Si nous admettons que la matière (et ou l'énergie) évolue et se complexifie depuis l'ère de Planck,
quel état ultime "cherche t-elle" à atteindre, et dans quel but final?
Ma vision des choses: La matière atteindra un stade d évolution extrême (à travers une espèce biologique,
une "espèce technologique" bref une entité sous une forme inconnu: en fait, un vecteur pour elle) qui lui permettra de
faire perdurer l'information après "la fin des temps" (big rip, big crunch ou big freeze).
Les singularités nous semblent aujourd'hui les meilleurs ""passages vers d'autre univers"", ou peut être une technologie capable de générer des "trou de vers inter universel"? peu importe la façon, certainement inconcevable pour nous, la nécessité de
"quitter l univers", ou "laisser une trace, une information", se fera ressentir "un jour" par quelque chose...
Bref je pars un peu loin, mais je ne pense pas que tout ce qui se passe depuis le big bang soit voué à ne laisser aucune trace. Une telle débauche d'énergie pour aboutir au néant, sans une quelconque transmission, serait un beau gâchis. Même si j'admet que ma dernière réflexion est peut être anthropomorphique, elle ne l est pas plus que de pensez que la vie existe sur une
autre planète en raison de l'immensité de l'univers.
sous nos cieux ces réflexions sont d ordre philosophiques, mais la science (théorique surtout) a parfois besoin d'inspiration
extérieur,
comme tout système
-----