Bonjour à tous!
Lors de la rentrée atmosphérique une navette est soumise à des réactions catalytiques qui se produisent à sa surface.
Est-ce que ces réactions font partie des phénomènes frottements ou c'est quelque chose à part puisqu'en général on considère que les frottements sont équivalents à la traînée ??
Aidez-moi svp
Merci pour votre réponse
Ah oui! J'ai une autre question. Je comprends pas pourquoi est-ce que O+ et N+ ne forment pas des combinaisons avec la surface de la navette et restent dans l'onde de choc.
Si qqn a une réponse je suis prenante
Salut,
Tu viens de répondre tout seul a ta question : c'est parce que l'onde de choc empêche l'air ionisé de rentrer en contact direct avec la coque.Envoyé par amal26
devant l'onde : 10 000°C (plus ou moins...)
à la surface des tuiles de la navette les plus exposées : ~1700°C
Mais je comprends pas pourquoi l'onde de choc empêche l'air ionisé de rentrer en contact direct avec la coque justement...
Et comment est créée l'onde de choc? psk lorsque je fais de recherches la seule explication que je trouve c'est que la navette a un angle d'incidence supérieur à 17° mais je trouve pas de réelle explication.
Est-ce que vous avez des réponses svp?
en super gros résumé : le corps de la navette qui entre a très haute vélocité dans l'atmosphère créé un "bourrelet" devant elle : une onde de choc.
l'air qui voudrait bien percuter la navette pour la cramer (le saligaud !) est empêché de le faire par ce bourrelet.
cet air ionisé n'est capable que de chauffer l'air entre le front de l'onde de choc et la navette.
Mais beaucoup moins fort que s'il était en contact direct avec l'engin.
Ceci est du a la forme spécifique de la brique volante, qui permet de garder l'engin en entier derrière cette onde de choc.
rallonge les ailes et elles en sortent et donc crâmerait directement.
En super gros résumé hein...
