Orbite galactique du systeme solaire
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Orbite galactique du systeme solaire



  1. #1
    meriadeg

    Orbite galactique du systeme solaire


    ------

    bonjour,

    J'ai lu des textes catastrophiste qui utilisait la découverte des vents de particule à très hautes radiations et énergie , provenant principalement du centre galactique frappant durement notre champs magnétique solaire à l'héliopause à chaque foi que le système solaire passe le plan galactique, pour émettre la prévision du début de la phase géante rouge de notre étoile bien aimée. J’espère que c'est juste une mauvaise interprétation de l'information initiale.( d'ailleurs vous en pensez quoi ? )

    Je souhaitait donc connaitre:
    - notre altitude actuelle vis a vis du plan galactique(48AL je crois donc on est en plein dans la période dangereuse vu que le bras galactique fais plus 700AL de hauteur si hauteur à un sens)
    - la durée exacte d'une période complète (dessus/dessous)
    - la vitesse angulaire (autour du centre galactique)
    - l'amplitude maximale du mouvement (du plus bas, au plus haut)

    Dans l’hypothèse d'une corrélation avec les disparitions de masses d'êtres vivant à certaine période historiques vu que notre système solaire passe périodiquement tout les 30millions d'année au dessus puis en dessous du plan galactique), je souhaite tracer la courbe de la position du soleil par rapport au plan galactique par dessus une chronologie de l'histoire de notre planète...pour voir...

    merci pour votre aide

    -----
    Dernière modification par meriadeg ; 20/03/2013 à 12h30.

  2. #2
    Gilgamesh
    Modérateur

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Citation Envoyé par meriadeg Voir le message
    bonjour,

    J'ai lu des textes catastrophiste qui utilisait la découverte des vents de particule à très hautes radiations et énergie , provenant principalement du centre galactique frappant durement notre champs magnétique solaire à l'héliopause à chaque foi que le système solaire passe le plan galactique, pour émettre la prévision du début de la phase géante rouge de notre étoile bien aimée. J’espère que c'est juste une mauvaise interprétation de l'information initiale.( d'ailleurs vous en pensez quoi ? )
    C'est juste n'importe quoi, a priori.
    Il n'y a pas d'irradiation particulière du plan galactique provenant du centre galactique (géométriquement, déjà , on sent que ça ne tient pas)
    La phase géante rouge dépend de l'évolution du coeur de l'étoile, c'est complètement découplé de tout ce qui peut arriver à l'enveloppe, surtout vu le ridicule niveau de l'énergie déposé par le rayonnement cosmique.


    Je souhaitait donc connaitre:
    - notre altitude actuelle vis a vis du plan galactique(48AL je crois donc on est en plein dans la période dangereuse vu que le bras galactique fais plus 700AL de hauteur si hauteur à un sens)
    - la durée exacte d'une période complète (dessus/dessous)
    - la vitesse angulaire (autour du centre galactique)
    - l'amplitude maximale du mouvement (du plus bas, au plus haut)

    Dans l’hypothèse d'une corrélation avec les disparitions de masses d'êtres vivant à certaine période historiques vu que notre système solaire passe périodiquement tout les 30millions d'année au dessus puis en dessous du plan galactique), je souhaite tracer la courbe de la position du soleil par rapport au plan galactique par dessus une chronologie de l'histoire de notre planète...pour voir...

    merci pour votre aide
    Le Soleil est à Z = 5 à 30 parsecs du plan équatorial galactique et s'en éloigne à la vitesse de 7 km/s.

    Il traverse ce plan 2.7 fois par orbite. Une orbite = entre 225 et 250 Ma. Il y a donc impossibilité physique pour qu'il traverse le plan galactique avant qq dizaines de millions d'années.



    Image : orbite galactique du Soleil.
    Images attachées Images attachées  
    Parcours Etranges

  3. #3
    meriadeg

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    merci,

    je vais partager l’interprétation que j'en fais:

    On retrouve tout de même, une corrélation pas inintéressante avec les positions extrêmes sur Z. La répétition des faits est troublante. Pour les extrêmes sur Z cela pourrais correspondre avec un vecteur de déplacement plus parallèle avec le plan galactique, qui augmente nos chance de croiser des astres ayant une orbite plus standard. et comme le bras galactique fait plus de 700AL de hauteur et que, selon le graphique, l'amplitude des variations sur Z n’excèdant pas 460 AL (soit 230 en haut ou vers le bas ), alors lors de cette stabilisation de position sur Z on est toujours dans la zone dangereuse. Si je traduit bien la raison des variations sur z , nous avons pu être capturé par le bras galactique par promiscuité (la seconde solution serait éjection par supernovæ puis formation d'une trajectoire ondulante sur Z).

    La courbe (R) nous montre l'aspect très elliptique de notre orbite, et que par conséquent nous ne sommes probablement pas lié à un bras galactique (bras d'orion qui n'en est pas un)... me trompes je ? ( et ca n'a rien de rassurant finalement vu qu'en plus de traverser le plan galactique, on bouge sur sur le rayon galactique.), la variation d'amplitude sur le rayon est de 2446,5 AL , soit environ la moitie d'un bras galactique. cela pourrait coïncider avec une arrivée à l’orée du bras de Persée.

    je constate aussi que les périodes glaciaires n'ont rien a voir avec l'orbite galactique. ni même avec les grandes catastrophes, c'est donc un phénomène local au système solaire.

    néanmoins, si on observe la variation presque linéaire et constante (courbe R) des catastrophes dans le temps on a l'impression que les deux évènement périodiques se rapprochent jusqu’à ne faire qu’un. (1période sur Z, puis une demie période sur Z, puis coïncidence des périodes ( ou bien plus inquiétant le retour prochain de la probable période compléte ). ceci conjugué au fait que ayant été capturé nous n'avons probablement pas la même vitesse angulaire orbitale que la plupart des astres de la galaxie. cela voudrais il dire que lors de notre course autour de la galaxie nous sommes censé rencontrer deux zones apparemment mobiles et très dangereuse ?

    la question qui reste c'est ou sont ses zones? quels sont leurs vecteurs de déplacement au sein de la galaxie ? j'ai pas les savoirs mathématiques nécessaire pour extrapoler tout ça du graphique.

    q qu’un aurait vu une étude sur la question ?
    Dernière modification par meriadeg ; 21/03/2013 à 09h39.

  4. #4
    meriadeg

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Je ne cesse de m'interroger sur l'aspect ondulatoire de notre orbite autour du plan galactique. Somme nous en rotation orbitale autour d'un astre plus gros pour expliquer l'aspect si régulier de cette ondulation?
    J'ai du mal a concevoir un aspect aussi régulier dans le temps pour une ondulation sans centre gravifique. dans ce cas, ce pourrait il alors que les périodes sur z ne soient pas aussi stable que montre le graphique dû à la variation de densité/masse du bras galactique (mouvements des astres sur différentes trajectoires) si on imagine un centre de gravité du style barycentre de l’ensemble des nœuds stellaires dans la région orbitale du soleil ?

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    Amanuensis

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Pour une orbite qui passe régulièrement de part et d'autre d'un plan orbital moyen, sans que ce soit autour d'une masse, voir l'orbite de SOHO.
    Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.

  7. #6
    Mr_Moutmout

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    @Gilgamesh
    Le Soleil est à Z = 5 à 30 parsecs du plan équatorial galactique et s'en éloigne à la vitesse de 7 km/s.
    Il traverse ce plan 2.7 fois par orbite. Une orbite = entre 225 et 250 Ma. Il y a donc impossibilité physique pour qu'il traverse le plan galactique avant qq dizaines de millions d'années.
    Image : orbite galactique du Soleil.
    Le soleil ne devrait-il pas tourner autour du plan galactique en décrivant une éllipse dont le centre galactique occupe l'un des deux foyers conformément aux lois de Kepler?
    Il devrait traverser le plan galactique deux fois par cycle et la période Z devrait correspondre à la période orbitale.
    Les courbes décrites dans le lien me laissent perplex.
    Comment en sont-ils arrivés à ce résultat?
    Dernière modification par Mr_Moutmout ; 29/03/2013 à 16h48.

  8. #7
    Svenn

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    L'orbite elliptique est rencontrée uniquement dans le cas de l'interaction à deux corps et par extension à tout système dans lequel un des objets a une masse très supérieure à celle de tous les autres réunis. C'est le cas dans un système stellaire : la masse du Soleil représente ainsi 99,9% de la masse total du système solaire. Ce n'est pas du tout le cas des trajectoires dans la galaxie : certes, le trou noir central est bien plus lourd que n'importe quelle étoile de la galaxie mais ça ne représente malgré tout qu'une toute petite partie de la masse de la galaxie. Même si on considère le bulbe galactique comme un objet unique, une fraction très importante de la masse est en dehors de ce bulbe et donc on ne peut plus se ramener au système à deux corps. La trajectoire du Soleil est bien trop influencée par les milliards d'autres étoiles de la galaxie ce qui fait que sa trajectoire est bien plus complexe qu'une simple ellipse.

  9. #8
    Mr_Moutmout

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Oui, j'avais conscience de la simplification du modèle.
    Mais c'est le côté cyclique qui me laisse perplexe.
    Je le voyais plus comme une ellipse dont les paramètres seraient perturbés au hasard des rapprochements avec d'autres étoiles, quelque chose de plus erratique.
    Un peu comme un astéroïde qui est dévié après avoir croisé Jupiter.

  10. #9
    meriadeg

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Mount +1, c'est exactement la question que je me pose...
    je me demande si en fait, la courbe n'aurais pas été extrapolé à partir de mesures très courtes, puis répétés copier/coller pour coller à un modèle orbitale. Je me dit que nous n'avons probablement pas le recul nécessaire pour partir aussi loin dans le temps afin de retrouver l'orbite de notre étoile. d'ailleurs à quel point pouvons nous affirmer être aussi précis sur les mesures en ParseC / notre position, et la forme de notre galaxie? si seulement nous pouvions vivre quelques milliers d'années de plus pour voir les progrès de la science en ce domaine.....(songeur).
    (je vais voir le lien de amanu pour voir avant de continuer...)

  11. #10
    meriadeg

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    d'apres ce que j'ai vu, être au point de "lagrange galactique" n'explique pas , et infirme l'idée de périodicité parfaite, donc ce tracé n'est donc qu'une extrapolation mathématique donnant une idée sur la question. par ailleurs la rotation autour du point de lagrange se fait à la perpendiculaire de l'alignement des deux astres qui confrontent leurs gravistosphère. Et comme les gravitosphères n'ont pas de puissance stable sur la durée, et je pense que le modèle terre soleil est transposable). donc de se fait toutes les comparaisons des grands désastres en fonction de l'orbite galactique n'a aucun intérrêt. dommage....

  12. #11
    Gloubiscrapule

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Citation Envoyé par Mr_Moutmout Voir le message
    Mais c'est le côté cyclique qui me laisse perplexe.
    Je le voyais plus comme une ellipse dont les paramètres seraient perturbés au hasard des rapprochements avec d'autres étoiles, quelque chose de plus erratique.
    Les étoiles sont suffisamment éloignées pour engendrer de très petites perturbations.
    Comme dans tout système décrit par une particule dans un puit de potentiel (Planète autour du Soleil, Soleil dans la Galaxie, atome dans un cristal etc...), le fond du puit de potentiel est décrit au "premier" ordre par une parabole. Une perturbation autour de la position d'équilibre (fond du puit) engendre donc un mouvement sinusoidal qui est la solution d'un potentiel quadratique (la parabole).

    La période d'oscillation de la perturbation ne dépend donc que de la forme du puit de potentiel moyen, ce qui explique la régularité des variations des coordonnées.

    Si la perturbation n'est plus petite, on ne peut plus développer le potentiel au premier ordre, et il faut même rajouter le potentiel de la perturbation à celui du potentiel moyen.
    Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt...

  13. #12
    Xoxopixo

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Bonjour,

    d'après les shemas du message #2 , peut-on en conclure que la trajectoire du système solaire (centré sur le Soleil) est une spirale ( en "tire-bouchon") s'enroulant autour d'une "axe" circulaire faisant le tour de la galaxie ?

    Puisque R et Z sont "sinusoidals" en fonction du temps.
    En bon vivant, rien ne vaut un bonne logique ternaire.

  14. #13
    meriadeg

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    J'ai cru voir quelque part que les galaxies avait une vitesse de rotation orbitale au plus prêt du centre égale à celle au plus loin... ai je mal compris ? si oui à quel vitesse tourne notre galaxie sur elle même ? sinon les éléments qui nous entourent sont ils aussi mené par une vitesse orbitale égale à celui de notre soleil ?

  15. #14
    Xoxopixo

    Re : Orbite galactique du systeme solaire

    Citation Envoyé par meriadeg Voir le message
    J'ai cru voir quelque part que les galaxies avait une vitesse de rotation orbitale au plus prêt du centre égale à celle au plus loin... ai je mal compris ? si oui à quel vitesse tourne notre galaxie sur elle même ?
    Je ne suis pas sûr que de parler de vitesse angulaire pour un corps "flasque" soit très significatif.
    La vitesse angulaire au niveau du système solaire, d'accord, mais pas au niveau de "la" galaxie.
    Un paramètre plus significatif à mon sens serait le moment cinétique gobal de la galaxie.

    Citation Envoyé par Jcboulay
    L'univers serait en rotation: planètes, satellites, étoiles, astéroïdes, nuage de gaz, amas globulaires, et galaxies tournent autour de leur axe ou bien des objets tournant autour d'autres (satellites et anneaux autour de leur planète, planètes autour de leur étoile, étoiles autour du centre de la galaxie qui les abrite ou amas globulaires, galaxies autour du centre de leur amas galactique). C'est parce que la rotation est une quantité conservée: la quantité totale de rotation dans tout l'univers (mesurée de diverses manières) est constante.

    (..)

    La "quantité de rotation" d'un corps isolé dans l'espace - appelée moment cinétique - se conserve en effet, cette quantité étant le produit de son moment d'inertie par la vitesse angulaire, de sorte que si le premier terme diminue parce que l'objet change de forme, le second augmentera.

    C'est une quantité physique importante car toutes les expérimentations indiquent que le mouvement angulaire est rigoureusement conservé dans l'univers: il ne peut pas être transféré, ni ne peut pas être créé ou détruit.

    (..)

    Dans le système solaire, 98% du moment cinétique se trouvent dans les planètes avec notamment 60% pour Jupiter et 15% pour Saturne et 2% seulement dans le Soleil qui représente 99,867% de la masse du Système solaire.
    http://jcboulay.free.fr/astro/sommai...e_rotation.htm

    Sinon, de manière plus détaillée.

    Citation Envoyé par Astrosurf
    La courbe de rotation de la Voie Lactée obtenue par Blitz en 1980 indique que toute la matière tourne à une vitesse oscillant entre 200 et 300 km/s.

    Alors que l'aspect bulbeux du noyau semble indiquer que la majorité des étoiles sont tassées près du centre, les spectrogrammes révèlent que près de 90%de la matière est invisible.
    Etant donné que la Voie Lactée n'est pas une structure figée mais gazeuse, elle doit accuser un mouvement différentiel qui s'accentue à mesure que le temps s'écoule.

    Les étoiles de la périphérie sont donc en retard sur la course des étoiles proches du noyau.
    Mais ce phénomène n'est pas confirmé pour toutes les galaxies et témoigne de la présence d'une quantité importante de matière non lumineuse à plus de 5 Kpc du noyau.

    La densité de la Voie Lactée, évaluée à 0.15 Ms/pc3 est 18 fois plus élevée que la valeur généralement admise.
    Elle confirme la réalité du modèle de la matière sombre que nous avons détaillé dans l'ouvrage consacré à la théorie du Big Bang.

    La méthode des isovitesses permet de représenter les galaxies sous la forme d'une "araignée" radioélectrique dont les extensions représentent les champs des isovitesses.
    Quasiment tous les graphiques d'isovitesses accusent un mouvement différentiel en périphérie (les courbes sont inclinées).
    Mais un grand nombre de galaxies présentent des déformations en forme de S près du noyau.

    Ces irrégularités témoignent de la présence d'une barre transversale, il s'agit de galaxies barrées.
    Enfin, certaines anomalies sont attribuées à des perturbations structurelles que l'on appelle des "ondes de densité".

    Ces deux méthodes cinématiques, les champs des isovitesses et les courbes de rotation permettent d'élaborer un modèle théorique des galaxies.
    La Voie Lactée par exemple qui est un système dynamique devrait perdre toute structure spirale au bout d'un milliard d'années environ.
    Si les bras étaient solides ils finiraient par se resserrer autour du noyau suite à leur vitesse différentielle.
    Pour expliquer la persistance de cette structure et sa symétrie, l'astrophysicien suédois Bertil Lindblad imaginait en 1963 que les galaxies formaient des structures solides, offrant le même moment angulaire près du centre et en périphérie.
    Nous avons des exemples caractéristiques avec M31 et M81.

    C'est à partir de cette idée que les astrophysiciens Lin et Shu ont posé l'existence d'ondes de densité pour expliquer la persistance des structures spiralées.

    Ils suggérèrent que les bras spiraux étaient semblables à des ondes stationnaires, permettant aux nuages d'hydrogène de s'agglomérer pour former de nouvelles étoiles.
    En d'autres termes les galaxies ne tournaient pas contrairement à l'idée généralement admise !
    http://www.astrosurf.com/luxorion/un...e-galaxies.htm
    En bon vivant, rien ne vaut un bonne logique ternaire.

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