ce qu'elles sont vraiment équivalentes en l’occurrence, ou ma modification aura des conséquences néfastes?
- J'ai aussi ajouté un condensateur de 2200uF au niveau de l'alimentation, est ce que c'est: a-utile b-inutile c-catastrophique?
- Les condensateurs que j'utilise pour la résonance sont des MKP (polypropylène) de 630V, y a-t-il un moyen de savoir quel courant max ils peuvent supporter?
- Sur les photos que tu as postées, il y a des composants qui ne sont pas représentés dans la simu, à quoi servent ils?
Oui, le stress sur les condos est redoutable, et les seuls capables de tenir le coup en étant à la portée des amateurs sont les polypropylène à feuille pleineUn premier test de fonctionnement à 12V avec 4*47nF pour le condensateur de résonance et des demi spires de ~255n chacune (valeur calculée à partir d'une mesure des condos et de la fréquence de travail de l'oscillateur) s'est soldé par la mort de 2 des condos de 47nF, je compte réessayer avec 8*22nF en espérant qu'ils sachent supporter les 2A qui leur seront appliqués à chacun...
C'est une bonne chose, cela permet d'avoir une compréhension intime du circuit, et cela permet d'analyser le stress appliqué aux composants sans rien claquerJ'ai usé et abusé des simulation sur LTspice pour essayer de comprendre un peu, parce que le but premier, en bricolant, c'est d'apprendre en s'amusant (c'est mon point de vue et je le partage ).
Dans la réalité il vaut mieux être un peu plus prudent, surtout si on veut une bonne fiabilité à long terme.J'ai quand même quelques questions:[*]Tu utilises des IRFZ44N sur la simu que tu as présentée et tu leur fais subir une tension DS qui monte jusqu'à 60V, alors que le datasheet semble indiquer qu'il n'est pas possible de dépasser les 55V. C'est vraiment ce que tu as construis ou tu utilises une autre référence en vrai?[*]Si c'est effectivement possible, comment ça se fait? Jusqu’où peut monter la tension d'alim sans tuer les MOSFETs?
Ceci dit, pour les essais, les IRFZ44 réels tolèrent environ 65V avant d'entrer en avalanche, et comme tous les MOS modernes, c'est une avalanche controlée.
Comme le circuit Royer ne cause qu'un stress minimal, on peut aller jusqu'à "mordre" un peu dans la tension d'avalanche sans conséquence autre qu'une dissipation augmentée et des calottes de sinusoide un peu aplaties.
Il ne faut évidemment pas insister trop longtemps, et dès qu'on voit le phénomène apparaitre réduire un peu la tension d'alim
La valeur numérique de l'inductance est secondaire, ce qui compte est ce qu'elle couple comme signal donc sa disposition et le flux qu'elle capte sont aussi, voire plus importants.[*]Comment faire, sans inductancemètre (précision maxi du mien ~10uH) et sans oscilloscope pour calibrer la spire de rétroaction?
Une tension de feedback trop élevée, qui va solliciter de manière excessive les protections. Sinon, dans l'absolu et s'il n'y avait pas ces contingences, un feedback important est favorable aux performances. Malheureusement, la tension Vgs tolérable est limitée.[*]Une spire de rétroaction trop grande (je fais passer la mienne à l’intérieur du tube de cuivre ce qui la rend aussi grande que le double D et lui confère un couplage très grand) aura quoi comme effets indésirables?
Non, c'est strictement équivalent[*]J'ai remplacé les diodes de protection 1N914 par des 1N4148 que j'avais dans mes tiroirs, LTspice ne montre aucune différence de comportement et les versions des datasheets que j'ai pu trouver sont flous sur les temps de réaction de ces diodes. Est-ce qu'elles sont vraiment équivalentes en l’occurrence, ou ma modification aura des conséquences néfastes?
Si c'est au plus près, c'est utile. Ce n'est jamais néfaste en tous cas.[*]J'ai aussi ajouté un condensateur de 2200uF au niveau de l'alimentation, est ce que c'est: a-utile b-inutile c-catastrophique?
Il faut essayer de trouver leur datasheet. Sinon, en fonctionnement s'ils chauffent de manière perceptible, c'est qu'ils sont insuffisants. MKP signifie normalement métallisé, ce qui est insuffisant sauf s'ils ont une métallisation renforcée.[*]Les condensateurs que j'utilise pour la résonance sont des MKP (polypropylène) de 630V, y a-t-il un moyen de savoir quel courant max ils peuvent supporter?
Je crois que dans la plupart des cas, ce sont des composants inutilisés, vestiges d'une version précédente que je ne me suis pas amusé à nettoyer[*]Sur les photos que tu as postées, il y a des composants qui ne sont pas représentés dans la simu, à quoi servent ils?
Dernière modification par Tropique ; 17/06/2013 à 11h20.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Merci pour la réponse rapide,
Tu conseilles d'utiliser des condensateurs "polypropylène à feuille pleine", me fournissant sur Ebay je fais mes recherches en anglais pour trouver les meilleurs prix, je n'ai pas réussi à trouver grand chose de valable avec les mots-clés "polypropylène full sheet" , tu aurais des mots-clés plus pertinents que les miens à suggérer?
Quand tu parles d'une avalanche contrôlée, tu veux dire que le MOSFET se comporte comme une Zener (en tension inverse, œuf corse)?
Peut-on, alors, compter sur cette avalanche et supprimer la diode de roue libre -ou autre protection contre la surtension- d'un relais (ou d'une inductance dont le transistor stopperait brutalement le courant)?
La "disposition" de la spire de rétroaction, c'est son orientation vis-à-vis de la boucle principale?
Et le "flux" qu'elle capte, c'est la surface qu'elle occupe dans la boucle principale?
Par exemple "plain foil", ou simplement foil. Ou FKPMerci pour la réponse rapide,
Tu conseilles d'utiliser des condensateurs "polypropylène à feuille pleine", me fournissant sur Ebay je fais mes recherches en anglais pour trouver les meilleurs prix, je n'ai pas réussi à trouver grand chose de valable avec les mots-clés "polypropylène full sheet" , tu aurais des mots-clés plus pertinents que les miens à suggérer?
OuiQuand tu parles d'une avalanche contrôlée, tu veux dire que le MOSFET se comporte comme une Zener (en tension inverse, œuf corse)?
Non, il ne vaut mieux pas: c'est un mode de fonctionnement toléré par le composant, mais anormalPeut-on, alors, compter sur cette avalanche et supprimer la diode de roue libre -ou autre protection contre la surtension- d'un relais (ou d'une inductance dont le transistor stopperait brutalement le courant)?
Oui, il faut essayer de se représenter les lignes de champ de la boucle principale, et la partie interceptée par la boucle de rétroactionLa "disposition" de la spire de rétroaction, c'est son orientation vis-à-vis de la boucle principale?
Et le "flux" qu'elle capte, c'est la surface qu'elle occupe dans la boucle principale?
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
L’émetteur est terminé. Finalement le condensateur de résonance est constitué de 7 x 22nF; Toujours en MKP, mais comme ils restent à une chaleur raisonnable, je pense qu'il n'y a pas à s’inquiéter pour leur survie.
Merci beaucoup pour l'aide que tu m'as dispensée pour sa conception.
Je suis passé à la construction des récepteurs, et là ça coince...
En effet, je crois avoir compris, dites moi si je me trompe, que le secondaire (récepteur) doit être accordé à la fréquence de travail du primaire (émetteur), seulement je ne connais pas du tout précisément la valeur inductive de la bobine de réception que j'ai faite (juste quelques spires de fil de câblage pour les premiers tests), mon inductancemètre indique 13µH +ou- 2µH; avec cette incertitude et pour atteindre les 466,5 KHz (c'est la fréquence que je mesure entre les drains des MOSFETs de l’émetteur) je sais calculer que mon condo doit faire entre 7,76 nF (pour ~15µH) et 10,6 nF (11µH) mais c'est quand même très flou.
En bref, comment tu fais pour accorder ton secondaire avec une précision suffisante pour tirer un maximum de puissance?
J'ai un capacimètre assez précis pour ces valeurs et un fréquencemètre pas mauvais non plus, j'ai aussi quelques heures à consacrer à la résolution de ce problème et un assortiment de condensateurs - série E6 de 2.2pF à 68nF. Tu peux me conseiller sur le procédé à suivre pour accorder un récepteur avec un facteur de qualité assez grand pour allumer une DEL à 1m ou pour recharger un téléphone portable à 20cm (juste pour l'accord du secondaire, pour le reste, je peux me débrouiller)?
Par exemple, connais-tu un circuit qui ferait directement osciller une cellule LC parallèle à sa fréquence de résonance, fréquence que je pourrais alors mesurer pour ensuite adapter le condo?
Et aussi, la bobine réceptrice doit être soignée, oui mais ça veut dire quoi:
-Je la fais en fil de litz?
-Ou juste une grosse section?
-Peut-être que pour une quantité de cuivre équivalente il vaut mieux multiplier les spires qu'augmenter la section? la bande passante de la fréquence d'accord est elle plus étroite pour un brin étroit et long enroulé sur beaucoup de spires ou, au contraire, pour une seule spire d'un brin de forte section?
Je pars du principe que la tension de sortie importe beaucoup moins que la puissance récupérée, dans la mesure où je compte réguler la tension d'utilisation avec un système à découpage qui sera capable de faire du step-up ou down.
Si tu as une idée grossière de la gamme de valeurs dont tu as besoin, ce qui semble être ton cas, je pense que le plus simple est de mettre ta bobine en // avec un condo qui sera en-dessous de la valeur calculée, mesurer la tension récupérée aux bornes du circuit (avec une simple diode et un voltmètre), et tester des condensateurs d'appoint jusqu'à trouver la valeur optimale. Manip à faire à quelques dizaines de cm de l'émetteur, pour ne pas avoir d'effet de proximité ou de risque de tension excessive avec le circuit résonnant non chargéL’émetteur est terminé. Finalement le condensateur de résonance est constitué de 7 x 22nF; Toujours en MKP, mais comme ils restent à une chaleur raisonnable, je pense qu'il n'y a pas à s’inquiéter pour leur survie.
Merci beaucoup pour l'aide que tu m'as dispensée pour sa conception.
Je suis passé à la construction des récepteurs, et là ça coince...
En effet, je crois avoir compris, dites moi si je me trompe, que le secondaire (récepteur) doit être accordé à la fréquence de travail du primaire (émetteur), seulement je ne connais pas du tout précisément la valeur inductive de la bobine de réception que j'ai faite (juste quelques spires de fil de câblage pour les premiers tests), mon inductancemètre indique 13µH +ou- 2µH; avec cette incertitude et pour atteindre les 466,5 KHz (c'est la fréquence que je mesure entre les drains des MOSFETs de l’émetteur) je sais calculer que mon condo doit faire entre 7,76 nF (pour ~15µH) et 10,6 nF (11µH) mais c'est quand même très flou.
En bref, comment tu fais pour accorder ton secondaire avec une précision suffisante pour tirer un maximum de puissance?
Un oscillateur à ampli différentiel, ou mieux un oscillateur série peut le faire, mais pour le fine-tuning, tu devras quand même passer par la méthode donnée plus haut donc autant aller directement à cette étape.J'ai un capacimètre assez précis pour ces valeurs et un fréquencemètre pas mauvais non plus, j'ai aussi quelques heures à consacrer à la résolution de ce problème et un assortiment de condensateurs - série E6 de 2.2pF à 68nF. Tu peux me conseiller sur le procédé à suivre pour accorder un récepteur avec un facteur de qualité assez grand pour allumer une DEL à 1m ou pour recharger un téléphone portable à 20cm (juste pour l'accord du secondaire, pour le reste, je peux me débrouiller)?
Par exemple, connais-tu un circuit qui ferait directement osciller une cellule LC parallèle à sa fréquence de résonance, fréquence que je pourrais alors mesurer pour ensuite adapter le condo?
Tu peux te faire une "boite de substitution de condensateurs" avec un DIP-switch et des condos en séquence 4.7 - 10 - 20 - 39 -82 -160 - 330pF
Toutes les améliorations que tu peux faire seront profitables, mais comme tes ambitions sont relativement modestes, il n'est normalement pas nécessaire de passer par làEt aussi, la bobine réceptrice doit être soignée, oui mais ça veut dire quoi:
-Je la fais en fil de litz?
-Ou juste une grosse section?
Si tu mets plus de spires, plus fines, tu auras une tension de sortie et une résistance interne plus élevées. C'est une question d'adaptation d'impédances classique-Peut-être que pour une quantité de cuivre équivalente il vaut mieux multiplier les spires qu'augmenter la section? la bande passante de la fréquence d'accord est elle plus étroite pour un brin étroit et long enroulé sur beaucoup de spires ou, au contraire, pour une seule spire d'un brin de forte section?
Avec ce principe là, tu as intérêt à avoir une tension élevée, ce qui permettra au récepteur de "s'éveiller" à bonne distance, tout en récupérant un maximum d'énergie.Je pars du principe que la tension de sortie importe beaucoup moins que la puissance récupérée, dans la mesure où je compte réguler la tension d'utilisation avec un système à découpage qui sera capable de faire du step-up ou down.
De toutes manières, il faudra faire beaucoup de tests avec des modèles diférents, voir ce qui convient réellement le mieux: il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu qu'il est impossible de dire à priori ce qui est optimum, on peut juste dégrossir et après place à l'expérimentation.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Bonjour Tropique ,
J'ai réalisé un montage que j'ai trouvé sur Internet: http://4hv.org/e107_plugins/forum/fo...opic.php?74096
permettant la transmission d'électricité sans fil , qui comporte deux circuits LC couplés et résonants. De plus le cricuit LC de l'émetteur est lié à un oscillateur qui est alimenté par une source de tension continue (14 V- 0.3 A) et qui permet de transformer le signal continu en un signal sinusoïdal parfait au borne de la bobine émettrice (50v- 2Mhz) . J'essai maintenant d'identifier la nature de mon oscillateur et le rôle de ses différentes composantes :
Pièce jointe 223429
J'ai lu les articles que vous avez publié et que j'ai trouvé très intéressants ( bien que je n'ai pas pu tout comprendre ) et j'ai trouvé des similitudes entre vos circuits Royer et mon oscillateur que je pense qu'il est aussi un circuit auto-oscillant .
Alors mon circuit est-il un oscillateur Royer ( un peu altéré peut être) ? Et quelle est exactement sa fonction ?
Merci et bravo pour votre projet !
Oui, c'est un circuit auto-oscillant, une variante de Royer à couplage type "multivibrateur" plutot qu'inductif
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Voici le schéma électrique simplifié de tout le montage (quelques composantes de l'émeteur ne sont pas représentés ici)
http://4hv.org/e107_files/public/124...FT0_slika3.jpg
Que veut dire multivibrateur au lieu d'inductif svp ?
Salut encore ,
j'ai vérifié que la fréquence au borne de l'émetteur était sa fréquence de résonance (en calculant le rapport 1/sqrt(LC)) mais est ce que la tension que j'ai mesuré au borne de la bobine émettrice (50V à peu près ) dépend de l'oscillateur ou du circuit LC ou des deux ?
Merci d'avance !
Bonjour à toi,Salut encore ,
j'ai vérifié que la fréquence au borne de l'émetteur était sa fréquence de résonance (en calculant le rapport 1/sqrt(LC)) mais est ce que la tension que j'ai mesuré au borne de la bobine émettrice (50V à peu près ) dépend de l'oscillateur ou du circuit LC ou des deux ?
!
La tension HF dépends de la tension d'alimentation de l'oscillateur..et du facteur de QUALITE du circuit LC.
Donc des deux.
Question: avec QUOI as tu mesuré ta tension à 2 Mhz ?
Faut une volmétre électronique, PAS une béte multimétre qui indiquera ...n'importe quoi !
Bonne journée
Salut et merci pour la réponse ,
J'ai mesuré la fréquence à l'aide d'un fréquencemètre . Pour ce qui est de la valeur de Q de mon émetteur j'ai appliqué la formule pour un circuit RLC : Q= w0*(L/R) avec la résisitance R de la bobine R=1.17 10^-3 ohm et L=0.035 mH j'ai trouvé alors Q = 3.76 10^5!!
Cette valeur m'a paru trop grande car je croyais que Q ne pouvait pas dépasser 1000
Qu'en pensez vous?
La tension dans un Royer est fixée par cette topologie et la tension d'alimentation: la tension de crête au bornes du circuit accordé vaut exactement Π fois la tension d'alim DC.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Je suis désolée, L était plutôt 0.23 10^(-6 ) H et R = 1.7 10^-3 ohm donc Q =1700. Une valeur qui reste assez grande quand même !
.Bonjour à toi,Salut et merci pour la réponse ,
J'ai mesuré la fréquence à l'aide d'un fréquencemètre . Pour ce qui est de la valeur de Q de mon émetteur j'ai appliqué la formule pour un circuit RLC : Q= w0*(L/R) avec la résisitance R de la bobine R=1.17 10^-3 ohm et L=0.035 mH j'ai trouvé alors Q = 3.76 10^5!!
Cette valeur m'a paru trop grande car je croyais que Q ne pouvait pas dépasser 1000
Qu'en pensez vous?
Mesurer une FREQUENCE c'est pas mesurer une..TENSION !!
Donc ma question reste valable !
Bonne journée
Bonjour à toi,Salut et merci pour la réponse ,
J'ai mesuré la fréquence à l'aide d'un fréquencemètre . Pour ce qui est de la valeur de Q de mon émetteur j'ai appliqué la formule pour un circuit RLC : Q= w0*(L/R) avec la résisitance R de la bobine R=1.17 10^-3 ohm et L=0.035 mH j'ai trouvé alors Q = 3.76 10^5!!
Cette valeur m'a paru trop grande car je croyais que Q ne pouvait pas dépasser 1000
Qu'en pensez vous?
R ce n'est pas QUE la résistance OHMIQUE de ta bobine (mesurée avec du continu) .
En ALTERNATIF la R augmente par rapport au continu ( effet de peau entre autre qui "diminue" la section active)
Difficile d'en estimer la valeur !
Bonne journée
Bonjour à toi f6bes ,
j'ai mal lu la question ! J'ai mesuré la tension à l'aide d'un oscilloscope HP qui m'indiquait la tension ainsi que la fréquence de 2Mhz
Pour la valeur de R est ce qu'elle augmente trop en alternatif ? Je pense qu'en tout cas Q ne dépend que du circuit RLC (et donc de R en continu )et non de la fréquence du travail (2Mhz)
Mais si R varie trop cela veut dire que mon estimation du courant qui circule dans la bobine de l'émetteur et fausse !
En effet j'ai écrit :
i = u/Z avec Z = L j w0 + R
et comme R << Lw0 =0.23 *4 π= 2.89 Ω
alors i= u /L w0 = 52 / 2.89 = 18 A!!
Est ce que j'avais tort ?
Les gates sont alimentées en couplage croisé à partir des drains opposés, via les diodes.
C'est plus ou moins la config d'un multivibrateur d'Abraham-Bloch. Normalement, un Royer emploie un couplage inductif sur la self principale
La valeur de la résistance série que tu emploies pour le calcul de Q est une valeur synthétique qui n'a pas de réalité physique. Elle englobe l'ensemble des pertes, dont la résistance série "physique", mais également bien d'autres choses, commes les pertes du condensateur, l'amortissement causé par le MOS à l'état OFF, les courants de Foucault, etc. Le Q effectif est donc bien plus faible que ce que tu estimes.Pour la valeur de R est ce qu'elle augmente trop en alternatif ? Je pense qu'en tout cas Q ne dépend que du circuit RLC (et donc de R en continu )et non de la fréquence du travail (2Mhz)
Mais si R varie trop cela veut dire que mon estimation du courant qui circule dans la bobine de l'émetteur et fausse !
En effet j'ai écrit :
i = u/Z avec Z = L j w0 + R
et comme R << Lw0 =0.23 *4 π= 2.89 Ω
alors i= u /L w0 = 52 / 2.89 = 18 A!!
Est ce que j'avais tort ?
Quant au courant, c'est l'ordre de grandeur. Le courant de résonance est très élevé, ce qui permet de générer un champ magnétique intense.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Merci pour ces précisions , j'ai compris que mon Q effectif est nettement inférieur à la valeur 1700 que j'ai trouvé mais y'a t- il un moyen pour l'estimer ?La valeur de la résistance série que tu emploies pour le calcul de Q est une valeur synthétique qui n'a pas de réalité physique. Elle englobe l'ensemble des pertes, dont la résistance série "physique", mais également bien d'autres choses, commes les pertes du condensateur, l'amortissement causé par le MOS à l'état OFF, les courants de Foucault, etc. Le Q effectif est donc bien plus faible que ce que tu estimes.
Quant au courant, c'est l'ordre de grandeur. Le courant de résonance est très élevé, ce qui permet de générer un champ magnétique intense.
Est ce que je peux déterminer Q en faisant le rapport entre la tension mesurée au borne du récepteur LC et la tension qu'on obtiendrait si on n'avait que L (càd si on se base sur le coefficient du couplage seulement ET non sur la résonance ?)
A part faire un boulot d'apothicaire ou de comptable, en estimant et comptabilisant chacun des mécanismes de pertes, il n'y a que les méthodes calorimétriques en dernier recours, précises mais lourdes.
Pour le récepteur, si le couplage est faible (= bonne distance), ce sera une bonne approximation.Est ce que je peux déterminer Q en faisant le rapport entre la tension mesurée au borne du récepteur LC et la tension qu'on obtiendrait si on n'avait que L (càd si on se base sur le coefficient du couplage seulement ET non sur la résonance ?)
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Une pièce interéssante à verser au dossier: Linear Technology a lancé son propre système de Wireless Power, basé sur le principe de "Power by Proxy".
C'est particulièrement interéssant pour nous, parce que c'est un système ouvert, totalement compatible avec ce qui est décrit dans ce sujet, et cela permet donc de disposer de terminaux complets, évolués, capables de gérer la puissance reçue ainsi que la charge d'une batterie, en bénéficiant des avantages inhérents au principe retenu, en particulier la possibilité d'avoir plusieurs terminaux actifs simultanément et une large tolérance pour le positionnement.
Le "reference design" ne comprend qu'un émetteur de faible puissance, capable de travailler avec une séparation limitée à 1.5cm, mais s'il est upgradé avec les émetteurs de forte puissance à couplage inductifs que j'ai décrits, on pourra aller beaucoup plus loin.
Un peu de doc:
http://cds.linear.com/docs/en/press-release/LTC4120.pdf
http://cds.linear.com/docs/en/datasheet/4120p.pdf
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
bonjour Tropique,
J'ai trouvé beaucoup d'intérêt a ton projet. En essayant une autre méthode (bobine pleine sur la base du fichier joint) j'aurais aimé ton avis sur mes résultats. Je ne cherche dans cette expérience qu'une transmission simple sans forcément de la distance.
Avec une Ali 12v/3a, 1bobine de sortie simple 10 tours et un condo de filtrage 1.5uF MKT avant l'ampoule halogène de 20w 12v
J'ai en Entrée du montage : 10.6v et 17.5v aux bornes de l'ampoule.
Mes questions :
- Est ce normal pour ma tension d'entrée ?
- Comment puis je savoir si avec ses 17v de sortie, j'ai bien toute ma puissance (20w de l'ampoule halogène) ? en fait, comment brancher mon multi vers la lampe pour connaitre l'intensité
- Comme tu le montre dans une des miniatures "expérience.gif", en intercalant une autre bobine entre la bobine émettrice et celle qui reçois, j'ai une baisse significative de tension sur l'ampoule et un phénomène de "scintillement / clignotement" ! Est ce normal ou mon montage est il trop faible (self 100uH, 3a) ?
ci joint le montage de référence auquel je fait allusion , merci, didier
Dernière modification par Tropique ; 12/03/2014 à 09h00. Motif: Conversion url/PJ
Les images doivent être mises en PJ, voir http://forums.futura-sciences.com/el...-sabonner.html
Oui, puisque c'est ce qui apparait dans cette configuration: il n'y a pas de moyen simple de prévoir la tension en fonction de toutes les données des enroulements, distances, charge, etc à part l'expérience.
Avec 17V DC, tu dépasses déjà très largement les 20W nominaux de la lampe 12V. Tu peux mesurer le courant de façon normale, en série avec la lampe.- Comment puis je savoir si avec ses 17v de sortie, j'ai bien toute ma puissance (20w de l'ampoule halogène) ? en fait, comment brancher mon multi vers la lampe pour connaitre l'intensité
Un scintillement signifie une oscillation subharmonique, une des causes fréquentes est la valeur trop élevée de la self d'alim- Comme tu le montre dans une des miniatures "expérience.gif", en intercalant une autre bobine entre la bobine émettrice et celle qui reçois, j'ai une baisse significative de tension sur l'ampoule et un phénomène de "scintillement / clignotement" ! Est ce normal ou mon montage est il trop faible (self 100uH, 3a) ?
Dernière modification par Tropique ; 12/03/2014 à 09h10.
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Bonsoir et merci pour la réponse
Si je peu continuer (a comprendre...)
- Si je sépare l'alimentation, 1x 12v pour le montage (entrée des 470ohm) et 1x12v pour la self 100uh; il y aurait un intérêts ?
- Si cette fameuse self 100uh est trop forte, comment puis calculer celle ci par rapport à ma bobine émettrie 2X5spires ?
Encore meric pour le cout de main, didier
Non, à la limite tu peux mettre une cellule de découplage mais des alims séparées, c'est vraiment trop
Il faut expérimenter: ces circuits sont beaucoup plus complexes qu'ils en ont l'air, et le comportement subharmonique est très versatile, il n'est pas possible de le mettre simplement en équations- Si cette fameuse self 100uh est trop forte, comment puis calculer celle ci par rapport à ma bobine émettrie 2X5spires ?
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.
Bonsoir Tropique,
Je continu a expérimenter mon montage.
1ere surprise, je n'ai pas retrouvé mes résultats (Ali 12v/3a, 1bobine de sortie simple 10 tours et un condo de filtrage 1.5uF MKT avant l'ampoule halogène de 20w 12v...J'ai en Entrée du montage : 10.6v et 17.5v aux bornes de l'ampoule.)
Soit, dans la même configue je trouve en entrée 9.30 et aux bornes de l'ampoule 11.1v ;-(
Par contre, j'ai augmenté la taille de mes bobines (18tours pour les 2) et là j'ai en entrée 10.8v et en sortie 14.6, (ampoule). C déjas mieux.
Je n'est plus ce phénomène de scintillement (subharmonique) mais juste une perte de tension (quand je colle les bobines).
Là où tu pourrais m'aider, c que j ne suis pas arrivé a mesurer mon Intensité (en série avec l'ampoule(, mon multi me propose un test Ampère but apparemment c en continu et mes sortie de bobine sont en Alternatif !!!
Aurais tu un solution, peu être un pont de diode histoire de revenir vers du continu ?
Merci de ton attention et a bientot, didier
Si tu fais tes mesures en AC, aucune chance, même avec un multimètre de course: la fréquence est bien trop élevée.
Tu dois tout faire en DC, donc redresseur (schottky) et filtrage.
Je croyais que c'est ce que tu faisais avec ton MKT...
En tous cas, il doit souffrir: il a vraisemblablement une valeur trop élevée pour faire l'accord, et le diélectrique ne convient pas: il faut du polypropylène
Pas de complexes: je suis comme toi. Juste mieux.