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oubli
Donc vous n'êtes pas d'accord.
Salut
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oubli
Donc vous n'êtes pas d'accord.
Salut
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Tu sais, une discussion sur les abeilles n'est pas inintéressante en soit mais si tu ne nous dit pas de quoi traite les liens un peu plus en détail il n'est pas très intéressant de s'y intéressé plus que ça...
peut-être devrait tu nous dire pourquoi la situation des abeilles est problématique,
pourquoi es-ce important de s'en inquiété
les liens ( a mon avis ) servent généralement plus à compléter une information pour quelqu'un qui s'intéresse au sujet ou encore à donné une source pour un argument.
Je vais donc t'aidé à lancé une discussion plus soutenu en te posant 2 question (ne répond pas en me donnant un lien à lire )
Qu'es-ce qu'elle ont les abeilles ?
Pourquoi es-ce qu'il faut qu'on s'en préocupe ?
@ yog : EDIT: @quisit, est-ce que tu peux indiquer une date butoir pour ta décision?
j'allais la donner quand j'ai lu le Post de cadors, wait and see pour la réponse de httchristian
Je ne comprends rien à cette discussion abscons où les abeilles me disent merci, où l'affaiblissement des abeilles ne me pose pas d'effet...
C'est pas vraiment clair tout cela. Alors bien entendu de cette perspective on pourrait se dire qu'un discours serait encore plus obscure que la suite de lien.
Reste que Christian doit bien avoir les moyens de formaliser sa pensée et de nous la transmettre. Pourquoi ne le fait il pas? Mystère.
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Bonsoir,
Elles ne prospèrent plus normalement sur la planète.Qu'es-ce qu'elle ont les abeilles ?
Y a t’il un avenir sans elles, sans pollinisateurs ?Pourquoi es-ce qu'il faut qu'on s'en préocupe ?
Une biodiversité pollinisatrice décline. On connaît beaucoup de multiples facteurs mais rien n’y fait, on en produit d’autres facteurs néfastes.
L’apiculture professionnelle va vers le trépas. Certain pouvoir essai de l’accommoder à la sauce agricole subventionnée. Rien n’y fera de produire sans rien en recevoir de l’abeille. L'apiculture n'est plus.
merçi pour vos questions.
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ci le nombre d'abeille décline la biodiversité pollinisatrice ne devrait pas tendre à augmenté ? car il n'y a pas que les abeilles qui serve de pollinisateur, par ailleur je ne comprend pas trop le reste de la phrase ...Une biodiversité pollinisatrice décline. On connaît beaucoup de multiples facteurs mais rien n’y fait, on en produit d’autres facteurs néfastes.
quel son tles facteurs qui font qu'elles ne prospère plus normalement?
Et que peut-on y faire ?
bonjour
Une bonne petite recherche sur google avec les mots "abeille inra" et tu auras les réponses aux questions que tu te poses !
Marc
J'délire ou je suis vraiment bête !!! Vous avez vraiment du temps à perdre...
J'aime bien les abeilles et surtout leur miel (Slurp!!!) et je m'inquiète pour elles, mais franchement lire tous les liens de Christian... ça m'ennuie d'avance.
J'aurais préféré un bref résumé de la situation et des questions claires sur lesquelles ont pourrait donner un avis, bref, une discussion entre adultes, mais là j'abandonne! Tant pis pour les abeilles et pour Christian (tu vois Christian, tu n'atteinds pas ton but avec ton attitude... tu devrais te remettre en question; avec tout le respect que je te dois).
A bientôt.
Merci de ton support Chan-Chan, pour ce qui est de Marc_Bergé j'imagine que tu comprends maintenant pourquoi je "demandais" de l'info, comme ce n'est pas moi qui ait amené le sujet alors je vois pas pourquoi je devrais me tappé une recherche sans qu'on m'ait un peu parlé du sujet... cette histoire d'abeille m'intéresse ... un peu ... mais pas au point de me lancé dans une recherche d'info sur le sujet ce qui est un peu l'idée du forum non ? amené les gens a s'intéressé a des sujets en créant des discussions ...
pour ce qui est de Christian je crois quand même que nous étions sur la bonne voie, nous avions un début de discussion je crois ... alors je reviendrai avec ma question :
Quel sont les facteurs qui font que les abeilles ne prospère plus ?
- la diminution de la diversité des pollens et plantes
- l'utilisation importante de pesticides
- un effet de concentration des pesticides et phytos?
- l'épizootie de varoa (parasite)
- compétition et pillage par d'autres insectes (y compris des abeilles agressives), mais ça c'est un mécanisme normal
- le pillage de miel ou de colonie, et le manque d'hygiène de certains apiculteurs envers les ruches (un bon moyen pour flinguer une colonie)
- la cohabitation de plus en plus difficile avec les gens. S'il y a une ruche pas loin, l'abeille est souvent un accusé facile. L'attitude de beaucoup de gens envers une abeille ou une ruche favorise la piqure. Une fois l'abeille sur le banc des accusés , c'est le plus souvent l'apiculteur qui doit plier bagage (surtout que le vandalisme est facile) => raréfaction progressive des zones où un apiculteur peut implanter ses ruches
J'en oublie sûrement. En principe, c'est un insecte plutôt résistant et considéré parmi les vecteurs les plus importants de la pollinisation. Au point que certains apiculteurs pro aux US font de la pollinisation au lieu de vivre des récoltes de miel et de l'élevage de colonies.
éco-rénovation: l'aïkido du BTP
L'article du Figaro cité en début de fil résumait une enquête de l'AFSSA:Les accusations contre le Gaucho et le Régent qui avaient amené leur interdiction, très médiatisée, ne sont toujours pas confirmées. Ce lynchage médiatique contre des coupables désignés d'avance n'a pas aidé le travail scientifique, comme le montre l'entartage de JP Faucon le responsable de l'étude. Marion Guillou, directrice de l'INRA l'a rappelé dans une interview:Acarien parasite
L'enquête de l'Afssa a été menée dans cinq départements (Eure, Gard, Gers, Indre et Yonne). Elle a porté sur cinq colonies choisies au hasard dans cinq ruchers. Les colonies ont été visitées quatre fois dans l'année. La Coordination apicole avait refusé de participer à cette enquête. Elle estimait en effet que, pour elle, la seule chose à faire était d'interdire ces deux produits. C'est donc dans un contexte très conflictuel que s'est déroulé ce travail. Jean-Paul Faucon s'est fait entarter par des apiculteurs, l'accusant de complicité avec les industriels (Bayer et BASF).
L'enquête de l'Afssa révèle notamment que dans les cinq dépar*tements, les différentes « matrices » (miel, cire, pollen) sont contaminées à faible dose par les produits phytosanitaires agricoles (imidaclopride, fipronil, endosulfan, deltaméthrine, parathion-méthyl et d'autres). Elles sont contaminées aussi par des résidus de substances (coumaphos et fluvalinate) utilisées par les apiculteurs pour lutter contre les maladies causées par le varroa, un acarien parasite qui a envahi les ruches du monde entier à partir des années 1990. Un seul cas de mortalité due à une toxicité aiguë a été constaté, les analyses ayant révélé après coup la présence d'endosuflan et de fluvalinate dans les abeilles mortes.
« Nous avons constaté plusieurs pratiques apicoles inadaptées. Parmi celles-ci, l'utilisation de produits non homologués pour le traitement de la varroase », note l'équipe de l'Afssa. Celle-ci a d'ailleurs noté au cours des trois ans qu'a duré l'enquête une amélioration du suivi sanitaire des abeilles. Une observation à mettre en parallèle avec le manque de formation de certains apiculteurs, régulièrement dénoncé par le SPMF (Syndicat des producteurs de miel français).
Le dernier volet de l'enquête concerne le fait que, en raison de l'uniformisation des paysages agricoles, certaines colonies manquent de nourriture (de nectar mais surtout du pollen qui apporte les protéines nécessaires au développement des jeunes larves). « Les anomalies concernant l'alimentation des abeilles, qui ont été suspectées en raison de la situation de certains ruchers, ont pu avoir des conséquences sur la santé des colonies », avancent les chercheurs de l'Afssa. Dans ce contexte de disette de fleurs sauvages, certains apiculteurs explorent d'ailleurs la possibilité de nourrir les abeilles grâce à des jachères fleuries. Une initiative qui en dit long sur les changements apportés par l'agriculture intensive.
« Je crois que l’histoire nous dira que l’affaire du Gaucho a été un peu manipulée. Je ne suis pas sûre que les syndicats d’apiculteurs à l’origine des contestations aient eu des pratiques professionnelles totalement transparentes. Je pense notamment à l’usage de certains médicaments, ainsi qu’à l’importation de reines, qui ont compromis l’équilibre génétique des abeilles. Au total, je crois que la mortalité des abeilles a eu des causes multifactorielles. Malheureusement, on a camouflé la complexité de la question en polarisant sur le Gaucho. Qui est sans doute une cause, mais modérée par rapport à d’autres. Nous n’avons pas pu aller au bout des études en France, car il y avait des gens qui défendaient une thèse. Et la thèse, c’est que le Gaucho était le grand responsable. [...] Nous avons lancé une enquête auprès des services vétérinaires pour connaître la mortalité des ruches. Et il a été impossible d’obtenir des chiffres sur cette mortalité, qui nous auraient renseignés sur les liens entre cette dernière et l’emploi du Gaucho. Les apiculteurs ont refusé de répondre aux demandes des services vétérinaires. »