Bonjour,
Pardonnez moi si cette question relève du b-a-ba de la génétique.
De la théorie de l’évolution, j’ai cru comprendre qu’un des facteurs majeurs était lié au caractère plus ou moins « endémique », mais d’un groupe de taille suffisant.
Endémique pour éviter une dilution rapide de la mutation, et taille suffisante pour en assurer un seuil critique de développement.
Je peux en comprendre naturellement le sens.
Doit-on de ce fait supposer un ralentissement des mutations lié à une mondialisation de la reproduction ( le terme n’est pas très beau, mais explicite ) ?
Pour autant, dans mes très maigres lectures, les auteurs semblent affirmer que le rythme des mutations ne change pas de manière significative.
A titre d’exemple, il semble que l’on s’attend à une évolution forte d’un gène favorisant la résistance à la contamination par le VIH ( je n’ai plus la ref et je l’exprime probablement très mal ) dans les pays d’Afrique. Donc à grande échelle.
Bref, comment se représenter ces dynamiques apparemment contradictoires
Merci à l’avance.
Bon lundi de pâques à toutes et tous.
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