Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
ça existe encore ? (les actus Futura)
Dommage que les modos soient obligés de remplacer RSSbot, mais au moins on peut compter sur vous pour ne signaler que les "actus" qui le méritent…
Bon courage !
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Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
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Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
Il y a une autre manière de terminer les mesures de confinement , meme sans immunité collective (par exemple si ça devient une épidémie saisonnière comme la grippe), c'est que la frange la plus susceptible de mourir ...sera déjà morte. Les années suivantes, on n'aurait plus que la frange qui s'est fragilisée depuis l'année précédente, beaucoup plus faible, et on pourrait retrouver des chiffres analogues à la grippe, quelques milliers , peut etre 10 à 20 000 décès par an, et en plus plus étalés dans le temps. Bref des décès "supportables", gérables par les services d'urgence, qui ne conduiraient pas à prendre des mesures particulières.
Ils doivent pourtant pas être très vieux à Manaus
Dix secondes pour écrire une bêtise, parfois des heures pour montrer à tous que c'en est une...
Malgré les images terribles de l'épidémie, la mortalité Covid à Manaus est de l'ordre de 0,2%, soit 20 % de la mortalité normale. C'est beaucoup (ça représenterait 130 000 décès en France) mais ça reste une fraction des personnes âgées, même au Brésil. C'est surtout la concentration de ces 20 % sur quelques semaines qui sature complètement les services de santé et augmente la mortalité par manque de soin, mais il est quand meme probable que la population se soit "appauvrie" en victimes potentielles.
Oui mais avec un impact sur l'espérance de vie. L'article explique bien le problème, pour le côté vitesse face aux nouveaux variants il y a cette technique décrite ici https://www.futura-sciences.com/sant...st-nasal-3852/ qui pourrait aussi présenter un intérêt: le prélèvement rectal est simple à réaliser, couplé à une large capacité d'analyse ( investissement dans des appareils dans les pharmacies, mairies ou autres) et une immobilisation dans l'attente du résultat du test serait peut-être envisageable.Il y a une autre manière de terminer les mesures de confinement , meme sans immunité collective (par exemple si ça devient une épidémie saisonnière comme la grippe), c'est que la frange la plus susceptible de mourir ...sera déjà morte. Les années suivantes, on n'aurait plus que la frange qui s'est fragilisée depuis l'année précédente, beaucoup plus faible, et on pourrait retrouver des chiffres analogues à la grippe, quelques milliers , peut etre 10 à 20 000 décès par an, et en plus plus étalés dans le temps. Bref des décès "supportables", gérables par les services d'urgence, qui ne conduiraient pas à prendre des mesures particulières.
Les questions de coût des machines et réactifs peuvent se réfléchir sur le fait qu'une demande à grande échelle réduit les coût de production/fabrication et que l'investissement peut avoir un rôle de sécurité dans le cadre de nouveaux virus?
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Tu est cynique et provocateur, mais je crains que tu ne soies le seul raisonnable dans l' ambiance émotive actuelle......Malgré les images terribles de l'épidémie, la mortalité Covid à Manaus est de l'ordre de 0,2%, soit 20 % de la mortalité normale. C'est beaucoup (ça représenterait 130 000 décès en France) mais ça reste une fraction des personnes âgées, même au Brésil. C'est surtout la concentration de ces 20 % sur quelques semaines qui sature complètement les services de santé et augmente la mortalité par manque de soin, mais il est quand meme probable que la population se soit "appauvrie" en victimes potentielles.
Mais je suppose qu' il est inopportun de discuter ici du sens de la vie, du sens de notre vie à chacun, plus précisément..... et même du sens que nous pouvons donner à la préservation de l' espèce, de la (des) cultures... etc.... ce serait dériver sur de la "philosophie"......
Déjà que la question "peut-on légitimement limiter ou refuser les soins intensifs à certains groupes de malades" est inabordable sereinement........
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
D'ici un an ( pour prendre une valeur ...), ce qui est cynique et dur à ce jour sera devenu raisonnable.
Avec des vaccins dont l'efficacité toute relative ( entre 60% et 95% pour ce qui est réduire les formes symptomatiques - ce qui ne veut pas dire rendre asymptomatique ni non infectieux vis à vis des autres ), plus la notion de variants et la course permanente à faire varier le produit vaccin face aux souches mondiales changeantes, il est impossible de contenir cette saloperie avec la vaccination de 100% de gens ( utopique au niveau monde ) + vie "normale" ( non masquée, non confinée à titre plus ou moins dur ou mou pendant plus ou moins longtemps ).
Si on a de la chance, le covid19 deviendra d'ici 5 ans un coronavirus "rhume" assez bénin.
Si on a moins de bol, celà restera longtemps un super influenza.
On pourra regarder la courbe de l'âge moyen de décès comme les courbes des indices boursiers à l'époque 2008. Un crash rapide, et puis une lente remontée sur 10 ans jusqu'au prochain crash....Peut être que 2019 aura connu son "peak age"
là, dire : impossible, c' est prématuré...... et, pour le moment, relève d' un à-priori pessimiste sans plus de base scientifique que de prétendre que ce sera facile et certain de tout éradiquer..... essayons, et après, on verra bien.....Avec des vaccins dont l'efficacité toute relative ( entre 60% et 95% pour ce qui est réduire les formes symptomatiques - ce qui ne veut pas dire rendre asymptomatique ni non infectieux vis à vis des autres ), plus la notion de variants et la course permanente à faire varier le produit vaccin face aux souches mondiales changeantes, il est impossible de contenir cette saloperie avec la vaccination de 100% de gens ( utopique au niveau monde ) + vie "normale" ( non masquée, non confinée à titre plus ou moins dur ou mou pendant plus ou moins longtemps ).
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)