salut, j'ai un gros doute a propos de l'univers lui-même, et du continuum espace-temps... j'ai de plus en plus l'impréssion qu'il n'existe pas en-soi, que l'univers n'est qu'une représentation, un ensemble crée par notre capacité à faire des liens entre les choses et a les concevoirs comme des entités en propres...
un peu comme l'on trace des lignes entre des etoiles pour faire des constéllation et ce malgré le fait qu'elle n'aient rien a voir entre elle.
bref, je ne nie pas l'existence d'une multitude de galaxies et autres quasars, trou noir et tutti-quanti, mais je nie le fait que celle-ci se meuvent dans un univers, ou a cause d'un univers en expension.. et qu'il y ait un univers par lui-même en tant qu'entitée.
de fait cet univers n'aurait pas de propriété ormis peut-etre d'etre l'ensemble de tout ce qui nous est visible.
en ce sens, il celui-ci ne pouvant etre compris comme une identité, il n'aurait aucune dimension en propre, ormis celle que de notre point de vue, nous voulons bien lui donner. il n'y aurait que des objet libre nés, certes en même temps, mais ce deplaçant dans l'etre originel de l'univers... le rien.... (et non l'espace, ou le vide, notion qui présupose un lien entre des choses, ou qui font ce lien)
car là se trouve le problème comment concevoir une dimension en propre. un infini, un terme absolue et non relatif, utilisé pour decrire des phénomène qui eux justement le sont...
la relativité impose que l'idée d'univers, d'espace-temps absolu disparaisse pour laisser place a un multivers, ou un multitude de point de vue, (une democratie de point de vue) sans que toutefois ces points ne soit joint entre-eux. en aucune manière, ni par une notion d'espace, ni par une de temps, ces quatre-là étant des variables, et non des constantes. celle-ci n'existant que par comparaison les une avec les autres a l'echelle de l'univers et entre tout les repères galliléens. chaque galaxie formant son propre repère dans un "rien", qui n'a ni dimension ni temps, donc ni hauteur, ni profondeur, ni même de longeur propre. ormis bien-sur la ou se trouve de la matière, cause en propre du repère lui-même.
l'univers en tant que continuum n'existant pas, celui-ci ne s'expanse pas, ce sont les repères eux-même qui changent puisque libre de tout espace, libre d'une toile de fond qui elle-même s'expenserais ou leur ferais contrainte. l'espace en tant que lieu, disparait... et le rien dans lequel toute chose se trouve est infini et s'en sens.
ma question est: est-ce bien raisonable???
en fait c'est juste pour voir ce que vous en pensez, parceque il m'est très étrange de voir que le temps et l'espace puisse etre a la fois des dimensions fixe, et etre aussi des variables, provenant, relative l'une de l'autres...
l'une n'existe que si l'autre est, le temps provient du mouvement, qui est l'apparence de la matière dans l'espace. or l'espace lui-même varie selon le temps.
pour faire vite, je dirais que cela resoud un gros problème de philosphie de la perception et de l'existence, ou de la perduration de l'etre dans le temps...
l'on se représente le temps en tant que dimension comme une ligne de present avançant vers le futur, ou plutôt comme le lieu ou les choses change, ou les transformations ont lieu..
or ceci impose que l'etre soit en perpétuel renouvelement dans le temps, dans cette dimension... la dimension du temps est le concept née de la temporalité, comme la longueur est le concept né de la comparaison avec la largeur, la hauteur et la profondeur...
en soi toute ces notions semble etre réel alors qu'elle ne sont que des etres conceptuels abstraits plaqué sur le réel... de pure reconstruction annalytique et conceptuel, mais utile pour la description des choses...
se poser la question de la perduration de l'etre dans cet espace lié par des dimensions conceptuelles, donne l'impréssion que notre propre existance est decoupé par le temps, que le réel n'a aucune épaisseur, aucune réalité... or il n'en est rien... l'existant a bien sa propre épaisseur... toute annalyse se basant sur des dimensions spatiale-temporelle, ne permettent pas de decrire la variabilité subjective de la perception, du temps, de l'espace par le temps, et de la matière en mouvement dans l'espace... donc de la temporalité..
l'on ne parviens a rendre compréhensible la dichotomie du réel perçu, vecu subjectif qu'en abolissant ces dimensions conceptuelles. ainsi, compréhensible devient l'elasticité de la temporalité vecue au quotidient, compréhensible l'impréssion que les distance se font plus courte quand la vitesse augmente pour une durée egale de trajet. cette relativité subjective de la perception me semble de même ordre que la subjectivité née de la relativité decrite pour les astres... même histoire, même cause, même conséquence... si la dimension "temps" n'existe pas au quotidiens, elle ne peut-etre réelle non plus a une plus grande echelle, ou a de plus petite echelle... mais comme l'avais compris einstein, qui lia l'idée de temps a l'idée d'espace.. si l'une dimension n'existe pas, les trois autres non plus... il n'y a que de la matière en mouvement que nous opposons et comparons avec une autre matière en mouvement. il n'y a que des repères galliléen(pas sur du terme) a comparer.
bon j'espère ne pas avoir été trop obscur dans cette critique de l'idée des dimensions en tant que réalité... ce qui est marrant en fait, est que tout deviens beaucoup plus clair sans ces dimensions fixe et absolue...
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