Bonsoir,
Selon vous, quelles sont les différentes exclusions de la société?
Quelle est votre attitude envers ces exclues?
J'essaye de retenir le plus d'avis possible pour un éventuel futur site sur la psychologie et la société.
Merci
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Bonsoir,
Selon vous, quelles sont les différentes exclusions de la société?
Quelle est votre attitude envers ces exclues?
J'essaye de retenir le plus d'avis possible pour un éventuel futur site sur la psychologie et la société.
Merci
Tiens moi je suis arrivé à la conclusion suivante récessament...
Quand on réflechie bien il y a ceux qui travaillent (et donc qui se prive un peu pour gagner de l'argent)
et ceux qui ne travaille pas et qui vivent de la charité.. ceux qui ne travaillent pas, se prive beaucoup, faire la manche est difficile..
Mais ça reste un moyen de vivre..
Qu'est ce que cela prouve ? simplement que notre partage des tâches au sein de la société et trés mal organisé... si par société on entend la forme des moeurs, politiques et institutions qui organise le travail et l'activité humaine, on constate que finalement ceux qui fond la manche sont par leur choix (ou pas complétement) des contestataires de ce systéme...
Attention, je n'accuse pas la société ou le systéme, mais bien le manque de communication, et ceux qui en profite, entre les gens.
Bref il suffirait simplement de plus s'intéresser à la politique (car la démocratie fonctionne trés bien) et à l'organisation de la société objectivement pour que cela marche...
Bonjour,
pour moi il existent plusieurs types d'exclusion, ayant ts pr pt commun : bannir une ou plusieurs différences.
L'exclusion liée à la pauvreté est la plus flagrante. Une personne ss sous n'a pas de statut social (il existe même des arrêtés ds certaines villes visant à interdire les mendiants).
mais ce type d'exclusion n'est pas le seul, il y a l'exclusion raciale (qui engendrent le communitarisme), l'exclusion physique (les gens trop gros se trouvent parfois exclus), l'exclusion des handicapés......
La liste serait trop grde mais l'exclusion de manière général montre les "facies" que la société rejette : le pauvre, l'handicapé, l'immigré, le moche, le gros......
Pour ma part, je tente du mieux que je peux de n'exclure personne. "Il faut cultiver la différence et non l'indifférence". Lorsque je vois un mendiant, je ne lui donne pas de pièce car je sais que sa sera pr acheter des cigarettes ou une bière, mais cette excuse ne suffit pa pr se déculpabiliser. Dc qd je vois que le mendiant ne le prd pas mal, je lui donne à manger.
Face aux handicapés, je ne les regarde pas comme des handicapés mais comme je regarderait n'importe quelle personne, au fd ns avons ts une tare puisque chq être humain est unik, aucun n''est normal!
Enfin, voila j'espère que je n'est pas étté trop longue et que sa t'aidera. si tu veux que je précise quoi que soit no problem.
"L'Homme est un loup pour l'Homme"
bye
Je tiens simplement à dire
Bonjour
Pour moi il y a un nombre énorme d'exclus dans notre société comme les gens de la bohème dont parle beaucoup de philosophes.Nous pouvons y trouver:
les marginaux ( qui ont une tenue, attitude, autre que celle souhaitée par la societe),
les refugiés politiques,
les immigrants,
certains intellectuels et artistes ( qui remettent en cause la société et qui dérangent par leurs idées)
les personnes en situation précaire
les "aliénés",
les handicapés...
Pour ma part je préfère exclure la société et la politique de ma vie plutot que d'exclure les gens qui vivent sur notre planete. Je suis pour le pluralisme, l'hybridation et non pour le conformisme et l'uniformisation. C'est un apport entier pour le relationnel et la liberté.
C dur de ne plu et fichue decrir en francé! paulb.Envoyé par marie curryBonjour,
pour moi il existent plusieurs types d'exclusion, ayant ts pr pt commun : bannir une ou plusieurs différences.
Merci pour vos réponses
Bientôt il risque malheureusement d'y avoir de plus en plus d'exclus... de par leurs problèmes de lecture et d'orthographeEnvoyé par paulbC dur de ne plu et fichue decrir en francé! paulb.
K.
Nomina si nescis, perit et cognito rerum.
Bonjour,Envoyé par kinetteBientôt il risque malheureusement d'y avoir de plus en plus d'exclus... de par leurs problèmes de lecture et d'orthographe
K.
à qui la faute? De mon temps (comme disent les vieux que je suis) il était impensable de quitter les bancs du primaire sans savoir lire, écrire et compter. Maintenant, selon les sources, ce sont 10 à 20 % d'écoliers dans ce cas, alors que 1 % serait de trop.
Est-ce que ce sont les élèves ou les enseignants qui ont changé? Je vous laisse deviner à qui revient la faute de ce genre d'exclusion!
Amicalement paulb.
Si des personnes se retrouvent exclues, c'est qu'elles ont trop pensé à leur bien-être individuel, aux libertés individuelles, et qu'elles n'ont pas fait du bien-être du groupe une priorité.
Y aurait pas de l'anticonformisme ? ou une tendance du genre à vouloir enfreindre les règles. Une mauvaise tendance au "laisser vivre, laisser faire"...
Shokin
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Je pense qu'il ne faut pas caricaturer... il y a tellement de formes d'exclusion!Si des personnes se retrouvent exclues, c'est qu'elles ont trop pensé à leur bien-être individuel, aux libertés individuelles, et qu'elles n'ont pas fait du bien-être du groupe une priorité
Certaines personnes se retrouvent "exclues" à cause d'épisodes malheureux de leur vie. Ca peut aller très vite: problème sentimental, problème de santé, perte d'emploi, perte de logement... la pente n'est certainement pas facile à remonter, et beaucoup d'exclus ont tellement honte de leur situation qu'il n'arrivent pas à trouver le courage pour s'en sortir (et ne pensent pas le mériter).
On observe ce processus à petite échelle chez les chômeurs... quelqu'un qui a été licencié n'est pas nécessairement un sombre égoïste ne pensant qu'à son petit bonheur individuel! La souffrance qui peut être associée à la perte d'emploi est justement liée à ce besoin d'interragir avec les autres, de se sentir utile.
Et l'exclusion d'un groupe à cause de certaines différences n'est pas non plus nécessairement à attribuer à un trop grand individualisme de la personne... certaines différences ne sont pas "gommables", et faut-il vraiment souhaiter que les groupes soient totalement homogènes?
K.
Nomina si nescis, perit et cognito rerum.
Je pensais aussi à un rejet de la différence de la part du groupe (ou d'une partie dominante du groupe), mais je ne l'ai même pas sous-entendu .
L'homogénéité ? ah ! non, c'est bien ce qu'il y a le moins souhaitable ! mieux vaut accepter la diversité et le changement, la différence !
Il ne faut pas non plus dramatiser : si l'on est hors d'un groupe, on peut s'insérer dans un autre groupe, encore faut-il envisager de changer de groupe. Et parfois, vaut mieux pas s'initier dans certains groupes...
Toutefois, nous nous devons d'encourager l'insertion des personnes dans les groupes, surtout face à la globalisation et à l'individualisme.
Shokin
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
justement c'est en évitant d'exclure que l'on permettra l'intégration dans tel ou tel groupe.Envoyé par shokinToutefois, nous nous devons d'encourager l'insertion des personnes dans les groupes, surtout face à la globalisation et à l'individualisme.
Shokin
De plus, je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi. Quand on te parle d'exclusion tu vois en premier lieu, les personnes qui s'excluent mais il serait intéressant que tu prenne conscience que ce phénomène d'auto exclusion est encouragé par l'exclusion en elle même.
Je m'explique assez simplement : "je vais m'exclure avant que l'on m'exclut car je suis une naine et les nains sont mal vus dans la société".....
Tu vois la démarche du raisonnement.
Je pense qu'il faut prendre le mal par la racine, ce en cessant de porter un jugement sur les personnes exclues qu'il soit positif ou négatif :- "c'est une naine je vais essayer d'être le plus agréble possible pour ne pas qu'elle se sente exclue (donc je vais l'aider à s'intégrer (cela impliquant qu'elle est par nature extérieur au groupe que forme la société!!!!!!!!!!! (débute de l'exclusion))"
- " c'est une naine je n'est rien à partager avec elle car elle est totalemnt différente de moi"exclusion catégorique.
J'espère que tu as saisi ce que je voulait dire la limite est très fine entre être exclu et s'exclure.
bye
PS pour Paulb : tu remarqueras que j'ai fait un effort au combien surhumain j'espère que tu ne manqueras pas de la souligner comme tu peux le faire lorsque j'use d'avbréviations!!!!!!
Tout à fait d'accord avec toi, Marie Curry (bon ! le curry ! )
C'est justement contre le rejet de la différence, ou même de la similitude, que je crise régulièrement. Le groupe qui rejette un membre juste par peur du changement ou autre peur "pour soi", peurs souvent injustifiées, ou paresse.
Juste que je préfère parler de groupes plutôt que de la société en général. Les groupes sont très différents entre eux et il est tout à fait illusoire et utopique qu'une personne seule peut changer toute la société. Une personne pourra plus facilement changer son entourage, l'influencer, l'améliorer. (Même si dans ma signature, je parle de société. )
En tout cas, tu as fait peu de fautes d'orthographes par rapport au message précédent dans cette discussion !
Shokin
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Nous tenir au courant ... aucun problème. A bientôt !Envoyé par Dav JacksonBonsoir,
Selon vous, quelles sont les différentes exclusions de la société?
Quelle est votre attitude envers ces exclues?
J'essaye de retenir le plus d'avis possible pour un éventuel futur site sur la psychologie et la société.
Merci
on pourrait peut être aussi parler des problèmes structuraux d'exclusion dans la société. les personnes agés, les adolescents, les chômeurs, les immigrés, sont autant d'individus qui sont, de par les structures de la société, exclus. La forme principale de cohésion de la société étant aujourd'hui le travail salarié, suite sans doute à la déliquescence des autres formes de sociabilité , tel que la paroisse, la famille, le quartier, ceux qui n'y ont pas accès se retrouvent mis à l'écart. Avec la flexibilisation du travail (Le travail intérimaire, les contrats à durée déterminée), d'autres formes d'exclusion naissent, à l'intérieur même du champs des salariés.
Bonjour,
Pour améliorer la compréhension du titre du sujet j'ai corrigé l'orthographe...
K.
Nomina si nescis, perit et cognito rerum.
avant de parler de exclusEnvoyé par shokinJe pensais aussi à un rejet de la différence de la part du groupe (ou d'une partie dominante du groupe), mais je ne l'ai même pas sous-entendu .
L'homogénéité ? ah ! non, c'est bien ce qu'il y a le moins souhaitable ! mieux vaut accepter la diversité et le changement, la différence !
Il ne faut pas non plus dramatiser : si l'on est hors d'un groupe, on peut s'insérer dans un autre groupe, encore faut-il envisager de changer de groupe. Et parfois, vaut mieux pas s'initier dans certains groupes...
Toutefois, nous nous devons d'encourager l'insertion des personnes dans les groupes, surtout face à la globalisation et à l'individualisme.
Shokin
il serait nécessaire de vivre 24heures
dans la peau d'un exclu
un exclu n'envisage plus rien
car il n'a plus d'horison
il ne comprend plus
il a perdu le mode " d'emploi."
"il ne faut pas dramatiser"
certe, quand on en est réduit a chercher
un morceau de carton pour s'abriter du froid de la nuit(marché des salinieres, bordeaux,de nos jours.)on ne dramatise mème plus...
ne pas crever... ne pas crever...
bonjour
ainsi on pourrait parler de différents degrés d'exclusion.
Est-ce que la pulpart des phénomènes d'exclusion ne seraient-ils pas à relier au chômage? Et correlativement au manque de ressources économiques nécessaires pour participer à la société??
all the best
Anne
[QUOTE=anna]bonjour
ainsi on pourrait parler de différents degrés d'exclusion.
Est-ce que la pulpart des phénomènes d'exclusion ne seraient-ils pas à relier au chômage? Et correlativement au manque de ressources économiques nécessaires pour participer à la société??
all the best
all the best
bonjour
bien sur le chômage
mais combien de personnes sont actuellement sur le fil du rasoir,
il ont un job (souvent alimentaire) il «triment»
Occupés toute la journée a gagner de quoi survivre
une seule pensée: ne pas tomber, tomber c'est mourir,ou basculer «je ne suis exclus non ..pas encore» malheur a celui qui tombe devant moi ,je l'enjambe et je continue...
bientôt Noël (il vont pour beaucoup, «s'endetter» carte de crédit «payez dans trois mois»)
pour offrir a leurs enfants la derniere console sony ou la paire de nike turbo..
(la-dite paire de nike permettant a leurs enfants, et a nos enfants,d'integrer le grouped'etre reconnu, de ne pas étre exclus.
Exclusion:
Ils vivent (nous vivons) dans l'urgence, asservis par un système corrompu truffés de piéges subtils.
Pilotés ,téléguidés, proies faciles a la crédulité immense.
Je vois depuis quelque années arriver en entreprise de sois disant psy(un psy, corrigez moi si je me trompe pour pratiquer sont métier doit avant tout étre profondement humain)
hors ses psys en question sont la pour apprendre aux managers (négriers) a «piloter» pou asservir un peu plus le personnel. Il y mème certains «bouquins» du genre: «apprendre manager en dix leçons» ou «comment gérer une personnalité difficile au sein de l'entreprise»
je genre de procédé est appliqué politique,chaques mots d'un discours d'un quelconque «tribun est analysé, prévu accordé,en «phase» avec l'evenement.
quand un politique nous parle de chômage,il faut bien entendre le sens quasi subliminal de son discours (et c'est le but qu'il recherche!)nous tenir dans un silence peureux,peur de perdre notre job,peur de ne plus pouvoir subvenir aux besoins de sa famille,peur,. Peur ..
«Comment décrocher un job»... «comment reussir son entretient d'embauche»... etc .etc
pour les jeunes, futurs esclaves, «taillables et corvéables a merci»
Pour le systéme en place l'exclusion est nécessaire,comme le mal est nécéssaire pour définir le bien.
Comme le ying et au yang..comme les pauvres au 12siécle etaient nècessaires a l'église(pour ce justifier en faisant "le bien, en faisant , l'aumone».
de l'homme citoyen (conscient de de sa responsabilité,de sa place ,de son pouvoir dans la société,)
nous avons dégenerés en larves quémandeuses attendant du pouvoir en place(de tos bords),
l'autorisation de continuer notre vie étriquée «oui not'bon maitre, oui not'messieur»
les exclus, L'exclusion, en tant que cytoyens nous en sommes tous résponsables.
La crise.
Il est possible que certains economistes, en me noyant sous les chiffres me prouvent le contraire..
mais la crise n'existe pas..
A cours des deux dernieres guerres certains groupes industriels sont passés sans états d'ames ,de la fabrication de caffetieres a celle des canons .
Quelques millions de morts plus tards a la fin du conflit il sont repassés a la fabrication des caffetieres.le mot crise et un mot de leur invention..
la crise est la quand ils le veulent, quand cela sert leurs intéréts.
bonsoir
alain
Bonjour
je trouve que certaines images ne sont pas judicieuses, genre négrier par exemple. tout n'est pas tout blanc ou tout noir, enfin c'est une position militante qui peut parfois se défendre mais qui éloigne de la réalité. par contre je te suis sur le fait que le chomage ne soit pas le seul problème, les exclus sont plus nombreux effectivement, d'ailleurs l'exclusion n'est pas une caractéristique individuelle mais une conséquence d'une organisation de la société. les travailleurs qui ont les plus faibles salaires, les retraités et les handicapés sans le sous, sont aussi exclus de cette société de consommation.
All the best
Anna
anna si le mot négrier te choque, je le retire bien volontier.Envoyé par annaBonjour
je trouve que certaines images ne sont pas judicieuses, genre négrier par exemple. tout n'est pas tout blanc ou tout noir, enfin c'est une position militante qui peut parfois se défendre mais qui éloigne de la réalité. par contre je te suis sur le fait que le chomage ne soit pas le seul problème, les exclus sont plus nombreux effectivement, d'ailleurs l'exclusion n'est pas une caractéristique individuelle mais une conséquence d'une organisation de la société. les travailleurs qui ont les plus faibles salaires, les retraités et les handicapés sans le sous, sont aussi exclus de cette société de consommation.
All the best
Anna
je suis bien d'accord avec toi tout n'est pas blanc tout n'est pas noir.. et sur ce sujet, je suis loin de toutes pensées manichéenne.
je sais qu'il y a des politiques sincères dans leurs actes,et dans leurs engagements.
je sais également que certains chefs d'entreprises sont des gens honnètes..
je suis prets a entendre tous les discours (gauche et droite confondue) mais je veus (a travers mon vote) , débattre , discuter , approuver ou refuser, je veus que l'on reconnaisse mes droits de citoyen .
je veus la démocratie!, je ne veus pas les grands messes a sarko!
je veus la démocratie et pas "la valse hésitation" de la gauche au sujet de l'europe!
je veus la démocratie sans madame chirac et ses pièces jaunes
(et ses depenses de"cantines"(un smic par jour!)
je veus la démocratie pour vouer a l'enfer tarek ramadam et ses discours sur la lapidation.
democ pour ne pas voir la téte de poutine sur les marches de l'élysée etc etc..etc je voudrais.. j'aimerais bien.
j'ai une petite manon agée de neuf ans demain si son institutrice
avait la bonne idée de lui apprendre ce qu'est la démocratie, la vraie
ce serais vraiment une bonne chose.. un espoir pour le futur.
il y aurais alors peut-etre moins d'exclus..
bonsoir anna
alain
hello
Ouais je comprends, je pense aussi que nous sommes vraiment pas très fort en matière de représentation politique, les rapides alternances, la crise présidentielle, en sont les témoins.
Selon moi un des problèmes, est que la délégation de pouvoir se base non pas sur des idées et projets clairs et précis d'organisation de la société, mais sur l'art de convaincre les foules... Un vieux débats ... Certains disent qu'a l'heure des nouvelles technologies, un genre de démocratie directe pourrait être organisé.
Je pense cependant qu'avec la démocratisation de l'enseignement et l'augmentation de la durée des études on a fait un grand pas vers un idéal démocratique. mais enfin tellement reste à faire.
Un autre problème vient aussi du fait que l'on vit dans une ère de desenchatement politique, on ne se rattache pas vraiment à des idéaux, ou alors on vit avec de vieilles idées qui ont déjà montré leurs limites dans la pratique. Je pense autant au libéralisme qu'au communisme.
All the best
Anna