Il me semble que le point que soulevait Patrick (ù100fil) était que même une approche inductive demande des "connaissances" préalables. Ne serait-ce que celles permettant 1) d'observer, 2) de regrouper des observations sensorielles en séries sur lesquelles va porter l'inférence inductive.
Sous-jacent à ma réponse (et ce n'était sûrement pas clair) est un questionnement sur la notion de connaissance.
En poussant à l'extrême, à l'oeuf humain, ou ne serait-ce qu'à l'embryon avant développement d'un système nerveux, il est difficile de parler de "connaissance". Mais on doit pouvoir parler de "compétences préalables".
Par exemple, pour revenir à l'enfant (c'est à dire à un système nerveux central conséquent) on peut se poser la question s'il est nécessaire d'avoir des "connaissances préalables" pour l'apprentissage initial, ou si certaines "compétences préalables" ne sont pas suffisantes. J'ai en tête comme compétence le "pattern matching", c'est à dire (et on revient au sujet) la détection de similarités ("corrélation" au sens commun ?) entre données sensorielles brutes.
Ce genre d'approche pose la question de ce que recouvre le mot "connaissance", s'il couvre un "savoir-faire" (compétence) ou non.
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 Envoyé par Wart
 Envoyé par Wart 
 
 
 , ceci est la methode de base du vivant qui pense.
, ceci est la methode de base du vivant qui pense. ), donne la pappatte.
), donne la pappatte. . C'est effectivement un problème de rapport au langage qui est en jeu]
. C'est effectivement un problème de rapport au langage qui est en jeu]
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) ? Lorsque l'on trouve le facteur commun (ici, évidemment, l'ensoleillement) il existe des tests statistiques pour vérifier qu'il n'y a pas de corrélation directe entre les deux aspects.
 Lorsque l'on trouve le facteur commun (ici, évidemment, l'ensoleillement) il existe des tests statistiques pour vérifier qu'il n'y a pas de corrélation directe entre les deux aspects.
						 ) et laisse le père s'occuper du p'tit.
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