Bonjour,
je souhaite contester une qualité de finition insuffisante à mon goût sur des plafonds en plaque de platres peints.
En effet, de nombreux creux provoqués par les vis de "milieu de plaque" restent visibles, malgré l'application d'une passe de pr4, d'une autre de GDX, et malgré la mise en peinture.
Bien évidemment, j'ai aimablement rencontré le peintre et le plaquiste impliqués pour leur exposer mon mécontentement, mais ils se renvoient la balle.
Le plaquiste prétend avoir respecté le DTU concerné. J'ai regardé, et effectivement, les défauts étant inférieurs à 1mm, même s'il a fait un boulot dégueulasse, ça cadre avec la réglementation...
Le peintre prétend n'avoir pas été payé par le promoteur pour un ratissage, mais le DTU concerné rappelle que seule une finition C dispense de reprises et permet de laisser un support brut. Ce qui classerait son travail hors de la finition B. Inacceptable pour du résidentiel.
J'ai donc envie de pencher "en faveur" du plaquiste, d'autant plus que le peintre n'aurait pas du "accepter le support".
Mais je ne veux pas me louper en attaquant au jugé, d'où ma question :
sur quel point de quel DTU m'appuyer pour exiger une reprise des travaux au titre de la garantie de parfait achèvement?
Je ne veux froisser personne, mais le sujet étant pointu, je m'adresse ici en priorité aux plaquistes ou peintres de métier ou maitres d'oeuvre, s'il y en a, ou aux clients qui seraient passés par les mêmes litiges que moi...
Merci!
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