Bonjour,
D'un côté la science nous dit constitués de matière, régit par des liens causaux qu'elle se propose de décrire.
D'un autre côté, le vivant se distingue de l'inerte, par l'intentionnalité.
qui soumet les chaines causales sus-mentionnées, à une finalité.
-Or les sciences dures se fondent sur l'idée d'absence de finalité dans le monde physique.
-Le vivant s'accommode aisément de ce qui sur le plan conceptuel semble relever du paradoxe et de la rupture épistémologique.
Ne faut-il pas voir dans ce paradoxe, le signe d'une conception erronée du réel ?
Question annexe : Peut-on considérer les animaux comme étant pourvus d'intentionnalité ?
Qu'est-ce qui différentie l'homme de l'animal selon-vous ?
Cordialement,
Mumyo
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. Nous sommes bien dans le même registre à condition toutefois de nous libérer de l'à priori sur la faille ontologique entre esprit et matière, chose difficile à admettre pour les idéalistes.
). Le moment où il prend conscience de l'effroyable
réalité n'a pour moi aucune autre source que le complexe socio-psychologique de causalité. D'ailleurs, attention à ne pas mélanger phénoménologie et sciences cognitives. 