Vous utilisez "cohérence spatiale" sur un exemple particulier. Plus généralement, on dit que des sources sont cohérentes si elles ont une relation de phase qui permet la construction d'images. En particulier, les points d'une surface d'onde sont cohérents, et, via la construction d'huygens génèrent d'autres surfaces d'onde. Cette notion est très utilisée en pratique des lasers, chaque point d'un milieu laser contribuant, par sa cohérence, à la construction d'une surface d'onde unique.Envoyé par deep_turtle
Je souhaite seulement que les astrophydsiciens ne rejettent pas a priori la possibilité que les échanges cohérents d'énergie entre ondes électromagnétiques se propageant dans un milieu contenant H* (hydrogène atomique dans les états 2S ou 2P), échanges qui produisent des variations de fréquence sans perte de cohérence, aient un effet important en astrophysique. Notez que les effets cohérents sont très intenses: la réfraction dans un empilement de couches optiques d'un micron réfléchit bien la lumière, etc. La réfraction est d'ailleurs le premier pas d'une absorption.Quant à celui sur l'astrophysique, je vous re-répète que non...
Notez aussi que les astres très rougis sont ceux autour desquels la thermodynamique (et l'observation) montre que H* est abondant, et que ces astres semblent entourés de poussière chaude, alors qu'il peut s'agir de la contre-partie d'un rougissement CREIL.
Notez bien que je ne suis pas a priori contre le big bang. Mais je ne peux supporter un ostracisme fondé sur un a priori d'ignorer une physique élémentaire. (peut-on faire co-habiter big bang et CREIL ?)
Tous les papiers que j'ai envoyés à des journaux d'astrophysique ont été rejetés avec des commentaires de referes qui, au mieux montraient leur incompétence en spectroscopie cohérente, au pire...(n'insistons pas). Jamais le moindre commentaire sur le fond de l'effet physique et de son applicabilité en astrophysique. J'ai donc dû les publier dans des journaux de physique (à comité de lecture).
Ce ne sont pas de nombreux auteurs. C'est à peine une poignée, contre une multitude au bas mot 1000 fois plus nombreuse n'étant pas d'accord avec ceux que vous citez... D'autre part, j'attends toujours une référence sérieuse (publiée dans un journal à comité de lecture) sur ces périodicités...
Combien Galilée avait-il de contradicteurs ? Heureusement, je ne suis pas Galilée, seulement un physicien ordinaire qui voudrait faire connaître un effet bien ordinaire.
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