Bonjour,
J'ai actuellement un soucis avec mon pic 18F45K22, il est vérouiller en écriture, et je ne trouve pas le moyen de le déverrouiller :
pourriez-vous m'aider, sur quel registre agir ou comment faire sauter le code de protection
Cordialement.
malheureusement.....
si le constructeur a mis un cadenas en option sur le PIC , c'est pas pour qu'on puisse l'ouvrir !
Ca voudrait donc dire qu'à la moindre erreur, le pic serait inutilisable :s
disons que SI le bit de protection été activé , c'est irréversible.
cela pour éviter plagiat , piratage , et autres copies...
bien entendu y'a des soluces, mais pas à la porté du bricoleur.
Bah disons que si il y a des solutions, il me faudrait savoir, car ce problème bloque actuellement la dernière phase de notre projet.
Actuellement nous programmons notre pic avec Flowcode et débuguons avec MPLAB ICD 3.
Nous avons beau nous retourner la tête, on ne trouve pas la solution...
cordialement.
j'vois pas en quoi ça peu gêner un projet....
si vous avez protégé le PIC par erreur , vous le jetez , et prenez un neuf.
Parce que le pic est soudé sur la carte finale de notre projet, malheureusement...
Ce pic est en CMS, c'est le seul que nous avons en CMS, donc si nous n'arrivons pas à débugger celui-là, nous sommes bon pour perdre 5 jours de plus....
un µ-cont soudé.... quelle idée ! surtout pour un prototype
t'as plus qu'à dessouder !
Oui grosse erreur de notre part, nous voulions le mettre en traversant au départ, mais une personne à jugé bon de le mettre en CMS pour l'aspect esthétique...Envoyé par PIXEL
un µ-cont soudé.... quelle idée ! surtout pour un prototype
t'as plus qu'à dessouder !
nous avons été surpris par ce vérrouillage... il n'y a vraiment aucunes autres solutions ?
Merci quand même pour vos réponses.
Cordialement
la soluce des "officines " en espionnage industriel consiste à dissoudre le boitier et à brancher,
sous microscope électronique, une sonde sur la partie de ROM ad-hoc pour inhiber la protection.
on est loin de la bidouille de potaches !
Dernière modification par PIXEL ; 05/06/2013 à 14h48.
Bon effectivement pour une classe de BTS ça va être compliquénous n'avons plus qu'a recommender un PIC et déssouder celui là...
Merci,
Cordialement.
et MONTE UN SUPPORT !
Pour un composant en CMS est-ce vraiment possible ? (ou abordable surtout)
Bonjour
Il est dit qu'il est verrouillé en écriture cela m'étonne dans le principe.
Car pour protéger un design on le verrouille en lecture plutot et un programmateur in situ quitte à souder des fils sur le pic et à le relier au pickit 3 devrait être capable de l'effacer et de programmer un autre .hex mais incapable de lire le contenu.
Seule précaution à voir comment est fait le hardware autour du micro car quand il est effacé il se comporte avec des ports en entrées j'imagine auquel cas sauf s'il y a des résistances de tirage ad-hoc bien placées sur le schéma il pourrait y avoir des conflits avec les périphériques autour.
Concernant la lecture de la rom, lorsqu'elle est interdite est l'est pour le programmateur mais l'est elle aussi pour le logiciel ? Ensuite le problème si cela est possible c'est d'y rentrer dedans sous tension en déroutant le pg vers uen routine bien conçue.
Il existe des mini grip que l'on peut brancher sur un composant du style pqfp même au pas de 0.5 mm voire moins, je ne sais plus.
cdlt
Dernière modification par luc_1049 ; 05/06/2013 à 15h03.
J'ai une dernière question bête, il n'y aurait pas moyen de tout effacer (car actuellement il nous est incapable de lire), pour ré-écrire par dessus ?
Cordialement.
possible , mais tout dépend des performance de ton programmateur.
inutile de me dire lequel , contente-toi d'en lire la notice !
Merci de ta réponse, c'est ce que nous trouvions bizarre, c'est qu'il soit vérouiller en écriture.
nous sommes en train de bosser sur le problème là, on va tenté quelque chose et on verra bien.
Merci bien
Tant que nous n'auront pas besoin d'utiliser un microscope électronique, tout reste possible.
Cordialement
je ne sais pas pour les PIC, mais pour d'autres famille de µC, le verrouillage n'empêche que la lecture. En faisant un "mass erase", le µC devrait pouvoir être reprogrammé. Tout ça doit être dans la doc.
A+
Salut,
Beaucoup de commentaires erronés sur ce sujet.
IL EST TOUJOURS POSSIBLE D'EFFACER UN PIC A MEMOIRE FLASH (TOUS LES MODELES)!!!!!
Il est impossible de bricker un PIC.
La protection est UNIQUEMENT une protection contre la RE-LECTURE (pour éviter de se faire copier).
Généralement, il n'y a PAS besoin d'effacer un PIC. Lorsqu'on le re-programme, il est automatiquement EFFACE ...à condition d'utiliser un programmateur original (Pickit3, ICD3, real-ice,...)
Quel programmateur utilises-tu ?
Quelle tension sur ton PIC ?
Schéma ?
a+
NB : il faut toujours programmer le bit LVP = OFF car sinon il faut faire un bulk erase...
Dernière modification par RISC ; 05/06/2013 à 18h57.
Je pensais ça aussi. Malheureusement, dans la doc de son PIC il y a bien un registre permettant de verrouiller l'écriture de chaque bloc de mémoire, en inscrivant un 0 dans le bit correspondant. Les bits en question sont marqué en "clear only", ce qui laisse entendre qu'un retour en arrière n'est peut être pas possible.
Salut,
Peux-tu être plus précis ?
Quelle page de la documentation, quel registre , quel bit(s) ?
a+
Salut,
S'il s'agit des bits CP0 à CP3, dans le registre CONFIG5L, tu fais une erreur d'interprétation : regarde bien au dessus de chaque bit du registre.
Il y a une valeur à droite : 1. C'est la valeur garantie par Microchip quand on efface le PIC (ou au reset pour les registres SFR)....donc tu peux forcer les bits à 0, mais si tu effaces, le bit sera remis à 1. CQFD ;=)
a+
Nous utilisons Flowcode pour programmer et MPLAB en Debug. Le pic est alimenté en 5V.
Notre prof l'a vérouiller en écriture hier, en effectuant une mauvaise manipulation sous MPLAB (une histoire de décalage de registre)
Au final nous avons désoudé le composant, et remplacer par un pic fonctionnel. Mais l'histoire est toujours la même, nous n'avons pas trop le droit à l'erreur :s
évitez de verrouiller .... c'est suicidaire sur un proto en développement.
je suppose que vous ne travaillez pas pour l'armée
