D'importants défis technologiques attendent ITER
" (...) Il faut une singulière dose d'optimisme pour imaginer que l'utilisation industrielle de la fusion mettra moins de cinquante ans pour être disponible", estime le physicien Edouard Brézin, président de l'Académie des sciences (...) " L'épuisement des ressources fossiles et surtout le réchauffement climatique sont des problèmes urgents. Les mesures à prendre sont immédiates et ITER ne doit surtout pas servir d'alibi (...)"
Plus radical, l'ancien ministre de la recherche Claude Allègre réprouve, dans L'Express, un "projet de prestige" qui "offre peu de chances de réussite". Pierre-Gilles de Gennes, Prix Nobel de physique 1991, partage le même sentiment. Son collègue japonais Masatoshi Koshiba, Prix nobel de physique 2002, dont le pays a pourtant bataillé pour obtenir ITER, a lui aussi exprimé publiquement ses réserves (...) "
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