Les systèmes dits de 2°génération ne représentent qu'une
étape vers
quelque chose de beaucoup plus ambitieux : la synthèse de
la téléphonie,
du multimédia et d'internet dans un concept de télévision
interactive
universelle, outil fabuleux pour le contrôle social du XXI
ème siècle.
Les réseaux de 3° génération nous font franchir un pas de
plus :
Aujourd'hui, l'utilisateur itinérant doit souscrire
plusieurs
abonnements (GSM, IS-95, IS-136, PDC) même si le GSM se
trouve un peu
partout dans le monde. L'umts met en place une norme
commune permettant
d'utiliser le même téléphone et le même ordinateur sur
toute la planète.
Aujourd'hui, le GSM travaille à 9,6 kbps, l'umts
travaillera en 144 kbps
en macrocellule, en 384 kbps en microcellule et en 2 Mbps en
picocellule. Ces hauts débits sont nécessaires pour le
multimédia.
Dans les picocellules, l'umts sera en partenariat avec la
boucle locale
radio et bluetooth qui visent à supprimer les liaison
filaires
(ordinateurs, téléphones « fixes », appareils médicaux,
visioconférence
etc... »
Tout serait pour le mieux dans le meilleur des mondes si
les effets
pathogènes des hyperfréquences n'existaient pas... cette
évolution
laisse craindre en effet les pires problèmes de santé.
On connaît les effets du GSM liés à la pénétration des
basses fréquences
(4 Hz, 8 Hz, 217 Hz... et nombreuses harmoniques) dans
l'organisme. Les
technologies 3 G ne résolvent pas ce problème :
Les porteuses de la troisième génération : 2200 MHz (umts),
2400 MHz
(bluetooth), 3400 MHz (boucle locale) pénètrent
pratiquement autant que
les porteuses du GSM dans la matière vivante et les deux
premières
mettent les molécules d'eau en rotation rapide ce qui peut
provoquer des
effets encore inconnus. Seules les porteuses à 26-28 et 32
Ghz (boucle
locale) pénètrent effectivement moins.
Les pulsations (basses fréquences de modulation du signal)
sont
présentes en 3G :
Le CDMA (partage par code de l'umts) donne notamment des
trames de 20 ms
ce qui soumettra l'ensemble de la population à la
pénétration massive
du 50 Hz connue actuellement des seuls riverains des
lignes THT
d'Europe. Outre le 50 Hz, l'umts produit une très grande
gamme de basses
fréquences comparable par sa richesse à celle du GSM.
Les sauts de fréquences (basculement permanent de
bluetooth) amènent
toute une gamme de pulsations et il en est de même des
transmissions de
paquets par la boucle locale.
Tant que les biologistes ne participeront pas à
l'élaboration des
normes, on aura à craindre de graves problèmes de santé
causés par ces
technologies.
Amitiés
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