Actu - Coronavirus : certaines conditions météo sont plus favorables à sa propagation
Le coronavirus, responsable de la pandémie de Covid-19, se propage par le biais de gouttelettes expulsées par des personnes infectées. Et, depuis le début de la crise, la question de la durée de...
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Il me semblait que ceci était déjà connu depuis un certain temps.
par ailleurs, la vidéo ( sur une éventuelle seconde vague ) date d'au moins 2 mois, non ?
Ce que dit cet article tombe sous le coup du bon sens. Plus il fait chaud et sec, plus vite les gouttelettes vont s'évaporer. Quand on a constaté que le quart nord-est de la France était plus touché que les autres régions, on a immédiatement pensé, à juste titre, aux clusters puis au manque de respect des règles de distanciation dans certains quartiers d'Ile de France. Mais il est possible également que le climat méditerranéen, plus doux en hiver, ait pu jouer un rôle. Ce n'est pas certain, juste une probabilité.
Les météorites ne peuvent exister car il n'y a pas de pierres dans le ciel. Lavoisier.
bien sûr.Envoyé par papy-alain
mais ma remarque visait surtout l'actualité de ces news.
et surtout la vidéo.
bon, en même temps, y'a pas de quoi fouetter un chat.
ce n'est pas le premier article un peu inutile .
ps: et j'ose même dire que j'ai commencé à regarder qui étaient les auteurs avant même de lire les contenus.
( sans jeter la pierre ).
car il y a, à mon avis, de grosses différences de qualités.
nouvelle révolutionnaire ! l'évaporation de gouttelettes dépend de la température et de l'humidité !Un modèle mathématique montre que la température ambiante et l'humidité jouent un rôle critique en la matière
pour mourir il faut déjà commencer par vivre.Car il s'avère qu'une fois les gouttelettes disparues, le coronavirus meurt rapidement.
La vie trouve toujours un chemin
ben oui, c'était l'esprit de ma remarque.
et la vidéo est encore plus datée il me semble.
mais ne tirons pas sur l'ambulance !
Il faudrait ne pas s'intéresser qu'aux conditions extérieures, mais aussi aux conditions intérieures (température, humidité, renouvellement d'air) des bâtiments (donc aux systèmes de ventilation), là où nous vivons le plus souvent, surtout en ville.certaines conditions météo sont plus favorables à sa propagation
En France, la ventilation de loin la plus répandue dans les logements (et souvent dans les bureaux) est type hygroréglable A ou B. Le débit d'air hygiénique entrant par les entrées d'air des menuiseries varie suivant l'humidité, de sorte à maintenir une humidité relative intérieure (plus ou moins) constante.
Plus la température extérieure est faible, plus l'humidité absolue extérieure est faible et donc le débit d'air entrant est faible ( avec occupation et les dégagements d'humidité des occupants identiques)
Avec ce système de ventilation, le débit de ventilation entrant est plus faible là ou il fait plus froid dehors, dans le Nord-Est par exemple. Par suite l'air intérieur est plus pollué et infecté par le virus.
Outre-Rhin, ce système de ventilation à débit variable typiquement français n'existe pas, le débit est constant... ce qui peut expliquer la différence de propagation.
