En comparant les forces centripètes agissant sur les planètes du système solaire à celles des étoiles au sein des galaxies on constate la proportionnalité des premières àet des secondes à
. Ceci découle du fait que les vitesses de révolution sont égales à
pour les premières tandis que les secondes tendent à la constante
.
et
sont la masse du corps centrale et la constante de Newton tandis que
m/s
est une autre constante universelle figurant dans la relation de Tully-Fisher
entre la masse baryonique
(déduite de la luminosité) de la galaxie et de la vitesse
caractérisant la platitude de sa courbe des vitesses.
Outre l'explication par la masse cachée ou par la théorie MOND, on est tenté de trouver une forme généralisée de la loi newtonienne de l'attraction faisant évoluer sa force devers
. Dans ce but, posons
. Si
est l'accélération centripète, écrivons
, où
est une fonction évoluant de
vers
. Évidement, il y a une multitude de fonctions
qui prennent ces valeurs limites. On peut proposer par exemple
où
est un polynôme vérifiant
et
. Une autre possibilité est celle de
avec
et
deux constantes positives. Bref, les formes générales de l'accélération et de la vitesse sont:
![]()
À noter que de toute masse ponctuelle, il existe une distance caractéristique
pour laquelle
et
.
Le potentielengendrant une telle attraction se déduit en posant
,
.
Reste à trouver l'expression adéquate deenglobant les courbes de rotation des galaxies sans porter atteinte aux certitudes observationnelles du Système Solaire.
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et des secondes à
