Bonjour,
lors de symbiose le symbiote a tendance a perdre ses gènes, a voir son génôme réduire.
Ce qui m'amène à une contradiction que je voudrait vous proposer :
D'un coté on sait que ce qui est inutile (ici les gènes du symbiote qui étaient nécessaire à sa vie solitaire) a tendance à rester dans un organisme s'il n'y a pas de pression de sélection qui s'exerce dessus.
D'un autre coté (et là je doute beaucoup plus de la véracité de ce que je vais écrire) la réplication de l'ADN ne coute pas énormément d'énergie ( d'où la persistance chez l'humain de l'anciennement "appelé ADN poubelle"). Donc la taille du génôme symbiote ne devrait pas diminuer. Or il diminue...
Donc d'où vient la pression de sélection qui tend à faire disparaitre les gènes "inutiles" du symbiote ?
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