Bonjour,
pnm://son.radio-france.fr/chaines/itema/9633/9633_21012007_2007I9633S0021.r m
http://www.radiofrance.fr/chaines/fr.../infosciences/
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Bonjour,
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Un nouvel opus de Luminet c'est toujours sympa. Ca vient de sortir ?Bonjour,
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a+
Bonjour,
C'est très gentil de nous faire une revue de presse, mais le but de ces forums est quand même de discuter. C'est pas mal, quand on a un truc à faire partager, de décrire au moins en une phrase de quoi il s'agit, et non de mettre juste un lien que l'on doit cliquer, voir écouter, pour comprendre si ça nous intéresse ou pas...
Pour la modération.
Bonsoir,
Je suis désolé pour mon manque d’élégance.
‘La science en livres par Laurent Broomhead’
- "Le destin de l'univers" chez Fayard, l'astrophysicien Jean-Pierre Luminet
- "L'antimatière, la matière qui remonte le temps" de Gabriel Chardin, physicien
Le compte rendu de Broomhead me semble assez correct mais je m'interroge la dessus quand même :
Grâce à Jean-Pierre Luminet, j'ai enfin compris la fin du film de Kubrick "2001, l'odyssée de l'espace" : le monolithe noir symbolise une porte des étoiles, qui conduit le héros de l'autre côté de l'univers. Allusion à la théorie très spéculative des trous de vers.
Dans le roman à l'origine du film il me semblait que le monolithe était la Sentinelle placée sur la Lune par des ET et chargée d'envoyer le signal que l'humanité avait enfin attend un stade d'éveil technologique au premier contact. Je vois pas trop le rapport avec les trous de vers...
a6
Oh si ,Clarke fait explicitement le rapport dans 2001, quand Bowman se fait capturer par le second monolithe.Le compte rendu de Broomhead me semble assez correct mais je m'interroge la dessus quand même :
Grâce à Jean-Pierre Luminet, j'ai enfin compris la fin du film de Kubrick "2001, l'odyssée de l'espace" : le monolithe noir symbolise une porte des étoiles, qui conduit le héros de l'autre côté de l'univers. Allusion à la théorie très spéculative des trous de vers.
Dans le roman à l'origine du film il me semblait que le monolithe était la Sentinelle placée sur la Lune par des ET et chargée d'envoyer le signal que l'humanité avait enfin attend un stade d'éveil technologique au premier contact. Je vois pas trop le rapport avec les trous de vers...
a6
Il n'y a pas que ça d'ailleurs et j'ai compris des années plus tard.Les dimensions du monolithe sont des carrés de nombre entier, comme dans l'atome d'hydrogène ou d'autres système quantique et pire Clarck fait dire à Bowman après sa transformatio qu'il se rendait compte qu'il avait été naïf en imaginant que la série s'arrêtait là, à trois dimensions !
En clair le monde de 2001 c'est du Kaluza-Klein !!
“I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman
Oh si ,Clarke fait explicitement le rapport dans 2001, quand Bowman se fait capturer par le second monolithe.
Il n'y a pas que ça d'ailleurs et j'ai compris des années plus tard.Les dimensions du monolithe sont des carrés de nombre entier, comme dans l'atome d'hydrogène ou d'autres système quantique et pire Clarck fait dire à Bowman après sa transformatio qu'il se rendait compte qu'il avait été naïf en imaginant que la série s'arrêtait là, à trois dimensions !
En clair le monde de 2001 c'est du Kaluza-Klein !!
Ah oki, merci
Faudrait p'tête que je lise le bouquin, aussi . Je n'ai lu que des résumés.
“I'm smart enough to know that I'm dumb.” Richard Feynman
Ben... le fait est que je patauge pas mal dans la semoule sur la fin
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une tite mignonne en passant : on était une dizaine de pote à visionner 2001, et au moment de la scène de sortie dans l'espace autour du vaisseau (dont une partie est plongée dans l'ombre) y'a une copine qui demande : "Mais ?... Y'a aussi le jour et la nuit dans l'espace ?"
C'est normal... Kubrick a dû décider de faire la fin inintelligible, pleine de symboles (ou alors de LSD ). Clarke est beaucoup plus explicite, quitte peut-être à briser un peu le mystère.Ben... le fait est que je patauge pas mal dans la semoule sur la fin
Et si tu comprends toujours pas, il le répète bien dans chacun des bouquins suivants.
Comme quoi, le réalisme peut être contre-intuitif ! Cette scène est magnifique, le bruit de la dépressurisation fait qu'on s'y croirait !une tite mignonne en passant : on était une dizaine de pote à visionner 2001, et au moment de la scène de sortie dans l'espace autour du vaisseau (dont une partie est plongée dans l'ombre) y'a une copine qui demande : "Mais ?... Y'a aussi le jour et la nuit dans l'espace ?"
Le débat après le film, c'était donc : qui a compris 2001 ? C'était pas triste.
Quand il s'expulse de la navette pour rentrer par la porte de secour ? Je me souviens plus du bruit que ça fait, mais en tout cas l'ensemble rend bien la sensation d'être dans le vide et l'angoisse de l'espace pur et nu qui s'étend infiniment, du moins tel qu'un pur terrien peut se le figurer.Comme quoi, le réalisme peut être contre-intuitif ! Cette scène est magnifique, le bruit de la dépressurisation fait qu'on s'y croirait !
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