Bonjour, notre prof de biochimie nous a donné un liste de questions pour approfondir notre cours et développer notre réflexion.. Au total une cinquantaine, dont quelques unes me posent problème j'ai donc préféré toutes les réunir sur ce sujet.
1) Dans une protéine globulaire soluble: Tous les résidus apparents en périphérie sont polaires : V/F ? Tous les résidus tournés vers l'intérieur sont apolaires : V/F ?
Ma réponse : j'aurai dis vrai mais bon le "tous" me perturbe un peu
2) Une chaîne polypeptidique composée uniquement de lysine (poly-L-lysine) s'enroule en hélice α à pH 10 mais perd cette conformation et adopte des conformations aléatoires à pH 7. Expliquer cette transition conformationelle dépendante du pH ?
Ma réponse : sur la chaine il y a juste le NH2 des groupements latéraux de la lysine qui sont ionisables. L'hélice doit s'expliquer par des liaisons ioniques, mais la lysine est ionisée à pH plus bas NH3+ donc je ne comprends pas pourquoi c'est l'inverse dans l'énoncé.
3) Le Plasmodium, parasite agent du paludisme, passe une partie de son cycle vital dans les hématies de l'hôte. Son métabolisme abaisse le pH intra-érythrocytaire.
En quoi ceci favorise-t-il la falciformation chez un porteur d'Hb S ?
La falciformation fragilise l'hématie et réduit sa durée de vie. En quoi cela explique-t-il que la drépanocytose confère une résistance au paludisme ?
Ma réponse : aucune idée
4) Multienzymes : Quel est le désavantage potentiel d'avoir plusieurs sites catalytiques sur une même chaîne polypeptidique (comme sur l'acides gras synthase) plutôt que répartis sur des sous-unités distinctes
Ma réponse : je suppose que les sites fixés doivent "trop" influé sur les sites voisins ou que c'est du à l'encombrement stérique donc diminution d'affinité ?
5) Cystéine et cystine : La plupart des protéines cytoplasmiques sont dépourvues de liaisons disulfure alors que les protéines plasmatiques en contiennent souvent. Pourquoi et quel intérêt physiologique ?
Ma réponse : aucune idée
6) Un marathonien inexpérimenté pourrait être tenté d'ingérer une quantité importante de glucose peu avant la course afin d'augmenter sa disponibilité énergétique. Pourquoi les coureurs expérimentés évitent cette source d'énergie ?
Ma réponse : trop de glucose d'un coup et une partie est stockée sous forme de triglycéride, mais ca n'est pas le cas des autres glucides simples ? Et les triglycérides peuvent être source d'énergie mais à jeun beaucoup plus tardivement (insuline: glycogénogénèse et glycolyse pendant l'effort, mais seulement lipogénèse pas de lipolyse ?
Merci d'avance pour votre aide !
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