bonjour,
je m'aventure sur un sujet que je connais assez peu.
( je profite de l'existence de ce site pour oser, quitte à sembler idiot )
initialement ce qui m'amène à cette question c'est la qualification de gènes dit " poubelle" , dont on sait aujourd'hui qu'ils jouent quand même un role même s'ils ne sont pas directement actifs ( protéines ).
du fait, par association d'idées, après un tour sur le net , j'ai cherché des comparatifs de tailles de génomes en fonction des espèces vivantes.
( j'ai perdu une très belle adresse , mais je vais la retrouver ).
le premier point ( que j'avais lu par ailleurs ), est que la taille du génome ne depend pas du degré de "complexité" de l'espèce.
l'homme est très loin d'avoir un "gros" génome.
mais , les plus gros semblent être l'apanage des espèces les plus primitives ( animales ou végétales )
des batraciens avec reste de queue, des vieux poissons osseux.....,
coté vévetal : des fougères, des conifères ( pins )...
( désolé, avec le site ce serait plus explicite )
ces espèces ont semble-il du et pu s'adapter à de nombreuses évolutions de l'environnement.
mais,
on trouve aussi des espèces ancienne type requin, crocodile par ex avec un relatif "petit" génome.
ce que je qualifierais par "bien adaptées" au départ et résistantes aux modifications de l'environnement.
l'espèce humaine, avec son très jeune age a pourtant un génome conséquent.
celà implique-t-il beaucoup d'adaptation en un temps assez court ?
le génome ( sa taille ) vu sous ces angles serait-il donc un double marqueur.
-l'ancienneté de l'espèce et/ou
-la necessité de nombreuses adaptations.
le taux de gène non codants des espèces primitives etant peut-être supérieur ( traces du passé ) ?
j'espère ne pas tout mélanger, et de ne pas enfoncer de portes ouvertes non plus.
j'aprécierai que l'on me corrige ou complète sur ce thème qui m'est comme dit au début assez étranger.
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