[Electronique de Puissance] Comment calculer et réduire les pertes dans un onduleur ?

[invite3f4d5869]

Salut
J'espere que vous allez bien, j'ai une question en electronique de puissance


Comment calculer puis comment réduire les pertes (dues aux commutations des composants de puissance) dans un onduleur composé de diodes et de transistors type IGBT?
cette onduleur est utilisé dans les alimentations de secours MGE UPS System, il est alimenté en alternatif continu et délivre une tension crénaux par l'intermédiaire d'un bus d'alimentation continu.

Merci pour votre aide.
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[invitee0b658bd]

bonjour,
je ne comprend pas le "alternatif continu" .....
fred

[invite5637435c]

Comment calculer puis comment réduire les pertes (dues aux commutations des composants de puissance) dans un onduleur composé de diodes et de transistors type IGBT?
cette onduleur est utilisé dans les alimentations de secours MGE UPS System, il est alimenté en alternatif continu et délivre une tension crénaux par l'intermédiaire d'un bus d'alimentation continu.

Merci pour votre aide.

Ce genre de pertes se règlent à coup d'oscilloscope, sachant que c'est lors des commutations et des "croisements" courant-tensions, que les fameuses pertes sont les plus importantes.
Il faut accélérer l'un ou retarder l'autre, c'est selon les cas.
Il y a aussi les pertes engendrées par des suroscillations, comme par exemple sur la diode de redressement en sortie et qui induit également des pertes.

Mais sinon c'est quoi le sens de ta question, car si tu penses bricoler ton Merlin-gérin, renonce c'est mieux.

[monnoliv]

N'oublions pas les pertes par conduction aussi.
Dans un onduleur, une des deux commutations s'effectue sans perte (cas de la charge inductive):
Pour fixer les idées, un onduleur triphasé est composé de trois bras de deux interrupteurs (MOSFET, IGBT, Bipolaire,...) chacun. La commutation à la fermeture n'engendre normalement pas de pertes puisque, en supposant la charge inductive (moteur), lors de l'ouverture d'un des deux interrupteurs d'un bras, c'est la diode de roue libre de l'autre qui reprend le courant de charge et donc conduit. Pendant cette conduction (donc à zéro de tension), on ferme l'interrupteur associé -> pas de pertes à la fermeture.
Je crois me souvenir qu'une règle de bonne pratique est de faire du 50-50 entre les pertes par conduction et pertes par commutation. Mais si tu as d'autres infos Hulk...

[A voir en vidéo sur Futura]

[invitef87b7d1f]

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Pour fixer les idées, un onduleur triphasé est composé de trois bras de deux interrupteurs (MOSFET, IGBT, Bipolaire,...) chacun. La commutation à la fermeture n'engendre normalement pas de pertes puisque, en supposant la charge inductive (moteur), lors de l'ouverture d'un des deux interrupteurs d'un bras, c'est la diode de roue libre de l'autre qui reprend le courant de charge et donc conduit. Pendant cette conduction (donc à zéro de tension), on ferme l'interrupteur associé -> pas de pertes à la fermeture.
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Salut,
Ca, je connais bien de vue avec des QM300..... dans les variateurs de vitesse pour moteurs ( V3F)
Quant ça pète, ça fait un bruit !!!
@+