Ha et pourquoi cela ?et cerntainement pas Nietzsche lol !
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Ha et pourquoi cela ?et cerntainement pas Nietzsche lol !
Qu'est-ce donc que la vérité ? Une multitude mouvante de métaphores, de métonymies, d'anthropomorphismes, bref, une somme de relations humaines qui ont été poétiquement et rhétoriquement faussées, transposées, ornées, et qui, après un long usage, semblent à un peuple fermes, canoniales et contraignantes. Les vérités sont les illusions dont on a oublié qu'elles le sont, des métaphores qui ont été usées et qui ont perdu leur force sensible, des pièces de monnaie qui ont perdu leur empreinte et qui entrent dès lors en considération, non plus comme pièces de monnaie, mais comme métal.
C’est ainsi que Nietzsche conclue son exposé sur la vérité.
Le caractère de cette conclusion peut passer inaperçu.
Cette conclusion ne s’appuie pas sur la seule critique de la langue, qui n’est qu’un cheminement permettant d’aboutir à une autre critique, appuyée, elle, sur l’emploi de métaphores, de métonymies, d’anthropomorphismes, de relations et d’usages.
Ce n’est pas la langue en soi, ni son utilisation, qui est donc visée par Nietzsche, en fin de compte, mais l’utilisation de ce qu’on pourrait appeler une méta-langue, c’est-à-dire d’un élément dépassant et englobant la langue en tant qu’objet.
Ce que Nietzsche affirme donc, c’est que les métaphores, métonymies, anthropomorphismes, relations et usages s’installent si bien dans notre monde qu’on leur accorde facilement le pouvoir de dévoiler la vérité, même, et surtout, si cela est illusoire et que l’objectif visé par la méta-langue est raté. Nous ne savons rien de la vérité mais nous ne pouvons pas nous empêcher d’être complaisant envers l’illusion de la connaître.
Très cordialement,
Emmanuel-Victor
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si d'un coté, l'on ne peux qu'etre qu'admiratif devant sa resolution de son propre parradoxe (cf barbier)Envoyé par wikipédia bertrand russell
En philosophie, Russell apporta de nombreuses nouveautés en métaphysique, en épistémologie, en éthique et en Histoire de la philosophie. Il utilisa la logique pour tenter de clarifier les problèmes philosophiques, ce qui en fait l'un des fondateurs de la philosophie analytique. Mais son problème fondamental fut surtout de découvrir si l'Homme est capable de connaître quelque chose : « Existe-t-il au monde une connaissance dont la certitude soit telle qu'aucun Homme raisonnable ne puisse la mettre en doute ? » (Problèmes de philosophie, §1)
étonament, l'on peux tout de même etre perplexe devant cet énoncé, ou il aurait fallut a russel peut-etre de poser la question "peux t-on douter du doute" puis d'appliquer sa résolution des problème auto-itératif, pour obtenir la réponse a sa question.. le doute est horsde doute, et constitue bien un, ou le fondement a toute philosophie.. le fait que le doute au travers du language ne saurait-etre un argument valide, car l'on peu très douter sans toutefois verbalisé, quelques chose. le doute etant de prime-abord une intuition logique a propos de la validité de quelquechose.. celui-ci est deja contenu dans l'etonement philosophique. dans la prise de conscience de ce quelquechose qui cloche
de fait si pour russel cette "connaissance" indubitable reste a l'état de questionement, l'on peux par là aussi douter assez facilement que le reste soit à l'avenenant, bien que ceci mérite d'etre lu..
Le fait de dire "mais" est le fait de se contredire et donc de ne pas être en accord et en paix avec soi-même ou ses idées,pensées,reflexions.
Voilà j'apporte ma petite contribution de ce que vous appeler language : parfois un silence vaut mieux que quelque mots de trop tout comme un mot vaut mieux qu'un silence prolongé.
Bref,j'arrête ma philosophie à 2,50.
Peace and Love qui va avec et bonne nuit
Bonjour,
Je pense que tu aurais pu te contraindre à ta première formule.
Ceci dit, faites ce que je dit, et non pas ce que je fais.
les gens qui ont des montres n'ont pas le temps. Sagesse africaine
Bonsoir,
Il y a lieu à mon avis de distinguer deux types de verites.
Celle de l'homme et LA Verite, comprenons la realité des choses.
Que l'homme soit incapable de definir la realité des choses et encore moins
de la transmettre à d'autres hommes de maniere parfaite me parait evident.
Les egyptiens si je ne m'abuse distinguent dans leurs ecritures hieroglyphiques le sens :
l'homme dit et dieu dit. Dieu etant à prendre dans le sens de la realite des choses.
Quand dieu dit, on dessine un roseau qui flagotte dans le vent.
Quand l'homme dit on en met plusieurs.
Ceci reflete toute l'imperfection de la parole de l'homme lorsque celui-ci tente d'exprimer un concept.
C'est un des messages que Nietzsche semble avoir voulu passé dans le passage du texte cité au premier post.
Maintenant, admettons que LA verite soit un fait certain.
Meme si nous ne pouvons definir celle-ci dans ses details, nous pouvons du moins definir certaines de ses caracteristiques.
Unique.
Immuable.
Je vais me hasarder dans une demonstation logique de la chose, toutes mes excuses pour l'imperfection de celle-ci :
De maniere logique, par exlusion d'un ensemble par l'autre, tout ce qui n'est pas LA verite est donc erreur.
Il ne peut pas être prouvé que LA verité existe car le seul moyen serait de demontrer que Tout le reste est erreur.
Or ceci est impossible car en admettant que nous pouvions tout savoir, nous ne pourions tout savoir en meme temps.
Nous devrions alors être le tout, or nous serions Immuable...
La verité humaine à l'opposé est
Multiple.
Changeante.
Il s'agit en fait d'une approche de la verité par exclusion de l'erreur.
La science ne procede-t-elle pas ainsi ?
Proposant une succession de theories toutes valides dans le cadre des elements observables du moment.
Ces erreurs etant detectées par l'observation sans compromis de la realité observable.
Que le langage parlé soit bien moins parfait dans le cadrage de ce qui doit être exprimé que les formulations mathematiques
fait des science un outil privilégié de la recherche de la verité.
La raison en est probablement que le language se base sur un consensus general mais vague (l'exemple de la feuille de Nietzsche est
parlant) alors que la science repose sur un consensus plus stricte dont la base repose sur des faits precedement etablis.
Etant donné l'existance de la liberté d'expression je continuerai à poster et je ne prendrai pas en compte tes conseils,voilà donc si tu veux parler du sujet de base je suis 100% présent sinon je te prierai de garder tes réflexions pour toi. Merci.
peace à toi quand même
Si une pensée pouvait s'appliquer à toutes les situations, on pourrait se limiter qu'à celle-là... Le fait d'utiliser le 'mais' peut très bien impliquer que l'on soit en mesure de prendre du recul afin de voir si on ne peut pas améliorer notre 'pensée'(idée) pour une situation donnée. Ainsi, loin d'être une contradiction dans la mesure où rien n'oblige à penser comme ceci plutôt que comme celà (ce qui nous contraint d'autant plus que si l'on reste ouvert aux possibilitées), cela permet d'être en paix avec soi-même en tant qu'humain adaptable, adaptation où réside notre force.
Cordialement,
Nhazkal
Je suis pas d'accord,pour moi la force d'un être n'est pas dans sa capacité d'adaptation sociale.Si une pensée pouvait s'appliquer à toutes les situations, on pourrait se limiter qu'à celle-là... Le fait d'utiliser le 'mais' peut très bien impliquer que l'on soit en mesure de prendre du recul afin de voir si on ne peut pas améliorer notre 'pensée'(idée) pour une situation donnée. Ainsi, loin d'être une contradiction dans la mesure où rien n'oblige à penser comme ceci plutôt que comme celà (ce qui nous contraint d'autant plus que si l'on reste ouvert aux possibilitées), cela permet d'être en paix avec soi-même en tant qu'humain adaptable, adaptation où réside notre force.
Cordialement,
Nhazkal
Peace
Pas daccord! ← (argument)
...
Quel importance avait cet aspect dans mon paragraphe pour que tu ne retiennes que ça?
Par contre, rhétoriquement parlant, c'était parfait.
Mais bon, elle est où la force de l'être?