Encore merci de préciser votre raisonnement, c’est comme ça qu’on avance, indépendamment des bulletins de santé qu’on me distribue gratuitement ici.
La RG attribue à une énergie positive, indépendamment de son origine, et de sa place sur la matrice, un effet de freinage de l’expansion cosmique (j’allais dire de confinement !), et qu’elle déplore d’ailleurs son insuffisance.
Alors, il faut admettre logiquement qu’il faut qu’existe une énergie négative pour expliquer l’accélération de l’expansion.
C’est là qu’intervient la QFT, et son pape Weinberg :
Passons à la page 75/76 de sa « bible » quand il s’intéresse aux opérateurs P et T de sa théorie.
weinberg.pdf
Il est clair qu’il fait, à chaque fois, un choix arbitraire, (et d’ailleurs opposé dans les deux cas), simplement parce qu’il ne peut pas admettre qu’il puisse exister une énergie inférieure à celle du vide, et donc d’énergie négative, hypothèse qu’il juge désastreuse.
Choix que les mathématiques lui auraient permis de faire en sens opposé, ou qu’il aurait pu refuser de faire.
Ce qui contraint évidemment tous ceux qui tentent d’expliquer l’accélération de l’expansion par la QFT, comme Guth, à faire face à un défi impossible à relever : comment introduire des énergies négatives dont on aurait besoin, via des lois physiques qui leur interdisent d'exister ?
On est dans la contradiction pure.
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