Bonjour !
Cet article d'AMESSI est riche. Il rassemble plusieurs théories très en vogue dans les milieux de la parascience.
Par manque de connaissances, et derrière ce verbiage difficilement intelligible, je ne peux discerner le vrai du faux.Plus les chercheurs se penchent sur les mystères de la nature, plus ils se posent de questions. Ils viennent de découvrir que nore ADN possède une sorte de conscience et qu’elle peut même communiquer, et ses prouesses sont telles qu’elles dépassent tout ce que l’homme a pu créer par la technique.
Science et religion se rapprochent à nouveau, après des siècles de fraternité ennemie. Dans sa 13ème encyclique, le Pape Jean-Paul II a dit : « La foi et la raison sont les deux ailes, grâce auxquelles l’esprit humain prend son essor et s’envole pour contempler la vérité ». Il existe déjà diverses théories par lesquelles les sciences naturelles et la conscience tentent de se réunir sous un seul toit. Nous voulons présenter un certain nombre de points de vue allant dans ce sens.
Quel est votre avis, sur la valeur "scientifique" de ces théories ? Que penser de l'emploi singulier de certaines théories... dépaysées ?
La "TDG" :
Les "champs-vermoulures magnétiques" :L’une des théories les plus intéressantes est sans aucun doute la nouvelle cosmologie de Matti Pitkänen, qui établit, pour la première fois, un lien entre la physique et la conscience. Le physicien finnois a postulé, il y a déjà quelques années, une brillante théorie sur la manière dont l’univers était constitué, avec, à la base, une nouvelle géométrie spatiale basée sur huit dimensions : la géo-métro-dynamique topologique (TDG). Dans cette théorie compliquée, difficilement compréhensible même pour les savants, les trous de vers (ou vermoulures) jouent un rôle important. Les « vermoulures » ont été nommées ainsi pour la première fois par le physicien John Wheeler. Il s’agit de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyper-espace, qui apparaissent suite à des fluctuations et des variatons du vide quantique. Cet étrange nom est le résultat d’une blague de Wheeler, qui a comparé ces structures à des trous faits par les vers dans une pomme. La Théorie de Pitkänen est très provocante, parce que, pour la première fois dans l’histoire des sciences, elle tente d’établir une relation entre la physique et biologie, ce qui mène à une véritable cosmologie du vivant.
L'effet "ADN Fantôme" : scientifiquement reconnu ?Par cette voie, Pitkänen arrive à une toute nouvelle vision de l’ADN, dans laquelle des termes tels que conscience et perception s’intégrent et font leur entrée dans la physique. Il écrit : « les champs-vermoulures magnétiques , qui sont greffés sur des membranes espace-temps, qui contiennent de la bio-matière courante, sont de bons candidats pour l’explication physique du mécanisme de la perception.. Le magnétisme des vermoulures pourrait même être considéré comme la quintessence des systèmes vivants ».
Dans cette citation Pitkänen se réfère à l’hypothèse des mondes parallèles, d’Everett et Wheeler, selon laquelle notre univers ne serait qu’un univers parmi de nombreux autres univers, situés dans un hyper-espace à dimensions plus élevées. Ces univers singuliers dans l’hyper-espace sont parfois également nommés feuilles (membranes) espace-temps.
Si l’on dévelooop la pensée de Pitkänen, cela veut dire que la science est sur le chemin de prouver la relation que l’on soupçonne d’exister depuis longtemps entre la gravitation et la conscience. Plus précisément : la gravitation et la conscience forment des dipôles opposés.
Les articles de Sheldrake sont consultables sur son site. Ses travaux ont-ils eu quelque écho ? Peut-on les considérer comme sérieux ?L’effet de l’ADN Fantôme Une preuve sensationnelle pour la théorie de Pitkänen est basée sur les travaux d’une équipe de chercheurs inter-disciplinaires de l’Académie de Sciences de Moscou, sous la direction du biologiste moléculaire et biophysicien, Dr. Pjotr. P. Garjajev. Garjajev et son collègue, le physicien quantique, le Dr. Vladimir Poponin, ont fait une observation insolite en mesurant les vibrations émises par des échantillons d’ADN. Ils ont irradié un échantillon d’ADN avec la lumière laser, et ont obtenu, sur un écran, un modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas, comme on pouvait s’y attendre, mais persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait toujours un échantillon maétriel. Comme l’ont démontré des expériences-contrôles, ces ondes devaient provenir, sans aucun doute, de l’ADN qui n’était plus présent ! Une expérience à vide, c’est-à-dire sans échantillon, ne donnait qu’une courbe d’ondes aléatoires. L’effet était reproduisible à volonté, et on l’appelle, aujourd’hui, l’effet ADN-Fantôme. L’explication scientifique de ce phénomène est que l’ADN lui-même semble produire des ondes dans le vide (vacuum), à travers lequel une vermoulure magnétisée se produit, induite par la présence de matière vivante, qui peut persister, selon les cas, plusieurs mois – c’est ce que les recherches de Garjajev et de son collègue ont démontré.
Les "biophotons" et les théories des "radiations biophotoniques" :Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge a établi sa fameuse théorie sur les champs morpho-génétiques. Chaque être humain, de même que chaque être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire.
"Hypercommunication" et ADN. Les théories quantiques s'éloignent parfois des régions microscopiques, pour expliquer des phénomènes macroscopiques : ici la télépathie expliquée par le paradoxe EPR. Raisonnable ?Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de biophotons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation biophotonique. Par sa forme caractéristique de double-hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique.
Que se passe-t-il au niveau de l’énergie électromagnétique captée par l’ADN ? Elle est tout simplement stockée, par le fait que la biomolécule géante se met à vibrer, par résonnance. Ce système, en physique, s’appelle un oscillateur harmonique.
ADN - et "ondes solitons" :La communication de l’ADN suit également des règles fractales. Elle se fait de manière non-locale. C’est-à-dire que l’ADN peut communiquer avec des porteurs d’informations très lointains, sans être soumis à l’espace ni au temps. Cet effet repose sur un paradoxe scientifique bien connu appelé Einstein-Podolski-Rosen, ou Paradoxe EPR. Il explique que deux particules de matière, qui ont été ensemble une fois et qui ont été séparées, restent pour toujours en relation. Si l’une des deux particules, par la suite, est soumise à une modification, l’autre particule réagit immédiatement, même si elles sont séparées entre-temps par des années-lumière.
Merci pour vos lumières !La structure fractale de l’onde Soliton de l’ADN rend possible, selon Garjajev, que l’ADN communique avec des porteurs d’information, peut-être même dans l’espace. Par sa non-localité de cette forme de communication, la loi bien connue de cause à effet est invalidée. Garjajev écrit : « Cause et effet ne sont pas séparés par le temps, si l’on conçoit le temps comme un chemin vers l’organisation d’une chaîne d’événements. Ceci nécessite une unité temporelle fractale compliquée, c’est pourquoi Einstein ne l’a pas reconnue ».
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