Bonjour,
j'ai récemment étudié la manière de transmission du caryotype à l'échelle chromosomique par méiose, mitose, brassage inter/intra chromosomique assurant ainsi également la diversité de celui-ci.
Je me suis alors posé la question suivante: ce mécanisme n'est-il pas applicable à plus grande échelle ? Je vous explique ma façon de voir.
Prenons par exemple la beauté, qui est un point subjectif à chaque personne de part la vision que le cerveau humain porte sur la géométrie du visage de l'autre et sur bien d'autres critères. Cette beauté n'est pas commune étant donné qu'une personne trouvera toujours l'amour malgré que certaines autres personnes n'éprouvent aucun attachement auprès d'elle.
Prenons justement le cas contraire: si une personne était laide d'un point de vue non plus subjectif, mais objectif, pour l'ensemble de la population, cela ne mettrait-il pas en danger la conservation du caryotype ? Autre cas, si, de la même manière, une personne était belle pour l'ensemble de la population, cela ne mettrait-il pas en danger la diversité des métabolismes ? Dans ce cas l'unicité du cerveau de chaque individu serait donc la pierre angulaire de la conservation et de la diversité du caryotype.
Et cette question peut également être explicitée après (chronologiquement) dans une relation. Lors d'un rapport sexuel, la sécrétion d'hormones telles que les endorphines et l'ocytocyne, dits "du plaisir" ne garantissent-elles pas la répétition des rapports afin de permettre la fécondation et la nidation, et donc ainsi la conservation du caryotype ?
Que pensez-vous donc de ce point de vue, qui, selon moi, tend à démontrer que l'évolution et le développement de la vie est un mécanisme général aux nombreuses facettes et non pas limité à la génétique.
Merci à vous de votre attention, cordialement,
Nathan, lecteur assidu de futura-sciences
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