La transmission aérienne du Covid-19 de moins en moins mise en doute, excepté par l'OMS

[magura]

1). L'absence de reconnaissance universelle du fait que le COVID-19 soit transmis par des particules en suspension dans l'air, ainsi que des recommandations floues en matière de prévention des infections, ont conduit à un faux sentiment de sécurité qui met le public en danger - en particulier lors de la réouverture des lieux de travail, des écoles et des collèges, selon une lettre de recherche publiée aujourd'hui dans Clinical Infectious Diseases : https://academic.oup.com/cid/article...iaa939/5867798

2). L'OMS doit admettre que le COVID-19 peut se propager par voie aérienne (traditionnellement définie comme l'inhalation d'agents pathogènes respiratoires uniquement à distance de la source), selon le Dr Michael Osterholm, directeur du CIDRAP.
Il a été démontré que le virus survit aussi bien, sinon mieux, dans les aérosols que dans les gouttelettes sur une surface :
https://www.cidrap.umn.edu/news-pers...d-spread-risky
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[JPL]

C’est une possibilité qui est pour le moment une hypothèse. La détection d’ARN viral dans l’air ne donne pas l’assurance qu’il s’agisse de virus encore "en bon état", autrement dit infectieux.

Le texte de l’article qui se présent comme une lettre ouvert collective dit :

The evidence is admittedly incomplete for all the steps in COVID-19 microdroplet transmission, but it
is similarly incomplete for the large droplet and fomite modes of transmission. The airborne
transmission mechanism operates in parallel with the large droplet and fomite routes, e.g. [16] that
are now the basis of guidance. Following the precautionary principle, we must address every
potentially important pathway to slow the spread of COVID-19.

Traduction :

La preuve est certes incomplète pour toutes les étapes de la transmission des microgouttelettes COVID-19, mais est également incomplète pour les modes de transmission de grosses gouttelettes et de fomite. Les aéroportés Le mécanisme de transmission fonctionne en parallèle avec les grandes routes de gouttelettes et de fomite, par ex. [16] que sont désormais la base de l'orientation. Nous devons nous attaquer à toutes les voies potentiellement importantes pour ralentir la propagation de COVID-19.

Pour ceux que le mot fomite dérouterait voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Fomite.

[magura]

Bonjour,
https://www.who.int/news-room/q-a-de...19-transmitted
« Some medical procedures can produce very small droplets (called aerosolized droplet nuclei or aerosols) that are able to stay suspended in the air for longer periods of time. When such medical procedures are conducted on people infected with COVID-19 in health facilities, these aerosols can contain the COVID-19 virus »
Désolé, mais l’OMS indique clairement qu’il s’agit du virus, et non pas de brins d’ARN.
Cordialement

[myoper]

Ah oui, ça pourrait donc être une quantité insuffisante pour provoquer une infection mais suffisante pour une immunisation et expliquerait l'absence de reprise massive la ou le déconfinement ne respecte plus aucune règle et la ou on attendait des foyers qui n'arrivent pas (pour l'instant, ça peut encore) ; autrement dit, serait l'explication de la saisonnalité qui n'a jamais reçu d'explication satisfaisante ?

[A voir en vidéo sur Futura]

[Bounoume]

Ah oui, ça pourrait donc être une quantité insuffisante pour provoquer une infection mais suffisante pour une immunisation et expliquerait l'absence de reprise massive la ou le déconfinement ne respecte plus aucune règle et la ou on attendait des foyers qui n'arrivent pas (pour l'instant, ça peut encore) ; autrement dit, serait l'explication de la saisonnalité qui n'a jamais reçu d'explication satisfaisante ?

Ton hypothèse est plausible.....
Cela appelle la question fondamentale:
Sait-on réellement, pour les virus (ou mieux, pour les virus un peu voisins de Sars-cov2).......

Quel sont les conséquences d' une contamination, en fonction de la QUANTITE de particules virales contaminante?
Seuils? probabilités? Effets distincts?

Ceci tous autres facteurs égaux par ailleurs (mode de présentation du contaminant, circonstances de contamination, sujet contaminé.. etc)

[minushabens]

pour le SARS-cov2 je ne sais pas mais en général il y a eu des études sur la quantité de virus ou de bactéries nécessaire pour produire une infection (sur animal évidemment). Tu pourras trouver des articles avec les mots clés "inoculum size".

[papy-alain]

Il y a une chose que je ne comprends pas : l'OMS nie-t-elle réellement le bien-fondé des études portant sur le mode de transmission du virus ?

[Nicophil]

Une analyse de trois éclosions de Covid-19: comment elles se sont produites et comment les éviter

Le bureau Dans une seule aile d'un centre d'appels à Séoul :
Malgré l'interaction considérable entre les travailleurs des différents étages du bâtiment dans les ascenseurs et le hall, la propagation du virus s'est largement limitée à cet espace rempli d'employés assis aux bureaux, «indiquant que la durée de l'interaction (ou du contact) était probablement le principal facilitateur d'une infection étendue ».

Le restaurant
Sur la table A, une personne arrivée la veille de Wuhan mangeait avec sa famille. Cette nuit-là, cette personne a montré des symptômes et est allée à l'hôpital.
Après le repas, neuf autres clients ont reçu un diagnostic de Covid-19. Toutes les personnes infectées par les tableaux B et C étaient à plus d'un mètre du patient 0, certaines jusqu'à 4,5 mètres. Personne d'autre dans le restaurant n'a été infecté.
La durée est critique. Les repas des familles B et C se chevauchent avec ceux du patient 0 pendant une période prolongée, tandis que ceux du tableau D ne se chevauchent avec le patient 0 que pendant 18 minutes.
Des caméras sur les lieux montrent que les personnes infectées n'ont eu aucun contact dans les toilettes ou ailleurs qui aurait pu conduire à la transmission du virus.
Les bouches d'aération extérieures du restaurant étaient fermées.


Le bus

«Comme au restaurant, la transmission pourrait s'expliquer par des aérosols et des gouttelettes parcourant de plus longues distances en raison du courant d'air provenant de la fenêtre ou de la climatisation», ajoute-t-elle.
Au total, 23 personnes ont été infectées dans le bus. Personne n'est tombé malade dans l'autre bus, malgré le fait qu'ils se mêlaient tous à la cérémonie.
La climatisation était en mode recirculation, les chercheurs croient que c'était essentiel ; les passagers ont été infectés quelle que soit leur distance de la patiente 0.

Un certain nombre d'études au Japon et ailleurs montrent que les transports publics ne sont pas responsables d'infections multiples tant que les utilisateurs respectent les règles d'hygiène et de protection, en particulier l'utilisation de masques qui empêchent les personnes infectées de libérer des gouttelettes contagieuses dans l'atmosphère.

[Nicophil]

C’est une possibilité qui est pour le moment une hypothèse.

En Asie, la non-transmission aérienne du SRAS-Cov 2 est apparue d'emblée comme un voeu pieux compte tenu des connaissances acquises sur le SRAS de 2003.

Dans cet article du 28 janvier : https://theconversation.com/que-sait-on-de-la-contagiosite-du-coronavirus-de-wuhan-130722

Comment le virus se transmet-il ?

Celle-ci peut se faire de deux façons : par de grosses gouttelettes, ce qui donne une transmission que l’on considère habituellement comme « à faible distance », ou via des particules beaucoup plus petites (par aérosols), capables d’être transportées par voie aérienne sur de plus longues distances. Ce dernier type de transmission est le plus difficile à contrôler.

On considère que le SRAS se transmet[tait] non seulement par contact et sur de courtes distances, par gouttelettes, mais aussi par aérosol, sur de longues distances. À Hongkong, l’infection est par exemple passée d’un étage d’un bâtiment à l’autre.

Les coronavirus sont des virus respiratoires, ils se trouvent donc dans le nez, la gorge et les poumons. C’est dans ces derniers que les quantités de particules du virus de Wuhan sont les plus élevées. Si ces virus présents dans les poumons sont expulsés, il est possible qu’ils se propagent par le biais de fines particules en suspension dans l’air, lesquelles seraient ensuite inhalées dans les poumons des personnes alentour.

[Bounoume]

pour le SARS-cov2 je ne sais pas mais en général il y a eu des études sur la quantité de virus ou de bactéries nécessaire pour produire une infection (sur animal évidemment). Tu pourras trouver des articles avec les mots clés "inoculum size".

beaucoup de références sans intérêt....
mieux si on ajoute "virus" à la requête....
parmi les résultats pertinents:
http://reu.ecology.uga.edu/wp-conten...2018/08/Lu.pdf (pour la grippe..... avec un effet paradoxal: diminution du pourcentage de cas graves si la dose administrée est forte.... mais une explication simple est possible ....*)
https://www.newscientist.com/article...ovid-19-worse/
mécanisme bien complexes (virus de l' hépatite... mais injecté, pas inhalé)


https://tetramer.yerkes.emory.edu/fa...tions/19625407
et ça (inaccessible, en fait )
https://math.asu.edu/news-events/eve...020-02-14/1400





*Si les sujets infectés dès un innoculum faible (qui étaient sensibles à une dose basse..... l' étaient à cause d' une déficience immunologique modeste, mais suffisante pour ensuite laisser se développer une infection grave), et que ceux malades seulement avec un fort innoculum aient ce seuil plus haut parce qu'ils luttaient mieux contre le virus, leur arrivée dans la cohorte des "malades" ferait baisser le taux de cas graves....

[Nicophil]

En Asie, la non-transmission aérienne du SRAS-Cov 2 est apparue d'emblée comme un voeu pieux compte tenu des connaissances acquises sur le SRAS de 2003.

Mais contrairement au cas du SRAS de 2003, la contagiosité du SRAS-CoV 2 précède les symptômes !

Bref, en extrême-orient, en attendant d'éventuelles données scientifiques rassurantes, on a pris d'emblée au sérieux le risque que la transmission soit à la fois pré-symptomatique et aérolisable.
En occident, on a exigé des preuves scientifiques avant de risquer de faire peur aux pauvres gens ("Ne rentre pas trop tard, surtout ne prend pas froid!"). En février, le virus circulait déjà pendant que les gouvernements se félicitaient de ne rien voir d'inquiétant sur leurs écrans de contrôle. A croire qu'ils croyaient que le virus allait arriver à pied...

Pouvez-vous contaminer vos voisins même en l’absence de symptômes ?

La grippe est l’exemple classique d’un virus capable de se disséminer alors que les personnes infectées ne présentent pas de symptôme.
À l’inverse, les personnes qui avaient été contaminées par le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère – severe acute respiratory syndrome, ou SARS, en anglais) n’étaient contagieuses qu’après l’apparition des symptômes.Concernant le coronavirus 2019-nCoV, pour l’instant aucune donnée scientifique n’a été publiée qui permette d’étayer les déclarations des autorités chinoises concernant une possible transmission durant la période d’incubation.

[...] cette découverte suggère qu’il est possible que des enfants et des individus jeunes soient infectieux alors qu’ils ne présentent aucun symptôme.
Elle est préoccupante, car elle signifie qu’il pourrait s’avérer compliqué d’identifier les personnes qui risquent de tomber malades, et difficile également de remonter la piste des individus avec lesquels elles ont pu être en contact. Des gens capables de transmettre le virus sans jamais tomber malade pourraient passer sous les radars… Les contrôles dans les aéroports perdent également en efficacité, puisque des personnes capables de transmettre le virus ne pourraient pas être repérées.

[magura]

Bonsoir,
Voici quelques publications intéressantes :
• Rajat Mittal, Rui Ni, and Jung-Hee Seo. The flow physics of covid-19. Journal of Fluid Mechanics,
894:F2, 2020. doi: 10.1017/jfm.2020.330.

• Lydia Bourouiba. Turbulent Gas Clouds and Respiratory Pathogen Emissions: Potential Implications
for Reducing Transmission of COVID-19. JAMA, mar 2020. ISSN 1538-3598 (Electronic).
doi: 10.1001/jama.2020.4756.

• Sima Asadi, Nicole Bouvier, Anthony S Wexler, and William D Ristenpart. The coronavirus
pandemic and aerosols: Does COVID-19 transmit via expiratory particles? Aerosol science and
technology : the journal of the American Association for Aerosol Research, 0(0):1–4, apr 2020. ISSN
0278-6826. doi: 10.1080/02786826.2020.1749229. URL https://pubmed.ncbi.nlm.nih.
gov/32308568https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7157964/.

Cordialement

[magura]

Accès à la première publication : The flow physics of covid-19
https://www.researchgate.net/publica...cs_of_COVID-19
On y trouve le pdf à télécharger : The_flow_physics_of_COVID-19.pdf
Extrait tronqué dans le but de rester bref:

« The airborne transmission route is associated with small droplets that are suspended and transported in air currents.
Most of these droplets evaporate within a few seconds to form droplet nuclei.
The nuclei consist of virions and may remain suspended in the air for hours.
Each droplet nucleus could contain multiple virions, and, given the approximately one hour viability half-life of the SARS-CoV-2 virus and the fact that SARS-type infections in a host may potentially be caused by a single virus , droplet nuclei play a singularly important role in the transmission of COVID-19-type infections.»

La voie de transmission aérienne est associée à de petites gouttelettes qui sont suspendues et transportées dans les courants d'air.
La plupart de ces gouttelettes s'évaporent en quelques secondes pour former des noyaux de gouttelettes.
Les noyaux sont constitués de virions et peuvent rester en suspension dans l'air pendant des heures.
Chaque noyau de gouttelette peut contenir plusieurs virions et, étant donné la demi-vie de viabilité d'environ une heure du virus SARS-CoV-2 et le fait que les infections de type SRAS chez un hôte peuvent être potentiellement causées par un seul virus, les noyaux de gouttelettes jouent un rôle particulièrement important dans la transmission des infections de type COVID-19.

Accès à la deuxième publication : Turbulent Gas Clouds and Respiratory Pathogen Emissions. Potential Implications for Reducing Transmission of COVID-19
https://lbourouiba.mit.edu/sites/def..._it_200011.pdf
Extrait et traduction tronquée :

"Recent work has demonstrated that exhalations, sneezes, and coughs not only consist of mucosalivary droplets following shortrange semiballistic emission trajectories but, importantly, are primarily made of a multiphase turbulent gas (a puff) cloud that entrains ambient air and traps and carries within it clusters of droplets with acontinuum of droplet sizes. The locally moist and warm atmosphere within the turbulent gas cloud allows the contained droplets to evade evaporation for much longer than occurs with isolated droplets. Underthese conditions, the lifetime of a droplet could be considerably extended by a factor of up to 1000, from a fraction of a second to minutes.
The gas cloud and its payload of pathogen bearing droplets of all sizes can travel 23 to 27 feet (7-8 m)."

Les exhalations, les éternuements et la toux ne sont pas seulement constitués de gouttelettes mucosalivaires, mais sont principalement constitués d'un nuage de gaz turbulent qui entraîne l'air ambiant et emprisonne et transporte en son sein des amas de gouttelettes.
L'atmosphère humide et chaude dans le nuage de gaz permet aux gouttelettes contenues d'échapper à l'évaporation pendant beaucoup plus longtemps qu'avec des gouttelettes isolées.
Dans ces conditions, la durée de vie d'une gouttelette peut être considérablement allongée d'un facteur allant jusqu'à 1.000, d'une fraction de seconde à quelques minutes.
Les gouttelettes contenant des agents pathogènes sont propulsées beaucoup plus loin que si elles étaient émises isolément ; des gouttelettes pathogènes de toutes tailles peuvent parcourir de 7 à 8 m.

Accès à la troisième publication : The coronavirus pandemic and aerosols: Does COVID-19 transmit via expiratory particles?
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7157964/
Extrait et traduction tronquée :

"During speech, these particles likely derive in part from a “fluid film burst” mechanism in the alveoli in the lungs as well as via vibration of the vocal cords, so the breath and speech derived particles may contain virions if mucus in the respiratory tracts contains them.
COVID-19 is a respiratory infection, and early work clearly established the presence of SARS-CoV-2 in the respiratory tract.
Neither the aerosol viral load nor the minimum infectious dose for COVID-19 have been definitively established, although it is believed for other viral respiratory illnesses that a single virus can serve to initiate infection."

Pendant la parole, ces particules proviennent d'un mécanisme «d'éclatement d’un film de fluide» dans les alvéoles pulmonaires, de sorte que les particules émises lors de l’expiration et lors de la parole peuvent contenir des virions, si le mucus dans les voies respiratoires en contient.
Ni la charge virale des aérosols ni la dose infectieuse minimale de COVID-19 n'ont été définitivement établies, bien que l'on pense que pour d'autres maladies respiratoires virales, un seul virus peut servir à déclencher une infection.

[noir_ecaille]

Des nouvelles : https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/...rtan-dhp-feeds

Reste à retrouver des sources pour confirmer.

[aspartame]

Une analyse de trois éclosions de Covid-19: comment elles se sont produites et comment les éviter

Le bureau Dans une seule aile d'un centre d'appels à Séoul :
Malgré l'interaction considérable entre les travailleurs des différents étages du bâtiment dans les ascenseurs et le hall, la propagation du virus s'est largement limitée à cet espace rempli d'employés assis aux bureaux, «indiquant que la durée de l'interaction (ou du contact) était probablement le principal facilitateur d'une infection étendue ».

Le restaurant
Sur la table A, une personne arrivée la veille de Wuhan mangeait avec sa famille. Cette nuit-là, cette personne a montré des symptômes et est allée à l'hôpital.
Après le repas, neuf autres clients ont reçu un diagnostic de Covid-19. Toutes les personnes infectées par les tableaux B et C étaient à plus d'un mètre du patient 0, certaines jusqu'à 4,5 mètres. Personne d'autre dans le restaurant n'a été infecté.
La durée est critique. Les repas des familles B et C se chevauchent avec ceux du patient 0 pendant une période prolongée, tandis que ceux du tableau D ne se chevauchent avec le patient 0 que pendant 18 minutes.
Des caméras sur les lieux montrent que les personnes infectées n'ont eu aucun contact dans les toilettes ou ailleurs qui aurait pu conduire à la transmission du virus.
Les bouches d'aération extérieures du restaurant étaient fermées.


Le bus

«Comme au restaurant, la transmission pourrait s'expliquer par des aérosols et des gouttelettes parcourant de plus longues distances en raison du courant d'air provenant de la fenêtre ou de la climatisation», ajoute-t-elle.
Au total, 23 personnes ont été infectées dans le bus. Personne n'est tombé malade dans l'autre bus, malgré le fait qu'ils se mêlaient tous à la cérémonie.
La climatisation était en mode recirculation, les chercheurs croient que c'était essentiel ; les passagers ont été infectés quelle que soit leur distance de la patiente 0.

Un certain nombre d'études au Japon et ailleurs montrent que les transports publics ne sont pas responsables d'infections multiples tant que les utilisateurs respectent les règles d'hygiène et de protection, en particulier l'utilisation de masques qui empêchent les personnes infectées de libérer des gouttelettes contagieuses dans l'atmosphère.

Bonjour, et si une spore fongique avec une bonne capacité d'attache au virus, venait s'en mêler ?

[JPL]

Bonjour, et si une spore fongique avec une bonne capacité d'attache au virus, venait s'en mêler ?

Hypothèse totalement gratuit qui sort de je ne sais où.

[Flyingbike]

Il faut reconnaître que c’est original.
Mais sans le moindre élément sous jacent c’est effectivement gratuit.

Si cela a déjà été décrit (de façon générale, la diffusion d’un virus bénéficiant d’un vecteur autre), on devrait pouvoir trouver des éléments

Personnellement j’aime bien l’idée

[JPL]

Sur le plan des principe on sait depuis longtemps que de nombreux polluants atmosphériques s’agrègent avec les gouttelettes ou particules d’aérosols, ce qui augmente leur probabilité de capture par l’organisme, donc leur nocivité. Ce qui sort de nulle part ce n’est pas le principe mais les spores fongiques.

[MissJenny]

dans ce cas on devrait voir une saisonnalité de la transmission peut-être, ou en tout cas une corrélation avec la concentration en spores.

[aspartame]

dans ce cas on devrait voir une saisonnalité de la transmission peut-être, ou en tout cas une corrélation avec la concentration en spores.

Il faut reconnaître que c’est original.
Mais sans le moindre élément sous jacent c’est effectivement gratuit.

Si cela a déjà été décrit (de façon générale, la diffusion d’un virus bénéficiant d’un vecteur autre), on devrait pouvoir trouver des éléments

Personnellement j’aime bien l’idée Bonsoir, Voici quand même d'où vient l'idée: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34968860/

[aspartame]

dans ce cas on devrait voir une saisonnalité de la transmission peut-être, ou en tout cas une corrélation avec la concentration en spores.

Bonsoir MissJenny, pour essayer de clarifier mon point de vue, si tant est qu'on puisse admettre un récepteur de bassiana (b) sur le covid, les spores ne passeraient pas directement vers l'homme mais plutôt dans un modèle suivant: légume + b - ravageur-animal-homme ou alors en spays ????

[JPL]

Ça devient du grand n’importe quoi !

[aspartame]

Ça devient du grand n’importe quoi !

J'ai 6 acides aminés à la suite en commun entre du bracovirus et de la spike de covid. Pour que je ne t'ennuie plus il faudrait venir vers toi avec une suite de combien d'acides aminés pour commencer à t'intéresser?

[Flyingbike]

j'ai 10 acides aminés communs entre la spike de covid et la protéine erbB3 humaine, (impliquée dans certains cancers)

que faut-il en conclure ?





Il faut surtout arrêter de s'astiquer la synapse et de remuer du vent....

[aspartame]

Bonjour, la guêpe était là bien avant l'homme (des millions d'années). Le code du bracovirus est réparti dans l'entièreté de son genôme. Bien qu'il a été entièrement décrypté, maîtrise ton complètement son fonctionnement? Et puis, ce n'est pas la longueur d'une chaine qui détermine sa dangerosité.

[mh34]

Bonjour, la guêpe était là bien avant l'homme (des millions d'années). Le code du bracovirus est réparti dans l'entièreté de son genôme. Bien qu'il a été entièrement décrypté, maîtrise ton complètement son fonctionnement? Et puis, ce n'est pas la longueur d'une chaine qui détermine sa dangerosité.

Jej ne sais pas ce que vous cherchez à démontrer mais si vous voulez comparer les génomes, vous avez ce site qui vous les donne ;
https://genome-euro.ucsc.edu/cgi-bin...enome.ucsc.edu
Et c'est en libre accès.
Bon travail.

[MissJenny]

je ne comprends pas la logique d'Aspartame. Je ne vois pas le lien entre le rôle potentiel de spores de champignons et ce virus de guêpe parasitoïde.

[JPL]

Ne t’inquiète pas, il n’y a rien à comprendre.

[JPL]

Pour te donner une idée de la logique d’aspartame regarde : https://forums.futura-sciences.com/c...ml#post6949888.

[aspartame]

Alors désolé pour la fumisterie! https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33359739/