Bonsoir Myoper, de fait le médecin généraliste, habitué à prendre des décisions seul, est formé pour gérer au mieux ce genre de situation sans stresser. C'est um métier "à part"; pourrais-t'on dire. Confraternellement.
-----
Bonsoir Myoper, de fait le médecin généraliste, habitué à prendre des décisions seul, est formé pour gérer au mieux ce genre de situation sans stresser. C'est um métier "à part"; pourrais-t'on dire. Confraternellement.
Le médecin n'est pas à part et ne doit justement pas se considérer ainsi:
Prenez le temps de lire ces articles: http://www.academie-medecine.fr/11-0...r-notre-temps/ celui çi cadrant ce que vous considéré à tort et certainement par usurpation un "métier" et celui là qui pourra peut-être vous faire réfléchir au fait que la pensée est un droit: https://lejournal.cnrs.fr/articles/e...c-lincertitude
@ myopper: j'ai saisi la problématique, ses raisons et ses conséquences.
Je ne comprends pas le point: ce sont des considérations qui n'échappent à aucun praticien (régulièrement publiées sous une forme ou une autre, dans l'une ou l'autre des revues diverses et même toutes orientations confondues), même pour les hyperspécialistes en très haute technologie.Le médecin n'est pas à part et ne doit justement pas se considérer ainsi:
Prenez le temps de lire ces articles: http://www.academie-medecine.fr/11-0...r-notre-temps/ celui çi cadrant ce que vous considéré à tort et certainement par usurpation un "métier" et celui là qui pourra peut-être vous faire réfléchir au fait que la pensée est un droit: https://lejournal.cnrs.fr/articles/e...c-lincertitude
Le médecin est seul avec son patient quand la décision se prend au final, même si avant, il y a eu les réunions de concertations interdisciplinaires, les batteries d'examens plus ou moins spécialisés, des recommandations professionnelles, le tout sur un socle de connaissances dont le praticien ne s'affranchit pas avec les avis de ses confrères, etc.
Et il n'a pas intérêt à stresser, ni pour son patient, ni pour lui même (même si ça arrive, ce n'est pas ici la situation la plus stressante).
C'est mon point de vue aussi, le décisionnel du médecin est forcement accompagné par un aval scientifique, il n'est pas possible de s'affranchir de cet avant. Il faut tenir compte aussi du fait que le patient fait appel à la médecine dans une démarche de confiance et il ne doit pas être simple d'évaluer comment cette confiance s'est bâtie: donc oui le médecin connait le caractère positif de son action et ne stresse pas mais il est important aussi que si le patient le souhaite, il puisse avoir un pronostique sur son état pour "entrer" dans la collégialité des décisions qui le concerne.Je ne comprends pas le point: ce sont des considérations qui n'échappent à aucun praticien (régulièrement publiées sous une forme ou une autre, dans l'une ou l'autre des revues diverses et même toutes orientations confondues), même pour les hyperspécialistes en très haute technologie.
Le médecin est seul avec son patient quand la décision se prend au final, même si avant, il y a eu les réunions de concertations interdisciplinaires, les batteries d'examens plus ou moins spécialisés, des recommandations professionnelles, le tout sur un socle de connaissances dont le praticien ne s'affranchit pas avec les avis de ses confrères, etc.
Et il n'a pas intérêt à stresser, ni pour son patient, ni pour lui même (même si ça arrive, ce n'est pas ici la situation la plus stressante).
La répartition des âges a changé pour les hospitalisations :
Ici on retrouve la base de travail : https://www.e-cancer.fr/content/down...04:04:2020.pdf
Avec; "1.1 Facteurs prédictifs de gravité selon les données disponibles dans la littérature" basé sur les données Chinoises. Une ré-évalution n'est-elle pas faisable à la vue de nos propres suivis ?
Cela reste de toutes façons compliqué. On a toujours la possibilité de remplir des directives en tant que patient, certaines seront un acte de générosité.
Pour revenir dans le cœur du fil, l'OMS a t-elle ou non confirmé ses analyses et conclusions faites à partir des chiffre Chinois. DT en fait une polémique mais si il en parle c'est que les experts américains vraiment qualifiés ont peut-être des doutes?