Exactement, la lèpre n'agit pas de la même façon quelque soit le génôme de l'organisme vivant qu'elle rencontre (et même entre plusieurs humains, le degré de résistance varie en partie en fonction du génôme).
Donc on n'a jamais de 100% environnemental...
Ce ne sont pas une inconnue totale, on connaît une part de l'hérédité de la forme du nez il me semble.Par contre les parts de l'environnement et du génome dans la forme d'un nez sont une inconnue, au mieux une spéculation. A moins qu'il n'existe des études avec un protocole particulièrement prometteur et rigoureux. D'ailleurs comment se constitue un protocole satisfaisant pour bien départager les prévalences du génome ou de l'environnement ?
Sinon, de manière générale, il y a bien évidemment des protocoles pour départager les prévalences du génome et de l'environnement, ils sont utilisés par toutes les études ayant trait à l'héritabilité (attention, tous ne sont pas aussi satisfaisants les uns que les autres, je sais qu'il y a certaines étude sur des cas de jumeaux par exemple qui n'ont pas été faites avec assez de précaution - d'autres sont par contre tout à fait satisfaisantes).
Un peu de littérature dans le domaine de la génétique quantitative devrait te donner des pistes.
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