Développer les potentialités de l'eau
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Développer les potentialités de l'eau



  1. #1
    jeandb

    Expérience de gestion globale de l'eau



    Depuis 15 ans les biefs du pilat représentent une petite vitrine pour interpeler les esprits en proposant une solution de gestion globale de l'eau dont les retombées permettent de résoudre de nombreux problèmes dûs à la mauvaise répartition de l'eau.

    L'art de la répartition de l'eau est le chaînon manquant des problèmes qui font l'objet de nombreux colloques depuis 40ans.....
    (Developpement durable , modification climatique et effet de serre, énergies alternatives ,rapport nord/sud ...etc)

    Malgré le fait que 4/5ème de la surface de la terre soient recouverts de 4km d'épaisseur d'eau et malgrè le travail du soleil qui l'évapore et la transporte sur les continents , il y a des gens qui pensent qu'on va manquer d'eau....

    Evidement, le déboisement , l'imperméabilisation des sols , la surexploitation des nappes phréatiques ont tendance à favoriser les écoulements superficiels et réduire le rechargement des nappes souterraines..

    Les activités humaines créent de la chaleur qui augmente la température de l'atmosphère ...Mais est-ce vraiment grave? Et de toutes façons , même sans gaz à effet de serre et uniquement avec des énergies propres et renouvelables , le phénomène de l'augmentation de température va continuer....

    On ne parle pas assez de l'incidence de la surexploitation des nappes phréatiques sur les climats . Ce phénomène sous-estimé contient la clé du problème....

    Les pays des zones arides de la planète ne peuvent plus se contenter de pomper dans les réserves profondes de quoi satisfaire la demande de l'explosion démographique ou de l'agriculture au soleil.

    La technique de la gestion globale de l'eau consiste à répartir l'eau sur chaque bassin versant grâce à un réseau de biefs qui prélèvent latéralement sur les ruisseaux les excédents des ruissellements afin de les infiltrer dans le sol.
    Les effets de ce procédé ne sont pas seulement de retarder l'eau à travers un long parcours souterrain pour permettre de lutter contre les inondations .
    Cela permet des recharger les réserves souterraines en purifiant et en enrichissant l'eau.
    Dans le domaine des énergies renouvelables ,ce transport d'eau économique à travers le paysage permet d'élargir le champ d'application de la microhydraulique sans avoir à construire de barrages sur les cours d'eau.
    Les apports dans l'agriculture bio et autres permet de mettre l'eau au centre des préoccupations de l'aménagement du territoire.
    Tourisme, chasse , pêche , désertification , incendies de forêts, chômage, délinquance, etc , etc ... sont autant de domaines concernés.

    L'avenir est donc à la gestion globale de l'eau ....
    ####

    Faites le savoir....

    MESSAGE DE LA MODERATION

    Votre second message posté dans la rubrique catastrophe naturelle a été effacé. Merci de ne aps poster deux fois le même message dans des rubriques différentes du forum.

    Yoyo
    Responsable du forum

    -----
    Dernière modification par Yoghourt ; 28/03/2007 à 09h51. Motif: A force de de faire de l'autopub, ça devient du spam...

  2. #2
    kinette

    Bonjour,
    Je viens de regarder la page de l'association et globalement le projet me semble intéressant et positif.
    De plus l'aspect culturel est intéressant quand il s'agit de restaurer des biefs laissés à l'abandon.
    L'électricité issue de minicentrales hydroélectriques est une fçon alternative intéressante, et je pense que restaurer d'anciens biefs pour pallier aux problèmes de crues est certainement une solution écologiquement plus acceptable que la création de grand barrages dits "écrêteurs de crue" (je connais un site sur la rivière Allier où le projet d'un tel barrage va détruire un site biologiquement très riche ), barrages d'une esthétique très douteuse et aux conséquences écologiques néfastes (à mon avis...).

    Toutefois il faut toujours garder une certaine mesure, et généraliser les microbarrages sur tout un réseau hydraulique n'est à mon avis pas une bonne chose: en procédant ainsi, on modifie bien sûr les milieux naturels. On crée de milieux qui ne sont pas biologiquement inintéressant mais on supprime aussi les milieux de cours d'eau plus rapides, on favorise la stagnation de l'eau...
    Des études ont été faites sur l'impact de la multiplication de la création de petits étangs (subventionnés, crés par des particuliers pour l'irrigation, les loisirs...) sur les cours d'eau... résultat négatifs pour les écosystèmes des ruisseaux alimentant ces étangs, car les étang changeaient le régime naturel des eaux et favoriasaient aussi l'eutrophisation (accumulation de matière organique dedans, plus faible oxygénation...).

    K.
    Nomina si nescis, perit et cognito rerum.

  3. #3
    jeandb

    Merci de votre avis positif sur les biefs.....

    En effet , la prise latérale de l'eau sur la rivière ne modifie pas le cours d'eau.Vous pouvez trouver le plan de cet ouvrage sur le site des biefs du Pilat où vous pourrez voir le principe simple qui laisse la priorité aux poissons avant l'alimentation des biefs.

    Par contre pour mieux gérer l'ensemble de l'eau il serait possible de faire des retenues d'eau sur le parcours du biefs, là où la topographie permet de faire une réserve assez plate et endehors des cours d'eau . Ce volume d'eau peut être temporaire où permanent (avec minimum et affectée à plusieurs utilisations telle que l'énergie hydraulique, réserve incendié ou alimentation de biefs audelà qui tranferent l'eau dans le sol pendant un temps plus long)

    Merci de faire passer le message du principe de gestion globale de l'eau par les biefs .

  4. #4
    kinette

    Bonjour,
    Merci pour les précisions sur les biefs.
    Effectivement s'ils sont plus des rérivations partielles des cours d'eau que des barrages de ces mêmes cours d'eau, le problème de la modification des milieux naturels se pose moins. C'est notament quelque chose de très positif pour le passage des poissons (migrateurs ou non).

    Parler de biefs m'évoque aussi d'agréables souvenirs de vallées humides avec de vieux moulins, le calme, le passage de l'éclair bleu d'un martin-pêcheur, la découverte de chauves-souris hibernant dans le four d'un moulin à l'abandon...
    Pour une fois qu'on peut parler de gestion de l'environnement en ajoutant en plus un aspect patrimonial et poétique à la chose et pas seulement économique
    C'est la même chose pour ce qui concerne l'entretien des haies (appelées bouchures, traces... etc... selon les régions)... mais à ceci on préfère hélas trop souvent les "grand moyens" c'est-à-dire le bétonnage, les barrages, les digues...

    K.
    Nomina si nescis, perit et cognito rerum.

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    Cécile

    Petite question qui me vient tout de suite à l'esprit sur ces biefs : quel entretien est nécessaire ? Les collectivités concernées ont-elles les moyens de payer les gens nécessaires pour cet entretien ?

  7. #6
    jeandb

    Encore merci de poser des questions sur le biefs et de comprendre que c'est une "technique douce"......en harmonie avec la nature.
    Pour ce qui concerne l'entretien , c'est peu si on considère en unité heure/Km/an.
    Il est évident qu'un ouvrage à ciel ouvert comme un bief nécessite une présence qui peut cumuler l'aspect technique hydraulique ( mesure et réglage de débits ) avec une intervention d'entretien léger qui est à inclure dans des emploi permanents et gestion des données sur ordinateur .Un emploi peut être affecté à plusieurs centaines de km de biefs.A cela il faut y ajouter des heures saisonnières pour coupe de végétation , restauration de passages de chemin ,etc qui peuvent être prie dans le cadre de chantiers ( jeunes , vieux , étudiant en stage , récupération de point pour permi de conduire etc...)

    Les biefs du Pilat étant une expérience de biefs réalisés en 1985 à 1992 et entretenus depuis, ils ont un caractère spécial . Il n'y a pas de chemin de visite pour circuler rapidement en VTT par exemple( accés dangereux sur pente forte ). Le temps d'entretien est plus long . L'outillage est également plus léger et donc moins efficace.
    Mais pour une application plus généralisée d'un système bief , le paramètre temps d'entretien serait minime et si on le compare au temps d'intervention des catastrophes naturelles , le bilan est largement positif pas km².

  8. #7
    Yoyo

    Bonjour,

    Bon d'accord tu dis que le bilan est super positif comparer aux couts engendres par une catastrophe naturelle... ok seulement ton discours a part nous dire "c'est super et c'est l'avenir" il ne nous donne aucune information chiffrée, ni sur le cout d'entretiens!

    Yoyo

  9. #8
    kinette

    Hello,
    Je pense qu'hélas le problèmes pour les choix environnementaux est un peu là: l'évaluation des coûts/bénéfices.
    Or généralement les grands "économistes" qui vont considérer l'avantage d'un barrage par rapport à l'entretien de haies de fossés, etc... va simplement calculer le coût de la construction du barrage (béton, main d'oeuvre...) et le comparer au coût de la solution alternative (quand ce genre de comparaison est fait... parce que souvent on tient plus compte de l'intérêt de faire bosser telle entreprise, sans parler des éventuels pots de vin... à moins que ce ne soit qu'une légende ).
    Or on néglige les retombée annexes:
    - pollution, ruissèlement et érosion, innondations, problèmes d'accumulation des limons, eutrophisation, etc...
    - gîtes pour le gibier, pour le poisson, sites de reproduction des espèces auxiliaires, intérêt patrimonial, tourisme, bois de chauffe, etc..

    K.
    Nomina si nescis, perit et cognito rerum.

  10. #9
    jeandb

    Un emploi pour entretenir 500km de biefs/an.

    Cela représente la longueur des biefs necessaires pour un bassin versant d'une rivière et ses affluents sur 500 km²

    Dans un groupement de communes de 80000 hab sur une surface équivalente,il y a beaucoup plus d'emplois de professeurs de danse , de handball , de cantonniers , etc

    Donc les biefs peuvent créer des emplois ( c'est pas un mal ) et même si un doublait l'effectif nécessaire ce serait mieux de s'occuper de la nature que de jouer aux gendarmes et aux voleurs en ville ( avec armes lourdes pour casser les prisons )

  11. #10
    Yoyo

    Citation Envoyé par jeandb
    Un emploi pour entretenir 500km de biefs/an.

    Cela représente la longueur des biefs necessaires pour un bassin versant d'une rivière et ses affluents sur 500 km²
    Ca resprésente quelle quantité d'eau?

    Citation Envoyé par jeandb
    Dans un groupement de communes de 80000 hab sur une surface équivalente,il y a beaucoup plus d'emplois de professeurs de danse , de handball , de cantonniers , etc
    Et alors? tu veux reconvertir les profs de danse pour entretenir les biefs? tant qu'on y est y'a aussi beaucoup d'agents de police, de medecins, de buralistes, d'eboueurs de restaurateurs... enfin tout ca pour dire que ta comparaison n'apporte pas grand chose!

    Citation Envoyé par jeandb
    Donc les biefs peuvent créer des emplois ( c'est pas un mal ) et même si un doublait l'effectif nécessaire ce serait mieux de s'occuper de la nature que de jouer aux gendarmes et aux voleurs en ville ( avec armes lourdes pour casser les prisons )
    t'as pas l'impression de faire des comparaisons qui n'ont rien a voir?

    A mon humble avis pour gerer l'eau, il faudrait deja commencer par eviter de la gaspiller.

    Yoyo

  12. #11
    John78

    Bonjour

    Autant le dire tout de suite je n'arrive pas a être convaincu.

    Au niveau des nappes phréatiques, on ne peut plus dire que leurs tarrissement soit encore un problème. Les années pluvieuses ont remédié à ce problème, voire comme dans la Somme se sont trop remplies (inondations).

    Au niveau des débits. Si comme pour le bassin de la Seine on est a peine arrivé à écretter les crues classiques avec des surfaces de réservoir absolument énorme (pas loin de 15000ha) je ne peux pas imaginer qu'avec des rigoles comme vous le montrez on puisse arriver à ralentir ou écréter quoi que se soit ! Sur les épisodes de crues type Cévenol (rapide et brutal) là aussi j'ai un doute vu les précipitations et les niveaux de pentes. Pire le type de bief présenté contribue lors des périodes séches à diminuer encore le débit. Lors des été très sec celà peut avoir de grave conséquences écologiques. C'est d'ailleurs le gros gros problème des micro-centrales.

    Au niveau de la production hydroelectrique je ne suis pas du tout connaisseur mais comme Yoyo, j'attends de voir des chiffres. Ca va en faire des cables et des installations à monter pour chaque rigole !

    Ceci dit je ne prétends pas détenir la solution miracle pour une meilleure gestion des flux hydriques, je suis persuadé que localement, à très petite échelle, votre solution peut apporter un plus. Mais je ne suis pas du tout convaincu de son interet général. C'était le sens de ma contrib.

    A+
    John

  13. #12
    jeandb

    Un Bassin versant de 500 km peut donner un excédent de 150.000.000 M3/ans .Compte tenu de la configuration topographique si on met un réseau de bief d'intérêt général complémentaire aux écoulement naturels tous les 200 m en altitude , on peut compter 20.000.000 M3 d'eau qui passeraient par le trajet biefs et les bassins tampons . Au fils des années on peut faire évoluer le système à la hausse si les possibilités hydrauliques le permettent en élargissant certains tronçons de biefs et en ajoutant des bassins.

    Question comparaison d'emplois , je veux dire que dans une société qui se respecte les impôts doivent d'abord servir à créer des emplois qui touchent les activités urgentes ,et vitales plutôt que futiles et secondaires. Je ne vois pas pourquoi je devrais payer des impôts pour le terrain de pétanque ou de tennis. Les activités futiles doivent être subventionnées par le domaine privé.

    Pour ce qui est des années de sècheresse et des années pluvieuses , il faut pas croire qu' une période de pluie remplit les nappes phréatiques.
    Dans le sol l'eau circule lentement et une inondation en surface ne signifie pas qu'en profondeur tous les espaces souterrains sous saturés.
    Plus on va vers le sud , plus les nappes phréatiques sont surexploitées , c'est à dire que la pluviosité n'est plus capable de compenser les volumes d'eau pompés.L'augmentation de température des sols repousse les nuages qui vont tomber ailleurs , là où il pleut déjà trop...

    C'est pour cette raison que la technique des biefs doit se développer partout c'est à dire même là où on attend pas forcément des retombées locales.
    ####
    Dernière modification par Yoghourt ; 28/03/2007 à 09h53. Motif: A force de de faire de l'autopub, ça devient du spam...

  14. #13
    Tesla

    Très bonne initiative!

    Bravo à toute l'équipe!
    En plus le site est sympa et agréable à lire.

    Tesla

  15. #14
    jeandb

    Re : Développer les potentialités de l'eau

    Cela fait un certain temps que je ne suis pas passé sur ce forum.
    Devant une certaine indifférence ( voir plus) des organismes francais sur le projet des biefs, je continue mon chemin pour promouvoir l'idée des biefs c'est à dire le concept de la gestion globale de l'eau.

    J'ai été invité en Slovaquie par une NGO "People and Water " à rencontrer quelques experts européens qui partagent mes idées sur la relation "eau et climat" en minimisant le co2 mais en mettant plus d'importance sur l'assèchement direct des sols et des réserves d'eau souterraine.

    En aout 2008 nous sommes allés ensemble à l'exposition internationale 2008 de Zaragoza pour exposer devant des experts le concept de la gestion globale de l'eau . L'NGO People and Water est solliciter dans le monde entier pour promouvoir "Water to recover the climat" .

    Pendant ce temps en France certains font des grenelles de l'environnement dont il ne sort rien .

  16. #15
    Prune37

    Re : Développer les potentialités de l'eau

    Bonjour,
    Pourquoi dire que les cours d'eau donnent des excédents ("Un Bassin versant de 500 km peut donner un excédent de 150.000.000 M3/ans"). Les phénomènes de crue sont naturels et nécessaires pour l'équilibre du cours d'eau: transport sédimentaire (crue morphogène), inondation de plaines alluviales (vital pour la reproduction de certaines espèces (poissons, insectes...) mais aussi pour le maintien de certain type de milieu pour la flore)...

    Les nappes souterraines possèdent, pour la plupart, des aires de recharge: à ce moment là pourquoi ne pas tenter de localiser ces zones pour y favoriser l'infiltration. J'ai l'impression que les biefs ne participent qu'à la recharge de la nappe d'accompagnement du cours d'eau, qui peut souvent retrouver un fonctionnement naturel "simplement" en redonnant toutes ses fonctionnalités au cours d'eau.

    John 78: je ne pense sincèrement que dans la plupart des régions françaises, les nappes sont en déficit hydrique.

  17. #16
    streshydrique

    Re : Développer les potentialités de l'eau

    Bonjour,

    Deja, premiere remarque, le bassin versant est une surface donc l'unité est le km2.

    Il faudrait deja se poser les question sur l'origine des crues, les crues sont plus fortes pour plusieurs raison; impermeabilité des sols (urbanisme), assechement des zones humides, endigement des cours d'eau, drainage...qui accelerent la vitesse d'ecoulement.

    J'ai quand meme des doutes sur l'efficacité de ce type de projet, mais ce ne sont que des doutes, car il faudrait une etude hydraugeologique pour dederminer l'eau ateignant la nappe (domage que le partenariat n'ai pas aboutit)

    En zone montagneuse l'epaisseur de sol est mince et il y a de la pente favorisant l'ecoulement hypodermique (ecoulement a la surface de la roche), ils faudrait donc determiner la permeabilité de la roche pour savoir sur quelle distance d'ecoulement hypodermique l'eau peut s'ecouler dans la nappe, il est evidant qu'une bonne partie de l'eau du debut du bief repasse avec un retard dans la riviere sans passer par la nappe.

    bon avec 5l/s il en faudrait un paquet de biefs pour que cela ait une influance sur les crues, prenons un exemple, derniere crue de l'allier en 2003, 970 m3/s a la vielle brioude!!! et cela fait 150 ans que l'on a pas eut de crue centenale (2500 m3/s en 1866 a la vielle brioude), en plus en periode de crue, il pleut (intensement), ce qui diminue la capacité d'infiltration vers les nappe par les biefs.

    Bon on a les barages ecreteur qui diminue un peu les crue mais aussi (chose moins connue) les deversoir de crue. il y en a un au bec d'allier (point de convergence entre l'allier et la loire), l'eau se deverse a partir d'un certain debits dans des grand casier dans l'ancien lit majeur, ils y a des habitations dans ces casiers, tampis pour elles!!! je ne me rapelle plus leurs capacités de stockage.

    Je pense ainsi que ces biefs peuvent avoir une influance en etiage mais pas pour les crues...

    Ce n'est pas pour vous decourager, cela doit etre interessant a faire...

    Bien a vous
    cycle eaux

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