J' ai trois lectures scientifiques habituelles ( abonné )Envoyé par KarmaStuff
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C' est obligatoirement dans une des quatre , mais à vue de nez, je ne sais plus laquelle des quatre , faut que je recherche ....
çà date de 3 ou 4 mois max !
Salut !
Tiens en parlant de l'expansion j'aurais voulu savoir s'il y a un rapport entre elle et le refroidissement de l'univers lié à la thermodynamique !
@++
Oui, à mesure que l'Univers s'expand, la température a tendance à refroidir (plus chaude juste après le Big Bang, plus froide aujourd'hui, plus froide dans le futur, à moins qu'on assiste à un Big Crunch)...
Ouh ca fait peur quand même, on va se geler les michesMais n'y a t il pas une possibilité de stabilisation? D'une stationnarité? Un univers tiède ce serait top ^^ !
@++
j' ai pas retrouvé dans mes revues, mais j' ai trouvé sur le site :
astronomie-astronautique .com les lignes suivantes , qui sont celles que j' ai effectivement lues ailleurs :
" Anomalie Pioneer 10 et 11
S'agit-il d'une découverte capitale ?
Partis pour découvrir Jupiter et Saturne et actuellement aux confins du Système solaire, les sondes Pioneer 10 et 11 subissent , depuis plus de 20 ans, un léger ralentissement qui intrigue planétologues et physiciens.
Les données transmisent par les sondes Pioneer indiquent une erreur radiale apparente et constante entre les effets Doppler prévu et réel. Cela semble indiquer une accélération radiale (attirance) possible de ~ 8,5.10-10m.s-2 vers le Soleil pour les deux sondes. Cela signifie qu'au cours de leur course vers les frontières du Système solaire, une force anormale attire les sondes vers le centre du Système provoquant un ralentissement dans leur course vers les étoiles. Les modèles gravimétriques et les problèmes systémiques n'expliquent pas l'anomalie. Les signaux anormaux pourraient indiquer une erreur dans les équations relativistes de l'effet Doppler plutôt qu'une nouvelle physique. "
La sonde parcourt le vide (qui ne l'est pas en fait) sur des millions et des millions de kms... Les astronomes considèrent qu'il y a en moyenne 1 atome d'hydrogène par mètre cube. Sur une centaine de mètres, les impacts de quelques atomes sur la sonde n'ont presque pas d'effet. Mais des milliards et des milliards d'atomes pourraient avoir un impact conséquent sur la vitesse de la sonde, et donc la faire ralentir petit à petit !
Oui mais ça fait plus de 10 ans qu'on cherche les effets conventionnels qui auraient pu la freiner et il reste cet écart. Dans ces effets conventionnels, il y a les artfact électroniques, les fuites de gaz sur la sonde et j'imagine aussi la "viscosité" de l'espace interplanétaire. Ce qui est sûr c'est que ça n'est pas concluant.
a+
L'Univers rayonne à 3 K (3° celsius au-dessus du zéro absolu qui est lui-même à - 273,15 °c). Le fond diffus observé un peu partout dans l'Espace est donc à peu près à 270,15° en dessous de 0° celsius (la température qui transforme l'eau en glace).Ouh ca fait peur quand même, on va se geler les miches
@++
Donc, comme tu le dis, c'est plutôt froid !Mais sur Terre, cette température "importe peu". Si l'Univers se refroidit, notre Soleil continuera toujours à réchauffer la planète. La preuve est faite actuellement : l'Univers rayonne à 3 K, et on ne s'en rend pas vraiment compte...
Pour que la stabilisation s'effectue, il faudrait que l'expansion ralentisse jusqu'à s'arrêter définitivement. Or, on constate que l'expansion n'est pas prête de cesser, d'autant plus qu'elle semble s'accélérer...
Et c'est le problème notamment de l'énergie sombre, une "force" qui paraît éloigner les astres très lointains de plus en plus rapidement. Mais tout ceci est basé sur l'interprétation des ondes électromagnétiques que l'on perçoit...
"...Le paradoxe d'expansion provient de la théorie d'expansion d'univers. Dans la réalité le rougissement de la lumière, qui vient à nous des galaxies éloignées, s'explique pas par leur éloignement - l'effet de Doppler, mais par l'effet de la dissipation - par la diminution de la fréquence des photons avec la distance. Le paradoxe de la "grande explosion" est basé sur l'idée de l'expansion de l'Univers et de l'existence des prétendus rayonnement de fond cosmologique, prétendument qui ont été préservés de la grande explosion. L'absence de cette expansion prive de fondation cette théorie que l'univers est apparue d'un point de base. La présence dans l'espace des rayonnements de fond cosmologique, avec de basses vitesses, est une conséquence de leur dissipation dans le "four" d'étoiles - en raison des frottements la vitesse diminue avec la distance.
Le paradoxe de la mort thermique de l'Univers provient de l'idée de la croissance de l'entropie de Clausius dans tous les vrais processus. En TG il n'y a aucune entropie et de croissance irréversible, puisque tous les vrais processus dans l'analyse finale sont réversibles ; donc, il ne peut pas avoir et la mort thermique du monde.
Le paradoxe de la petite probabilité de la vie est également basé sur le concept de l'entropie. Par exemple, selon G.Kastler, la probabilité d'apparition spontanée de la vie dans l'univers n'excède pas 102E5, qui diffère négligeablement peu du zéro. Cependant, l'absence dans la nature de l'entropie et la présence des mondes hyperfin, dirigeant les ballets, enlève cette question de l'ordre du jour et la prive de son sens..."
A-V. I. Veinik
http://veinik.narod.ru/
Dernière modification par Mikhail ; 10/02/2005 à 17h33.
"L'expansion c'est des trucs de chercheurs qui n'ont rien d'autre à faire".
Ma boulangère, janvier 2005.
www.aubonpaindecommeavant.fr
On arrête là le concours de citations sans intérêt ? L'origine cosmologique ou non du décalage vers le rouge a été discutée longuement sur ce forum, merci de ne pas en remettre une couche ici.
