Bonjour à toutes et à tous, je viens de m'inscrire.
Je m'appelle Jonathan, et je suis passionné d'ésotérisme, de vulgarisation sur la physique quantique et l'énergie, le "but" de l'Univers, son fonctionnement... & compagnie.
Alors, j'ai écrit un petit pavé histoire de donner un point de vue conceptuel à ma sauce, que je vous partage avec joie:
La science nous apprend que l'Univers est en expansion accélérée, plus les galaxies sont lointaines, plus elles sont grandes (parallaxes) et plus elles s'éloignent vite les unes des autres (décalage vers le rouge). Aussi, plus on regarde loin, plus on regarde vers le passé. Comment des galaxies primordiales, "jeunes" par rapport au Big Bang, pourraient être plus grandes et rapides que nos galaxies proches ? On devrait au contraire voir l'espace-temps passé "compressé" et "ralentit", en prenant une image: si on regarde une ville de très loin, les voitures semblent petites et lentes.. On ne peut simplement pas le concevoir, mais les observations et recoupements scientifiques le prouvent. La vitesse des ondes electromagnétiques, la pierre angulaire de la physique quantique et astrophysique, est constante dans le vide, et témoigne des interactions de particules aux échelles microscopiques de la matière. Les particules qui ont émis les photons d'il y a 13 milliards d'années que nous captons à l'aide de telescopes dans notre présent, durée basé sur la vitesse de la lumière, ont donc les mêmes propriétés que celles qui nous composent. Si nous nous mettons à la place de ces galaxies d'origine, instantanéement, nous nous verrions (avec un bon téléscope HD, quand même) plus grands et plus rapides, dilatés en quelque sorte. Ceci, qu'on se place en n'importe quel point de l'Univers (il n'y a pas de "centre"), l'inflation du Big Bang (la création de notre espace-temps) s'étant produite peu après la longueur et le temps de Planck, et aurait été infiniment plus rapide que la lumière (ce qui viole la théorie de la relativité). Suivant ce qui précède, cela signifierait que l'ère de Planck (la longueur et le temps de Planck) est encore plus "grande et rapide" que les galaxies primordiales dont nous avons parlé... Ainsi, les dimensions quantiques imperceptibles (atomes, particules...) seraient en fait tellement gigantesques que toute la chaîne de notre perception est inversée: les objets qu'on prend pour "gros" (étoiles, galaxies...) sont en réalité minuscules, insignifiantes, alors que les "petits" (protons, electrons...) sont énormes. Et comme ils ont individuellement les mêmes propriétés (pour une même particule, 2 electrons à 10 milliards d'année-lumière de distance ont la même charge, par exemple), je pense que nous voyons à travers notre échelle physique humaine et nos sens, en réalité, partiellement, "de très très très très loin", un seul et même objet unique, qui suivant toujours notre point de vue, se reflète en organisations différentes suivant l'échelle et crée les couches qui composent notre réalité consciente (ex: femto, pico, nano, micro, milli, mètriques, kilomètrique... PS: cela explique la cohérence et la stabilité des systèmes naturels, peu importe leur échelle). Ainsi, l'atome (et par extension "l'objet unique", le "tout" ) n'est pas infiniment petit mais il est infiniment loin, les galaxies ne sont pas infiniment grandes, elles sont le proche reflet du "tout" à notre échelle humaine, ce qu'on peut percevoir et analyser empiriquement de par notre condition humaine. plus on va loin dans l'infiniment "petit", plus les systèmes se complexifient (au point où, actuellement, on ne comprend rien naturellement à la mécanique quantique, que nous avons nous-même développé et qui permet des prodiges technologiques, car on va de plus en plus vers "le tout", en quelque sorte la science est la retro-ingénierie de notre monde. Cependant, il y a le principe d'incertitude qui potentiellement marque une sorte de brouillage de l'information, comme une limite de connaissance intrinsèque à notre condition d'être humain, dans notre dimension. Tout cela à l'aide uniquement de notre cerveau et des mathématiques ! )... À l'inverse, les galaxies, amas, super-amas etc peuvent nous sembler "grossier" dans leur organisation et leurs interactions, régies uniquement par la gravité. La gravité d'ailleurs est la perception macroscopique du "poids" (plutôt de la présence) du tout unique. Les forces quantiques, de puissances croissantes au fur et à mesure que nous allons "loin" dans le microscopique, sont la forme de la gravité aux différentes échelles (et inversement), du "poids" de la "superstructure de l'ère de Planck" (le "tout"). Plus on "descend", plus les niveaux d'energie augmentent, la gravité est "froide" et l'interaction nucléaire est "chaude", et plus on pourrait remonter loin à l'avenir (progrès technologique), plus on découvrirait des forces puissantes, jusqu'au "tout" à l'energie infinie, d'ailleurs, pour sonder la matière suivant E=MC2 dans les accélérateurs, plus on approche c et plus la masse de la matière augmente, plus c'est difficile de les accélérer. C'est parce qu'on les "envoie" vers l'ère de Planck. La lumière (et donc la force electromagnétique directement perceptible par nos sens) est encore une manifestation du "poids" du tout à notre échelle, et comme "c" est constante et est la vitesse limite inatteignable par la matière (sinon, ça requiererait une energie infinie, ce qui est impossible), en tout point de l'Univers, elle est "agit" constamment à l'ère de Planck (là où il y a actuellement, en ce moment, le "tout" omniprésent, je rappelle), comme toutes les autres forces fondamentales d'ailleurs. L'unification est alors simple: le temps n'existe pas en dehors de notre conscience, nous sommes juste dans une dimension qui nous montre un certain point de vue d'un tout infini, et cela se traduit par notre réalité physique. On pourrait presque parler de "pixel de planck", partout à la fois et en même temps, immuable, infini, un seul et unique mais au fur et à mesure que les systèmes se complexifient (en fait, en partant de l'ère de Planck, voir plus haut, les systèmes se simplifient, leur entropie augmente: on voit bien qu'il y a moins d'ordre et de contrainte dans une galaxie lambda, la répartition des étoiles étant aléatoire, que dans un atome d'uranium où chaque "instance" de cet élément est ordonnée selon des caractéristiques précises, qui dépendent elles même des structures sous-jacentes...), il apparaît sous des formes différentes, notre espace-temps "commun" dans notre cas, la matière et l'energie que nous expérimentons au quotidien n'étant que les "gros pâtés de sable d'enfants sur un plage infinie faite d'un grain unique"... C'est bizarre, oui, on ne peut pas le concevoir, ça dépasse nos capacités d'entendement, mais c'est logique car notre pensée est basée sur le temps, on ne peut pas s'en extraire.
Suivant ces principes, comment pourrions nous expliquer le phénomène de trou noir ? Ce serait comme des accélérateurs de particules naturels, à des niveaux d'energie proche voire égale à celle du pixel de Planck: l'espace-temps devient une passerelle directe vers le "tout", où ses composantes tendent vers nul, une "singularité" (parler de lumière qui ne peut pas s'en echapper n'a plus vraiment de sens) qui, si on tend vers les sujets de spiritualité, pourraient s'interpréter comme des "portes" où "nous nous dirigeons" à notre mort pour rencontrer le "grand patron". Et là encore, notre perception physique de l'espace et du temps nous suggère qu'il s'agit d'un voyage de l'âme (enfin, disons une partie du "tout" de nature inconnue, en chacun de nous) ayant une certaine durée, alors que le passage se fait instantanéement, il n'a jamais eu lieu (peu importe la distance qui nous sépare des trous noirs dans notre réalité, juste le fait qu'ils existent, vu que tout est unifié, suffit d'ailleurs à être en mesure conceptuellement d'imaginer une telle possibilité). Hors de notre conscience et de notre monde physique, le passé, le présent et le futur sont déjà là, depuis le Big Bang => Le temps n'existe pas.
Voilà, voilà, ma prose du jour, n'hésitez pas à commenter, même si c'est pour dire que c'est nul à chier!
A bientôt, merci d'avoir tout lu!
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