En tout cas, ça m'amuse de voir dans pour la science un article qui relate de la difficulté à faire la différence entre corrélation fine et coïncidence.. depuis plusieurs années déjà j'ai cherché à faire une simulation d'intelligence artificiel.. tout la clef du processus était justement d'identifier, dans le flux de donnée, des corrélations, afin de les utilisé ensuite en temps réél pour prédire les données.. en effet, si, à l'extérieur de l'object, il existe une vrai "causalité" donc une corrélation entre différente aspect de la situation observé, alors repérer cette corrélation permet d'anticiper la corrélation..
J'ai longtemps cherché tout seul dans mon coin.. identifié un seuil de corrélation n'est pas encore le pire problème.
On s'apperçoit vite que le seul moyen de faire un systéme efficace, c'est de copié la nature : faire du darwinisme. Pourquoi ? Parce que les correlations qu'on observe, sont du domaine d'un niveau de réalité donné. Exemple : la mécanique classique. Si je lache la pomme : elle tombe. Cause => Effet. Dans un niveau donné, il existe, dans la réalité, des lois qui régissent les causalités. Imaginons que nous voulions avoir une chance d'établir la correlation entre n'importe quelle type de cause et n'importe qu'elle type d'effet. Il faudrait, de manière globale, que notre moteur générateur de loi, les lois que nous voulons vérifier, soit plus rapide que la réalité, dans les cas imprévus, inattendu. Il ne s'agit pas, la encore une fois de cas particulier, puisque faire tombé la pomme plusieurs fois, permet d'établir résonnablement une loi. Mais plutôt de l'aspect purement physique de l'interaction des systèmes en concurrence, en moyenne, entre les lois de la réalité, et ce qui établit les corrélations.
Si nous voulons avoir une chance "de progresser" plus vite que la réalité pour garder de l'avance, il faut que nous ayons un mécanisme qui va plus vite que la causalité. Le seul moyen d'aller plus vite que l'observation de la causalité, c'est l'utilisation d'un mécanisme darwinien multiplié. Si une nouvelle maladie totalement inconnu arrive : l'un de nous, peut être, à une chance d'avoir LE gène, parce qu'il n'aura pas attendu d'avoir la maladie sous les yeux pour générer tout plein de géne au hasard. Si l'évolution ne faisait que " s'adapter " au condition : elle n'aurait pas eu les moyens statistiques d'affronter le moindre événement perturbateur des conditions initiale de la biosphére..
En fait la ou je me suis arrêter dans mon projet d'IA, c'est dans l'établissement de la concurrence. On tombe sur le probléme suivant. Imaginons qu'une correlation marche bien, disont dans 60% des cas aux bouts 1000 lancé. Il se peut toujours, que dans le faible écart entre la valeur théorique, la limite de la suite des probabilités, se cache une série de valeur, qui pour une nouvelle correlation aurait "localement" dans le même temps que l'ancien, une correletion de 80%. Imaginons que ce soit "un coup de chance". Il est impossible, au moment ou on a c'est 80%, de dire c'est une série remarquable dans la série de 60%, ou alors si la nouvelle correlation va se maintenir à 80% et rendre celle de 60% obsolète..
Voilà, entre autre, pourquoi, il faut un seuil temporelle de fixation des corrélation.. voilà donc pourquoi : les êtres vivants ne vivent pas éternellement, et la capacité d'apprentissage diminue avec l'age : aprés avoir tergiversé sur différente possibilité entre les corrélations, il faut que le systéme qui établie les corrélations, joueur, mise des hypothéses de base pour pouvoir continuer à établir d'autre hypothése et ne pas osciller entre différente corrélation.

Comprenne qui pourra !